Le 09/06/12, 16:30
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Nous sommes arrivés à rio ce midi après être parti de foz do iguaçu à 6h ce matin et passé une escale à sao paulo. La fatigue est donc présente aujourd’hui. Pas besoin de vous présenter les lieux, tout le monde connait au moins de nom ( enfin j’espère ) , rio est la deuxième ville du pays la plus peuplée avec pas moins de 8 millions d’habitants et une superficie que vous pouvez imaginez en rapport. C’est également la ville où est née marcia, retour aux sources donc !! Directement de l’aéroport nous sommes allés au terminal de bus pour acheter les billets des prochains déplacements. C’est toujours intéressant de débarquer dans une ville inconnue et de voir des choses que l’on ne verrait pas chez nous, par exemple des vendeurs ( la plupart torse nu, en tong avec juste un short de bain ) de boissons et biscuits en plein milieu des pistes de l’équivalent du périphérique parisien. En même temps quand on voit la circulation qu’il y a, on ne peut pas aller très vite et du coup ils proposent leurs produits aux véhicules bien souvent à l’arrêt. Ça reste tout de même assez dangereux quand le trafic redevient fluide. On sait bien que les terminaux de bus ne sont jamais dans les meilleurs quartiers et que ce n’est pas l’endroit idéal d’une première visite pour découvrir la ville et celui de rio ne déroge pas à la règle. Je dirai même que c’est l’un des plus pourri et pourtant entre ceux de buenos-aires, santiago, lima, la paz et compagnie j’en avais déjà connu des biens merdiques. J’ai gardé les sacs pendant que marcia s’est occupée d’acheter tous nos prochains trajets, nous avons le planning prêt pour ces 6 prochains jours. Après cela de nouveau un taxi ( officiel, même si c’est plus cher, il y a moins de risques ) pour nous rendre à notre hébergement la pousada da bruna. Ça n’a pas la classe de notre ancien logement à foz mais c’est idéalement situé dans le quartier de copacabana à moins de 500 mètres de la plage mondialement connue. Plage que nous sommes allés découvrir après notre installation. Evidemment un mardi après-midi en plein hivers sous un ciel gris, on ne peut pas dire qu’il y ait foule ou que l’endroit soit attractif. La pluie a fait son apparition et même si avec 25c° ce n’est pas si gênant nous sommes tout de même allés nous réfugier dans un restaurant pour déjeuner. Ça tombe très bien car depuis 4 heures ce matin et juste quelques biscuit dans le ventre il commence à faire grand faim. Nous nous sommes fait plaisir en commandant une feijoada pour deux. C’est un plat typique brésilien qui consiste à mélanger des haricots noirs avec de la viande de bœuf, plusieurs parties de viande de porc ( côtes, pattes ...) des morceaux de saucisses, le tout servi avec du riz, de l’acelga ( je le qualifierai entre l’épinard et l’algue ) et de la farofa ( farine de manioque ). La marmite que nous a apportée le serveur était énorme et on aurait facilement pu manger à 4 dessus, nous avons mangé 2 grandes assiettes pleines chacun et n’avons pas pu finir le reste. Nous avons terminé par des quartiers d’orange ( il parait que ça aide à la digestion car vous imaginez bien les conséquences de ce plat 
). La pluie s’est arrêtée entre temps et nous avons continué de longer la plage pour arriver jusqu’au musée historique de la force militaire que nous avons visité. C’est plus l’endroit que le contenu qui a attiré notre attention car il se trouve dans un ancien fort avec une vue imprenable sur la baie de copacabana. Certains canons exposés valent également le coup d’œil. Nous sommes ensuite rentrés à la pousada à la nuit tombée. Il va falloir se reposer car demain nous faisons un city tour qui dure toute la journée avec un départ à 8h30.
