Les Potvin-Lachance en Australie

Les deux derniers jours ont été marqués par la présence de dauphins et d’autres créatures. Nous avons pris une petite pause de route hier à Coff’s Harbor. À cette occasion, nous avons logé dans un très sympathique camping avec une piscine de rêve pour les enfants, et visité un aquarium où l’on élève des dauphins, pingouins, otaries, phoques et tortues. C’est l’occasion d’un magnifique spectacle et de toucher aux animaux (voir les photos).

Nous avons aussi rencontré un sympathique français de 65 ans qui fait le tour du monde à vélo! (voir la photo). Il nous a bien promis de passer à Montréal... Dans deux ans! Puisqu’il a aussi passé par le Cambodge, Jeanne en a profité pour discuter avec lui de ce pays. Elle pourra ensuite rapporter quelques infos inédites à sa classe, car le Cambodge est le pays attitré de la classe de Julie, l’enseignante de Jeanne. Pour le suivre dans son périple, si ça vous chante, suivez ce lien: http://tour-du-monde-en-tricycle.blogs-de-voyage.fr/

Aujourd’hui, nous avons repris la route jusqu’à Tweed Heads, juste à côté du Paradis des surfeurs (Surfer’s paradise), qui semble ressembler à un gros Las Vegas sur le bord de la mer, mais pas sans d’abord avoir fait une pause à Byron Bay, le point le plus à l’Est de tout le continent australien. Nous y avons vu un phare magnifique et, depuis la falaise, des bancs de dauphins sauvages surfant dans les vagues. Ce soir, nous dormons dans un camping apparemment infesté de grenouilles. Nous n’en avons pas encore vu une seule vivante, mais avons pu compter au moins 22 cadavres aplatis sur les chemins du camping.

Demain, on traverse la frontière du Queensland, ainsi que la ville de Brisbane et on poursuit notre périple vers le Nord. Il fait d’ailleurs de plus en plus chaud...

À la prochaine!
Les Potvin-Lachance

À l'aquarium



Val aime beaucoup les dauphins!!




Michel Bouyssou, un français qui fait le tour du monde à vélo!


À Byron Bay, le point le plus à l'Est de l'Australie


Un banc de dauphins sauvages, aperçus depuis la falaise de Byron Bay, surfant sur les vagues...

Eh oui... Nous sommes ce soir dans un village appelé "La terrasse à Raymond" (traduction libre).

Après Merimbula, nous avons abattu plusieurs kilomètres pour dormir à Bendalong Point, où nous avons pu nager dans l'océan... avec des raies géantes. Bon... On n'en a vu qu'une seule, mais elle faisait bien 6 pieds de large par 8 de long (avec la queue). Elle a frôlé la cheville de Valérie. Elle s'en souviendra!

Le camping est un peu en retrait de l'autoroute et est donc rempli d'animaux. Nous nous sommes levés ce matin avec des lapins et 5 kangourous qui broutaient autour du campeur. En fait, il y en a partout sur ce camping. Hier soir, nous avons soupé avec 4 d'entre eux et 4 perroquets multicolores. En Australie, la faune est vraiment omniprésente. Hier soir, d'un seul coup d'oeil, on pouvait voir 8 lapins. En allant aux toilettes, Valérie a croisé un kangourou géant dans la noir sur le chemin asphalté du camping. Impressionnant. Jeanne a aussi réussi à "apprivoiser" un bébé kangourou avec du trèfle et du pain. Elle a eu un peu de difficulté à s'en séparer...

J'aime à penser (mais avec tristesse) que peut-être jadis la faune était aussi abondante en Amérique... En tout ça, la preuve existe ici qu'une telle biomasse est possible.

Nous sommes ce soir dans le camping le plus "sans prétention" du voyage. Il est vraiment "crade". On "se pousse" le plus tôt possible demain. Nous avons énormément de kilomètres à avaler jusqu'à Forrest Beach. Demain: Coff's Harbor!

Bonne nuit!

Patrice, pour la famille qui dort.

Des kangourous qui envahissent notre site de camping!


Image prise depuis l'intérieur de notre campeur!




