Le 28/01/10, 16:02
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Réveil très matinal pour notre départ à 6h vers Assouan.
Normalement, pour des raisons de sécurité, les touristes ne sont autorisés à changer de province en voiture qu'en voyage organisés mais grâce à l'hôtel, nous avons obtenu l'autorisation de voyager en taxi "privé" moyennant une autorisation de voyage de 7€/personne.
Après 3h30 de trajet, nous sommes arrivés à Philae en même temps qu'une bonne vingtaine de cars de touristes. Nous nous sommes battus pour avoir une place sur un petit bateau à moteur qui nous a conduit jusqu'à l'île qui, pour la petite histoire, n'est plus celle de Philae à cause de la montée des eaux dû au barrage d'Assouan.
L'extérieur du temple était très agréable à visiter notamment grâce au cadre particulier dans lequel il se trouve. En ce qui concerne l'intérieur, malheureusement, les hordes de touristes nous ont coupé l'envie de s'y éterniser.
Après une heure de visites, nous avons repris le bateau pour rejoindre notre taxi.
Il nous a conduit jusqu'au barrage d'Assouan haut de 111m et long de 3600m qui forme le lac Nasser, le plus grand bassin artificiel du monde. Le temps de prendre 2-3 photos, nous étions déjà repartis vers l'obélisque inachevé d'Assouan qui, s'il avait été terminé, aurait constitué le monolithe le plus lourd jamais taillé (1168T). Seules 3 faces ont été taillées, il reposait donc encore dans la carrière de granit rose.
Après plus d'1h de trajet, nous sommes arrivés à Kom Ombo dédié au Dieu crocodile Sobet et à Haroeris (ou Horus l'ancien). Sa spécificité est que tout est dédoublé et disposé en une parfaite symétrie le long de l'axe principal. Le cadre est également très agréable, le temple étant sur es hauteurs d'un méandre du Nil.
Nous avons terminé cette longue journée avec le temple d'Edfou dédié à Horus et contenant d'ailleurs d'énormes faucons de granit pour le garder. Il contient les vestiges d'un nilomètre qui permet de mesurer le niveau du fleuve pendant la crue et de prévoir le rendement des cultures. Ce temple étant plus récent que ceux de Louxor, il est également mieux conservé.
Notre timing était parfait étant donné que le soleil se couchait à la fin de notre visite. En plus, le peu de sommeil combiné au climat plus aride d'Assouan m'ont achevé, il était temps de rentrer
Normalement, pour des raisons de sécurité, les touristes ne sont autorisés à changer de province en voiture qu'en voyage organisés mais grâce à l'hôtel, nous avons obtenu l'autorisation de voyager en taxi "privé" moyennant une autorisation de voyage de 7€/personne.
Après 3h30 de trajet, nous sommes arrivés à Philae en même temps qu'une bonne vingtaine de cars de touristes. Nous nous sommes battus pour avoir une place sur un petit bateau à moteur qui nous a conduit jusqu'à l'île qui, pour la petite histoire, n'est plus celle de Philae à cause de la montée des eaux dû au barrage d'Assouan.
L'extérieur du temple était très agréable à visiter notamment grâce au cadre particulier dans lequel il se trouve. En ce qui concerne l'intérieur, malheureusement, les hordes de touristes nous ont coupé l'envie de s'y éterniser.
Après une heure de visites, nous avons repris le bateau pour rejoindre notre taxi.
Il nous a conduit jusqu'au barrage d'Assouan haut de 111m et long de 3600m qui forme le lac Nasser, le plus grand bassin artificiel du monde. Le temps de prendre 2-3 photos, nous étions déjà repartis vers l'obélisque inachevé d'Assouan qui, s'il avait été terminé, aurait constitué le monolithe le plus lourd jamais taillé (1168T). Seules 3 faces ont été taillées, il reposait donc encore dans la carrière de granit rose.
Après plus d'1h de trajet, nous sommes arrivés à Kom Ombo dédié au Dieu crocodile Sobet et à Haroeris (ou Horus l'ancien). Sa spécificité est que tout est dédoublé et disposé en une parfaite symétrie le long de l'axe principal. Le cadre est également très agréable, le temple étant sur es hauteurs d'un méandre du Nil.
Nous avons terminé cette longue journée avec le temple d'Edfou dédié à Horus et contenant d'ailleurs d'énormes faucons de granit pour le garder. Il contient les vestiges d'un nilomètre qui permet de mesurer le niveau du fleuve pendant la crue et de prévoir le rendement des cultures. Ce temple étant plus récent que ceux de Louxor, il est également mieux conservé.
Notre timing était parfait étant donné que le soleil se couchait à la fin de notre visite. En plus, le peu de sommeil combiné au climat plus aride d'Assouan m'ont achevé, il était temps de rentrer