06.06 malgré la pluie nous sommes partis pour le city tour qui dure toute la journée, le van est venu nous chercher à 9h et nous sommes de suite entrés dans les bouchons de rio. Nous avons mi plus d’une heure pour récupérer les derniers passagers dans leur différents hôtels, le tour peut maintenant commencer. Demain est un jour férié, beaucoup vont faire le pont vendredi et ainsi obtenir un long week-end, ce qui accentue encore plus la circulation. Notre guide, martin, est très intéressant , il nous montre et nous explique l’histoire de tous les monuments par lesquels nous passons, il faut dire qu’il a le temps car nous roulons toujours au pas. Il est né en tanzanie et vit à rio depuis plus de 20 ans après avoir pas mal navigué, notamment 3 ans au danemark, parcours d’un guide classique donc. J’ai appris pas mal de choses et j’ignorais que la France et le brésil avaient eu tant de liens. Rio de janeiro a d’abord été fondé par les français en 1555 mais ils ne seront pas restés longtemps car ils se sont fait virer par les portugais en 1567 après de sanglants combats. Les portugais alliés aux anglais n’ont fait qu’ne bouchée des français alliés aux indigènes. C’est normal, arcs et flèches contre armes à feu, facile de deviner le final. Nous arrivons enfin au premier arrêt du jour, la cathédrale san sebastian. La construction moderne (1976 ) en forme de cône est totalement atypique et originale, ça ne ressemble en rien à une cathédrale normale. Deuxième arrêt le sambodromo, construit en 1984, ressemble à une immense avenue avec des gradins de chaque coté et sert au défilé des écoles de samba pendant le carnaval en février. C’est une véritable religion ici un peu comme le football et durant les 3 semaines que dure le carnaval, pratiquement tout le pays arrête de travailler. Troisième arrêt le stade de maracana, l’un des stades mythiques dans ce monde avec une capacité des presque 100.000 spectateurs, malheureusement il est actuellement en rénovation pour la prochaine coupe du monde et on ne peut pas entrer à l’intérieur pour le visiter. Ensuite nous nous sommes dirigés au corcovado pour voir la fameuse statue du christ. Une montée très difficile dans les rues sinueuses du parc de tijuca accentuée par la route mouillée. Plus nous montons, plus nous entrons dans le brouillard et nous savons que nous ne verrons rien de la magnifique vue qui se trouve au sommet. Chose confirmée une fois arrivé en haut, c’est à peine si on peut distinguer la statue du christ, heureusement avec le vent la brume passe de temps en temps et nous laisse parfois voir clairement la statue. Nous sommes à plus de 700 mètres d’altitude, la statue du christ redentor pèse 1145 tonnes et mesure 38 mètres de haut. La tête et les mains ont été taillé en France, encore un lien qui uni les deux pays. Pas la peine de rester des heures nous ne verrons rien de plus. Nous sommes redescendus et avant le déjeuner sommes passés par le quartier leblon, l’un des plus chic de la ville. Son est français et vient de monsieur leblond qui possédait tout le quartier, on lui a juste enlevé le d final pour des raisons de prononciation. Juste une pause photo de 5 minutes depuis les hauteurs avec une belle vue sur toute la plage des quartiers leblon et ipanema d’un coté alors que de l’autre on peut voir l’hôtel sheraton face à une favela, et oui les contrastes sont durs. Retour à copacabana pour la pause déjeuner dans un restaurant avec buffet à volonté, rien à ajouter, on s’est compris . Pour finir la visite de ce city tour, direction maintenant le quartier urca, l’un des plus sécurisé de rio car il n’y a qu’une seule rue pour y entrer et pour y sortir. Plusieurs célébrités y vivent notamment roberto carlos ( le chanteur, pas le joueur de foot ). Nous descendons à coté de la plage de vermelha afin de prendre le téléphérique pour monter au sommet du pao de azucar. Ce sont d’ailleurs deux téléphériques qu’il faut prendre pour arriver au sommet de cette colline à 396 mètres d’altitude d’où l’on découvre entièrement la ville de rio. Sur le chemin entre le changement de téléphérique nous avons eu la chance de voir des petits singes, la même race que ceux que nous avions vu au parc des oiseaux à iguaçu mais cette fois en liberté dans leur milieu naturel, c’est tellement mieux. Dans l’après midi la pluie s’est arrêtée et le ciel s’est un peu dégagé et une fois au sommet nous avons une belle vue d’ensemble de toute la ville de rio, qui nous aide à comprendre un peu l’ubication des quartiers et comment s’orienter. Les 45 minutes passées au sommet sont vraiment magique et nous avons finalement eu de la chance d’avoir cette vue car en redescendant le ciel s’est couvert à nouveau et on ne voit plus rien. Il fait déjà nuit quand le van nous reconduit à notre logement, malgré le temps pourri et la frustration de ne rien avoir vu au corcovado, nous avons passé une excellente journée grâce notamment à notre excellent guide. Ce qui m’a le plus marqué, ce sont les embouteillages, je n’ai jamais vu une ville avec autant de circulation.