Jeanne sur la plage

Nous sommes partis par grands vents (100km/h, ce qui ne simplifie pas la conduite avec le campeur) de Phillip’s Island il y a deux jours pour nous rendre à Lakes Entrance, où Patrice a pu faire son jogging sur le « 90 mile beach » (dont il n’a parcouru quand même que 6 km) et où il a pu voir de nombreuses otaries à fourrure. Jeanne et Émile ont aussi pu faire du pony. Ils ont beaucoup aimé cela.

Nous sommes ce soir installés 350km plus loin, à Merimbula, dans le New South Wales, où les grands vents de ces derniers jours emblent s’être enfin apaisés et où on peut entendre les «bell birds», qui font constamment des petits sons de clochettes . Nous irons visiter le port en fin de journée. Après deux grosses journées de route, nous espérons bien prendre un peu de repos. Décidément, c’est un très grand pays et les déplacements sont difficiles (routes étroites en méandres et grands vents)... Nous approchons notre 3000ième kilomètre parcouru...

Bonne nuit à tous!

Les enfants font du pony...

Du 14 février au 19 février. Plusieurs journées se sont écoulées depuis notre dernier message. Certaines assez difficiles (route, température, petites attentes un peu déçues ). Nous avons tout d’abord atteint le point le plus à l’Ouest de notre voyage : Port Fairy (après avoir terminé d’admirer les paysages de la Great Ocean Road). Nous y sommes restés deux jours, le temps de se reposer un peu, de faire du trampoline au plus beau camping jusqu’ici et de goûter aux produits de la mer (Pat et Val ont mangé une langouste pour la St-Valentin).

Nous avons ensuite fait une grosse journée de voyage jusqu’à Queenscliff (en passant par Colac) où nous avons bien visité la ville (phare, village de pionniers colons), visité un musée de découvertes marines où on pouvait toucher crabes-araignée, Bernard l’hermites et étoiles de mer, et logé dans un « caravan park » assez minimal. C’est aussi à Queenscliff que Valérie et Jeanne ont eu la chance de nager avec des otaries, méduses et poissons, et ce, en pleine mer. Elles se sont payé cette gâterie (pour leur anniversaire, qui aura lieu dans 1 mois et demie), mais ont malheureusement été très malades toutes les deux vers la fin du voyage (mal de mer; beaucoup de houle). Nous n’avons malheureusement pas de photos de cette aventure. Pendant ce temps, Émile et Patrice visitaient la gare historique de trains où Émile a pu voir de magnifiques locomotives. Son amour des machines se confirme : c’est grand-papa qui va être fier.

Nous avons aussi observé des raies géantes dans le port (juste à nos pieds) ainsi que les pélicans. Nous sommes ensuite repassés par Melbourne pour nous rendre jusqu’à Phillip’s Island, où nous avons pu voir de beaux petits manchots bleus et des paysages côtiers magnifiques.

Nous entamerons demain un itinéraire vers l’Est qui ne fera emprunter de magnifiques chemins du « New South Wales ». Nous remonterons ensuite vers le Nord. (Voir la carte ci-hait "AGRANDIR L'ITINÉRAIRE"...

Une attaque de langouste!


Des tortues de mer


Émile ingénieur des trains


Pélican


Pingouin bleu


Vue depuis Phillip's Island (où nous avons vu les pingouins et des otaries)


Voiture typique australienne. Voyez le protecteur avant pour les chocs nocturnes avec kangourous et le tuyau-prise-d'air pour rouler dans les inondations!

Salut tout le monde. Je m’amuse beaucoup en Australie. Je fais beaucoup de choses agréables. Les koalas et les kangourous sont très mignons. Pour la St-Valentin, nous avons trouvé un camping génial avec une trampoline et une piscine intérieure. Voici une photo d’une petite fille qui s’appelle Anna. Anna, c’est une amie que je me suis fait dans un camping pas très cool (le camping). Je me suis quand même bien amusé avec elle. À bientôt!

Jeanne


Émile rejoint maman (photo d'anthologie)

L'escargot carnivore (Il monte sur les autres escargots, leur perce un trou dans la coquille et les aspire cruellement).



