Le 23/04/11, 12:57
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En plus de finir de préparer son livre, Patrice s’est payé un trip qui le « démangeait » depuis un certain temps : une partie de pêche au gros sur la grande barrière de corail. Après avoir dormi une nuit a Cairns dans une auberge de jeunesse, il s’est embarqué sur le « blue whaler » en direction du large vers 6h30, au levant. Deux heures et demie plus tard, car les meilleurs « spots » sont à plusieurs dizaines de kilomètres au large, il mettait sa ligne à l’eau en compagnie de 14 autres pêcheurs.
Résultat : il a gagné les trois concours : le plus gros poisson (un gros « nannygai »), le meilleur poisson (un « mangrove Jack ») et le plus grand nombre de poissons (9, tous des gros, alors que le deuxième meilleur en a pris 6). Il faut croire que l’expérience accumulée durant toutes ces années à perfectionner sa technique avec les petites truites de la ZEC des passes et les dorés du Lac-St-Jean ont pu être transférées ici. Il a aussi pu voir des requins-marteaux qui lorgnaient les poissons remontés ainsi que des dauphins et des poissons-volants.
9 poissons, c’est vraiment beaucoup, beaucoup trop. Il en a donné deux à de généreux australiens légèrement rétrogrades sur les bords mais tout de même sympathiques qui lui avaient offert de la bière sur le bateau et deux à nos voisins de chalet, Cathy et Frank. Il a passé une partie de la soirée à arranger ses poissons restant en pensant à Marcel qui aurait certainement pu lui donner des conseils sur le « filetage ». Quelques bons repas en perspective.
Au retour à Forrest Beach, aux enfants (pas encore couchés) qui lui ont expliqué avoir fait des prières pour que le poisson morde, il a répondu qu’ils en avaient peut-être fait un peu trop. Ces derniers étaient ravis.
Un "mangrove jack", le meilleur à manger
Un "emprereur bariolé" à gauche et un "mangrove jack" à droite
Un superbe "nannygai"
Il a fallu remettre celui-ci à l'eau : espèce en danger
J'entends d'ici la voix de Marcel qui me répète : "Le couteau doit glisser sur les arètes"
Résultat : il a gagné les trois concours : le plus gros poisson (un gros « nannygai »), le meilleur poisson (un « mangrove Jack ») et le plus grand nombre de poissons (9, tous des gros, alors que le deuxième meilleur en a pris 6). Il faut croire que l’expérience accumulée durant toutes ces années à perfectionner sa technique avec les petites truites de la ZEC des passes et les dorés du Lac-St-Jean ont pu être transférées ici. Il a aussi pu voir des requins-marteaux qui lorgnaient les poissons remontés ainsi que des dauphins et des poissons-volants.
9 poissons, c’est vraiment beaucoup, beaucoup trop. Il en a donné deux à de généreux australiens légèrement rétrogrades sur les bords mais tout de même sympathiques qui lui avaient offert de la bière sur le bateau et deux à nos voisins de chalet, Cathy et Frank. Il a passé une partie de la soirée à arranger ses poissons restant en pensant à Marcel qui aurait certainement pu lui donner des conseils sur le « filetage ». Quelques bons repas en perspective.
Au retour à Forrest Beach, aux enfants (pas encore couchés) qui lui ont expliqué avoir fait des prières pour que le poisson morde, il a répondu qu’ils en avaient peut-être fait un peu trop. Ces derniers étaient ravis.
Un "mangrove jack", le meilleur à manger
Un "emprereur bariolé" à gauche et un "mangrove jack" à droite
Un superbe "nannygai"
Il a fallu remettre celui-ci à l'eau : espèce en danger
J'entends d'ici la voix de Marcel qui me répète : "Le couteau doit glisser sur les arètes"