07.06 aujourd’hui pour changer un peu il pleut, nous avons donc trainé un peu dans la chambre après avoir pris le petit déjeuner, certaine ont même prolongé la nuit. Vers 13h la pluie a fait une pause, nous avons donc décidé de mettre le nez dehors, il y a pas mal de vent et la température a baissé à 21c°. nous marchons un peu dans un premier temps dans copacabana puis avons pris un bus pour le quartier leblon. Nous avons repéré hier lors du city tour que ça avait l’air tranquille avec des rues plutôt sympas. La climatisation du bus tout simplement insupportable, ce n’est pas comme ça que ma crève va se guérir. Nous sommes descendus à l’angle du parc quental et avons fait le tour par les rues ferreira et paiva. La pluie est de retour, très bonne excuse pour entrer au shopping alto leblon, immense centre commerciale sur 4 étages où la plupart des marques sont représentées. Maintenant que je vois les prix pratiqués ici, Je comprends mieux maintenant pourquoi à santiago, les centres commerciaux sont remplis de touristes brésiliens qui achètent comme des fous. A titre d’exemple j’ai vu une paire de air max ( rien d’extraordinaire ) à plus de 300 dollars. Notre seul achat a été pour nous nourrir avec quelques pains au fromage. Quand nous sommes ressortis la pluie avait cessé et nous en avons profité pour aller nous promener le long de la plage. Un coté de l’avenue est fermé à la circulation et laisse toute la place pour les piétons, cyclistes, skaters, joggers etc.... le moins que l’on puisse dire c’est que les brésiliens sont très sportifs, on voit des dizaines et des dizaines de personnes pratiquer un sport. Malgré la météo incertaines nous assistons à plusieurs parties de foot ou de volley sur plage et le niveau est loin d’être mauvais. La pluie est de retour mais cette fois c’est une véritable tempête qui s’abat sur nous, tout le monde tente de se réfugier sous les entrées d’édifice, nous y compris. Nous voyons plus d’un parapluie se casser sous la force du vent. Nous sommes maintenant trempés et après de longue minutes d’attente nous réussissons à trouver un taxi ( ils sont tous pris d’assaut depuis le déluge ) qui nous ramène à la pousada. La rue de notre logement est déjà à moitié inondée et pour la traverser nous n’avons d’autre choix que de nous tremper les pieds. Nous avons bien mérité une douche chaude et un coup de sèche cheveux.
En résumé je n’ai pas vraiment accroché avec rio du à plusieurs facteurs. Tout d’abord le temps pourri que nous avons eu pendant ces 3 jours ne nous a jamais permis de profiter pleinement de l’endroit ( en même temps on sait qu’en voyageant en hivers il y a des risques ), ensuite les appréhensions sur l’insécurité ne nous ont pas permis d’être totalement détendu ( et oui nous ne sommes pas au pays des bisounours ici ) et enfin la durée du séjour bien trop courte, je pense que pour réellement profiter de rio il faut y rester minimum 3 semaines pour s’orienter, découvrir les différents quartiers et commencer à l’apprécier. En tout cas la réalité est bien différentes des clichés que nous pouvons avoir sur cette ville. Demain matin nous partons direction paraty.
). La pluie s’est arrêtée entre temps et nous avons continué de longer la plage pour arriver jusqu’au musée historique de la force militaire que nous avons visité. C’est plus l’endroit que le contenu qui a attiré notre attention car il se trouve dans un ancien fort avec une vue imprenable sur la baie de copacabana. Certains canons exposés valent également le coup d’œil. Nous sommes ensuite rentrés à la pousada à la nuit tombée. Il va falloir se reposer car demain nous faisons un city tour qui dure toute la journée avec un départ à 8h30.