AUSSI: Message pour Charles: J'ai vu les deux nuages de Magellan (j'ai pensé à toi).

AUSSI: Message pour Steph: J'avais DÉJÀ la chanson de Skippy "la bouche pleine de mouches" en tête... Je me souvenais de cette hallucination auditive...

11 février. Journée de repos passée à Werribee, en attendant un rendez-vous pour une activité qui ne se produit pas (confusion dans les dates) et que nous reprendrons plus tard. Il fait assez mauvais : froid et il pleut un peu. Les cacatoès sont insupportables : ils sont des centaines à hurler. Nous profitons du camping : salle de jeux, terrain de jeux, mini-putt, etc... Nous finissons quand même cette journée par une petite visite à Bells beach, à Torquay. C’est une plage très célèbre. La première compétition de surf au monde s’y est tenue. Émile et Patrice reconstituent uns scène de la fin du film « Point break » (VF : Extrême limite) où Patrick Swayze et Keanu Reeves se battent sur la plage (très réaliste) à cet endroit précis.

12 février : La journée la plus chargée du voyage jusqu’ici (le soleil est revenu). On entreprend notre itinéraire sur la « Great ocean Road », une des plus belles routes côtières du monde. Premier arrêt, le village d’Anglesea : nos premiers kangourous (vivants) dont des gens du coin nous ont identifié les habitudes. Ils ne sont trop farouches, mais doivent tout de même être approchés avec précaution. Ils ont de sales griffes dont ils se servent pour punir les imprudents. Nous arrivons cependant presque à les toucher. Ils sont au moins 20 dans le coin et on a tous la fichue chanson de « Skippy le kangourou » en tête (et elle ne vaut pas partir). On a beaucoup rigolé en les voyant bondir et rebondir. Ça a l’air extrêmement facile pour eux. Deuxième arrêt : la plage du même village : magnifique avec ses falaises de « lime stone » toutes grugées par la mer. Troisième arrêt : un magnifique phare sur la côte. Nous y avons vu des fourmis-taureaux (trois centimètre de long et toutes rouges). Quatrième arrêt : Nous montons une route escarpée pour y atteindre des chutes en forêt tropicale côtière dans le « Otway National Park » : les Erskine falls. Magnifiques, mais pas aussi hautes que Val-Jalbert. Nous prenons des photos à chaque arrêt. Nous dormons ce soir dans un petit « caravan park » à Cumberland river, toujours sur la « route du surf ». Demain peut-être les koalas...

13 février : Encore une grosse journée sur la « Great ocean road ». Nous avons ce matin pu observer des koalas dans leur habitat naturel. Puis, nous avons visité Appolo bay, et avons traîné sur les plus belles plages du pays, où d’immenses monolithes appelés « les douze apôtres » ont encore résisté à l’érosion. Nous avons pris ici les plus belles photos qui soient, tellement le site et la lumière sont parfaits. Émile et Patrice ont aussi fait une petite randonnée en forêt tropicale côtière, où nous avons pu apercevoir le seul (et terrible) escargot carnivore (noir) du monde. On a la chair de poule...

Nos premiers kangourous



Notre premier koala



Dans le Otway national park


Reconstitution d'un film célèbre (voir le message plus haut). Paul-Émile Potvin dans le rôle de Keanu Reeves et Patrice Potvin dans le rôle de Patrick Swayze


Aux douze apôtres

NOTE: POUR MIEUX SUIVRE NOTRE ITINÉRAIRE, CLIQUEZ SUR "AGRANDIR LA CARTE" SOUS LA FENÊTRE GOOGLE PLUS HAUT, PUIS, AGRANDISSEZ L'AUSTRALIE....

8 février : On se rend d’Albury à la ville de Werribee, en banlieue de Melbourne. Le chemin est long. On trouve un sympathique petit camping d’où on explorera demain la ville de Melbourne. On se promène sur le bord de la mer et on fait la cueillette de superbes coquillages.