06.06 malgré la pluie nous sommes partis pour le city tour qui dure toute la journée, le van est venu nous chercher à 9h et nous sommes de suite entrés dans les bouchons de rio. Nous avons mi plus d’une heure pour récupérer les derniers passagers dans leur différents hôtels, le tour peut maintenant commencer. Demain est un jour férié, beaucoup vont faire le pont vendredi et ainsi obtenir un long week-end, ce qui accentue encore plus la circulation. Notre guide, martin, est très intéressant , il nous montre et nous explique l’histoire de tous les monuments par lesquels nous passons, il faut dire qu’il a le temps car nous roulons toujours au pas. Il est né en tanzanie et vit à rio depuis plus de 20 ans après avoir pas mal navigué, notamment 3 ans au danemark, parcours d’un guide classique donc. J’ai appris pas mal de choses et j’ignorais que la France et le brésil avaient eu tant de liens. Rio de janeiro a d’abord été fondé par les français en 1555 mais ils ne seront pas restés longtemps car ils se sont fait virer par les portugais en 1567 après de sanglants combats. Les portugais alliés aux anglais n’ont fait qu’ne bouchée des français alliés aux indigènes. C’est normal, arcs et flèches contre armes à feu, facile de deviner le final. Nous arrivons enfin au premier arrêt du jour, la cathédrale san sebastian. La construction moderne (1976 ) en forme de cône est totalement atypique et originale, ça ne ressemble en rien à une cathédrale normale. Deuxième arrêt le sambodromo, construit en 1984, ressemble à une immense avenue avec des gradins de chaque coté et sert au défilé des écoles de samba pendant le carnaval en février. C’est une véritable religion ici un peu comme le football et durant les 3 semaines que dure le carnaval, pratiquement tout le pays arrête de travailler. Troisième arrêt le stade de maracana, l’un des stades mythiques dans ce monde avec une capacité des presque 100.000 spectateurs, malheureusement il est actuellement en rénovation pour la prochaine coupe du monde et on ne peut pas entrer à l’intérieur pour le visiter. Ensuite nous nous sommes dirigés au corcovado pour voir la fameuse statue du christ. Une montée très difficile dans les rues sinueuses du parc de tijuca accentuée par la route mouillée. Plus nous montons, plus nous entrons dans le brouillard et nous savons que nous ne verrons rien de la magnifique vue qui se trouve au sommet. Chose confirmée une fois arrivé en haut, c’est à peine si on peut distinguer la statue du christ, heureusement avec le vent la brume passe de temps en temps et nous laisse parfois voir clairement la statue. Nous sommes à plus de 700 mètres d’altitude, la statue du christ redentor pèse 1145 tonnes et mesure 38 mètres de haut. La tête et les mains ont été taillé en France, encore un lien qui uni les deux pays. Pas la peine de rester des heures nous ne verrons rien de plus. Nous sommes redescendus et avant le déjeuner sommes passés par le quartier leblon, l’un des plus chic de la ville. Son est français et vient de monsieur leblond qui possédait tout le quartier, on lui a juste enlevé le d final pour des raisons de prononciation. Juste une pause photo de 5 minutes depuis les hauteurs avec une belle vue sur toute la plage des quartiers leblon et ipanema d’un coté alors que de l’autre on peut voir l’hôtel sheraton face à une favela, et oui les contrastes sont durs. Retour à copacabana pour la pause déjeuner dans un restaurant avec buffet à volonté, rien à ajouter, on s’est compris
. Pour finir la visite de ce city tour, direction maintenant le quartier urca, l’un des plus sécurisé de rio car il n’y a qu’une seule rue pour y entrer et pour y sortir. Plusieurs célébrités y vivent notamment roberto carlos ( le chanteur, pas le joueur de foot ). Nous descendons à coté de la plage de vermelha afin de prendre le téléphérique pour monter au sommet du pao de azucar. Ce sont d’ailleurs deux téléphériques qu’il faut prendre pour arriver au sommet de cette colline à 396 mètres d’altitude d’où l’on découvre entièrement la ville de rio. Sur le chemin entre le changement de téléphérique nous avons eu la chance de voir des petits singes, la même race que ceux que nous avions vu au parc des oiseaux à iguaçu mais cette fois en liberté dans leur milieu naturel, c’est tellement mieux. Dans l’après midi la pluie s’est arrêtée et le ciel s’est un peu dégagé et une fois au sommet nous avons une belle vue d’ensemble de toute la ville de rio, qui nous aide à comprendre un peu l’ubication des quartiers et comment s’orienter. Les 45 minutes passées au sommet sont vraiment magique et nous avons finalement eu de la chance d’avoir cette vue car en redescendant le ciel s’est couvert à nouveau et on ne voit plus rien. Il fait déjà nuit quand le van nous reconduit à notre logement, malgré le temps pourri et la frustration de ne rien avoir vu au corcovado, nous avons passé une excellente journée grâce notamment à notre excellent guide. Ce qui m’a le plus marqué, ce sont les embouteillages, je n’ai jamais vu une ville avec autant de circulation.
07.06 aujourd’hui pour changer un peu il pleut, nous avons donc trainé un peu dans la chambre après avoir pris le petit déjeuner, certaine ont même prolongé la nuit. Vers 13h la pluie a fait une pause, nous avons donc décidé de mettre le nez dehors, il y a pas mal de vent et la température a baissé à 21c°. nous marchons un peu dans un premier temps dans copacabana puis avons pris un bus pour le quartier leblon. Nous avons repéré hier lors du city tour que ça avait l’air tranquille avec des rues plutôt sympas. La climatisation du bus tout simplement insupportable, ce n’est pas comme ça que ma crève va se guérir. Nous sommes descendus à l’angle du parc quental et avons fait le tour par les rues ferreira et paiva. La pluie est de retour, très bonne excuse pour entrer au shopping alto leblon, immense centre commerciale sur 4 étages où la plupart des marques sont représentées. Maintenant que je vois les prix pratiqués ici, Je comprends mieux maintenant pourquoi à santiago, les centres commerciaux sont remplis de touristes brésiliens qui achètent comme des fous. A titre d’exemple j’ai vu une paire de air max ( rien d’extraordinaire ) à plus de 300 dollars. Notre seul achat a été pour nous nourrir avec quelques pains au fromage. Quand nous sommes ressortis la pluie avait cessé et nous en avons profité pour aller nous promener le long de la plage. Un coté de l’avenue est fermé à la circulation et laisse toute la place pour les piétons, cyclistes, skaters, joggers etc.... le moins que l’on puisse dire c’est que les brésiliens sont très sportifs, on voit des dizaines et des dizaines de personnes pratiquer un sport. Malgré la météo incertaines nous assistons à plusieurs parties de foot ou de volley sur plage et le niveau est loin d’être mauvais. La pluie est de retour mais cette fois c’est une véritable tempête qui s’abat sur nous, tout le monde tente de se réfugier sous les entrées d’édifice, nous y compris. Nous voyons plus d’un parapluie se casser sous la force du vent. Nous sommes maintenant trempés et après de longue minutes d’attente nous réussissons à trouver un taxi ( ils sont tous pris d’assaut depuis le déluge ) qui nous ramène à la pousada. La rue de notre logement est déjà à moitié inondée et pour la traverser nous n’avons d’autre choix que de nous tremper les pieds. Nous avons bien mérité une douche chaude et un coup de sèche cheveux.
En résumé je n’ai pas vraiment accroché avec rio du à plusieurs facteurs. Tout d’abord le temps pourri que nous avons eu pendant ces 3 jours ne nous a jamais permis de profiter pleinement de l’endroit ( en même temps on sait qu’en voyageant en hivers il y a des risques ), ensuite les appréhensions sur l’insécurité ne nous ont pas permis d’être totalement détendu ( et oui nous ne sommes pas au pays des bisounours ici ) et enfin la durée du séjour bien trop courte, je pense que pour réellement profiter de rio il faut y rester minimum 3 semaines pour s’orienter, découvrir les différents quartiers et commencer à l’apprécier. En tout cas la réalité est bien différentes des clichés que nous pouvons avoir sur cette ville. Demain matin nous partons direction paraty.