9 février : Visite de Melbourne. Journée de voyage assez ratée. Impossible de trouver un stationnement dans cette ville (notre campeur est tout simplement...trop haut! (clearance : 3,4m)). On est contraints de payer le gros prix pour deux fois deux heures de parcmètre (2X8$=16$). Tout est vraiment cher ici. Petite balade dans les rues, dîner vraiment pas bon dans un restaurant vietnamien, retour tumultueux, car circulation très difficile... Ouf. Mauvaise journée. Mais Melbourne est magnifique. Heureux mélange de Victorien et d’ultramoderne... dans TOUTE la ville. Impossible au Québec.

10 février : Départ de Weeribee jusqu’à Torquay, ville berceau du surf, située juste au début de la « Great Ocean Road », qu’on empruntera probablement après-demain. On fait cependant un arrêt au « Royal australian air force (RAAF) museum » pour visiter un musée de l’histoire de l’aviation australienne sur une base militaire, la plus ancienne du monde qui soit encore en fonction (96 ans). On passe ensuite quelques heures sur le bord de la mer, à Torquay, en rêvant de ce qui nous attend bientôt.

Sur la route


Une récolte de coquillages à Werribee


Au musée de l'aviation devant un DeHavilland Vampire


Dans les rues de Melbourne

Le samedi 5 fév. Il fait 36 degrés à Sydney, 40 avec le facteur humidex. C’est très très chaud et collant. C’est une canicule officielle. Nous prenons la route dans notre super campervan plutôt sale, à l’intérieur comme à l’extérieur, qui offre asile à toute une colonie de fourmis (vous connaissez l’amour que Val porte à ces petites bêtes) et dont l’odomètre affiche un peu plus de 311000 km, le tout sans téléphone cellulaire pour découvrir le vaste territoire australien ... Qu’à cela ne tienne! Après quelques soupirs, nous gardons le sourire et découvrons que nous sommes plus aventuriers que nous ne le soupçonnions! VIVE L’AVENTURE!

Après un premier 200km assez pénible (conduite à gauche, canicule, vent qui secoue le campeur de tous les côtés, bruit assourdissant de morceaux de campeurs mal attachés, enfants fatigués, nous sommes enfin arrivés à Katoomba, dans les montagnes bleues, à l’Ouest de Sydney vers 16h30. On a cependant retrouvé le sourire lorsqu’Émile nous a demandé « Est-ce qu’on a enfin fini de faire le tour de l’Australie? ». Ensuite, petit camping, très belle piscine. Tout le monde dans l’eau, ça fait du bien. Nous avons rencontré une famille de français (4 enfants) bien sympathiques qui vivent habituellement à Shangaï.

Le dimanche 6 fév. Nous visitons un très beau site dans les Blue Montains ou l’on peut voir les Three Sisters, trois pics rocheux dont la présence est expliquée par cette légende : un sorcier aborigène (les amérindiens du coin) a transformé ses trois filles en pierre pour les protéger d’un loup-garou... Mouais. Drôle de réflexe. Ensuite, on prend la route, si on peut appeler ça une route (extrêmement tortueuse, étroite, et escarpée), vers les cavernes de Jenolan pour une visite guidée d’une durée une heure trente d’une immense grotte, vraiment très impressionnante. Les enfants ont pu voir d’immenses salles, des stalactites et une rivière souterraine pour la première fois. Ah oui, en passant, aujourd’hui, nous avons vécu notre première rencontre avec un spécimen noir de la famille des serpents. Brrr! Mais... Toujours pas de kangourous. C’est Jeanne et Val qui l’on aperçu aux abords d’un sentier... À environ 60cm d’elles ... II dormait, semble-t-il. Nous dormons le 6 au soir dans un village qui s’appelle Oberon.

Lundi 7 février. Grosse journée de route. On a fait quelque 600km. Les enfants sont vraiment patients, mais ont hâte d’arriver. On se trouve un peu pas mal loin de notre monde, dans ce décor interminable, aride et jauni par le soleil, plein de moutons blancs et de vaches noires (avec quelques cadavres de kangourous sur le bord de la route, mais encore aucun vivant). On trouve une chouette « Caravan park » qui nous accueille dans la ville de Albury, quelque part à mi-chemin entre Sydney et Melbourne. Demain : objectif Melbourne, où l’on compte rester quelques jours.

Notre super campeur de 310000km avec un trou dans le muffler...


Val et Jeanne devant les "Three sisters", en arrière plan


Dans les grottes du Jenolan

Une dernière petite activité à Sydney, avant de quitter la région: une visite avec les enfants du Jardin botanique. En vedette, des plantes, mais surtout des roussettes, chauve-souris géantes (presque 1 mètre) en plein centre-ville! Des milliers accrochées aux arbres... Impressionnant!

Jeanne et Émile qui font un petit pas de danse



Des roussettes

Bonjour à tous,

Eh oui, nous sommes encore vivants. L’ouragan (ici on dit « cyclone ») Yasi (la plus haute catégorie : 5) a passé durant la nuit bien au Nord d’où nous sommes. Tout va donc très bien, rassurez-vous, même si ici, les gens sont très nerveux et que la télé couvre l’événement 24h/24h. Au matin du 3 février, la télé nous dit que les dégâts seront peut-être un peu moins graves que prévu (l’apocalypse moins un, donc).

Nous sommes cependant un peu moins heureux en pensant au dépôt qu’on a fait pour réserver un chalet à Forest beach, destination prévue pour les dernières semaines du voyage, et qui est en plein dans l’œil du cyclone (on ne fait pas plus chanceux). Nous n’avons pas encore de nouvelles de ce village côtier, où des vents de 300km/h et des vagues de 10 mètres ont été enregistrés .

http://www.cyberpresse.ca/international/asie-oceanie/201102/02/01-4366093-le-cyclone-yasi-fonce-vers-laustralie.php

Mais dans un autre ordre d’idées, c’est aussi pour nous une première étape du voyage qui s’achève bientôt. Samedi, nous quitterons la belle plage de Bondi Beach (Prononcez Bon-daï) .

Patrice est un peu stressé . Il ira tôt le matin chercher notre « camper-van » (qui sera, on le sait, climatisé... Ahhhhhh! ). Sources du stress (simultanées): la conduite à gauche, la familiarisation avec un gros véhicule, se débrouiller dans les rues de Sydney, les australiens conduisent-ils en fous comme les parisiens et les grecs? Ça reste à voir... Prochaine destination : les montagnes bleues (« Blue mountains), à l’Ouest de Sydney. Ensuite, on pique au sud.

Le prochain message sera fait alors que nous aurons pris la route. Ne vous en faites pas pour nous : on a déjà survécu aux coquerelles, aux canicules et aux pires inondations du siècle. C’est pas un petit cyclone (ouragan) de force 5 qui va nous ralentir.

Les Potvin-Lachance, en pays hostile.

Prochain épisode : les Potvin-Lachance résistent à l’attaque des kangourous fous.

Voici une photographie de Patrice qui écoute les nouvelles de l'ouragan, qui se désole de toute cette dévastation... Et qui pense à son dépôt.

Ces derniers jours, nous avons fait plusieurs activités.

En plus d’avoir fait son travail d’« école » tous les jours (surtout des mathématiques et du français), Jeanne a pu visiter le pont de Sydney et monter jusqu’en haut d’un de ses pylônes...

Émile trouve de nouvelles motivations pour apprendre l’anglais. Quand il voit une petite fille qui passe près de lui avec un énorme cornet de crème glacée, il demande à Maman : « Maman, comment dit-on en anglais : « Est-ce que je peux goûter ta crème glacée? » »

Nous somme aussi allés faire une promenade sur le bord de la mer où nous avons vu plein de petits crabes, des oursins, des coquillages, de grosse vagues nous éclabousser, et Jeanne croît avoir vu une queue de baleine (qu’elle dit).

Suite et fin de Bondi Beach lors du prochain message.

On pense à vous et on apprécie toujours vos commentaires. Donnez nous de vos nouvelles.

Bonne fête en retard Jean-François!

Le site de notre blog a connu des ratées dernièrement. Si notre page ne s’ouvre pas parfois, ne vous découragez pas : ça va revenir!

Les Potvin-Lachance

L'école "à la maison"


Un loriquet arc-en-ciel, nourri par Émile depuis la fenêtre du salon