Le 30/04/12, 17:47
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Le 27 Avril, centre ville d'Antsirabe.
Départ de l'hôtel Green Park vers 8h30 en direction du centre ville. Cela ne ressemble en rien au centre ville de chez nous, les rues ne sont pas toutes goudronnées, les commerces sont des petites cabanes en bois au bord de la route.
Devant la gare des pousse-pousse se précipitent devant nous pour nous emmener. C'est l'occasion d'essayer mais c'est tout de même gênant, on se sent mal à l'aise d'être assis pendant qu'une personne vous tire en courant. Nous descendons l'avenue de l'indépendance pour arriver devant l'hôtel qui ressemble à un mini palais. C'était le lieu de repos de la reine. L'architecture est de style colonial et a été conçue par Laborde. C'est un architecte français qui avait une relation très particulière avec la Reine.
Nous avons ensuite visité 3 ateliers avec démonstrations : broderie et miniatures, sculpture de cornes de zébu et art Batik (peinture). Mat et moi avons halluciné de voir ce qu'ils pouvaient faire à partir de rien. Ils récupèrent tout et réussissent à fabriquer des choses magnifiques! Photos à l’appui !
Arrêt déjeuner à Ambositra :
Le midi nous avons mangé dans un resto où il y avait plein de « vazaha » c’est un peu loupé pour se fondre dans la vie locale ! Mais bon on a quand même bien mangé et pour l’instant on n’a toujours pas attrapé la turista !! En début d’après-midi nous avons cherché un cyber-café pour rassurer tout le monde et dire que l’on allait bien, celui qu’on a trouvé était un peu vétuste et internet n’a marché que 3 minutes ce qui ne nous a pas empêché d’en payer 10 mais bon c’est le jeu !!
Nous avons ensuite enchaîné avec 3 heures de route, nous avons longé les hauts plateaux, les collines sont très rouge cela est du la couleur de la terre et à la déforestation. Sur la route nous croisons des villageois qui marchent des kilomètres et des kilomètres. Adultes comme enfants portent des sacs sur leur dos ou leur tête et marchent pieds nus. Les enfants nous font souvent coucou et nous disent « Sali vazaha » (salut le blanc). Cela n’a rien de péjoratif. Dès que l’on s’arrête pour prendre une photo ou faire une pose technique (selon Justin) ils accourent vers nous et nous demandent des bonbons, des stylos ou nos tee-shirts ! Ils sont très nombreux car les instituteurs des écoles publiques (non payantes) sont en grève. On les voit donc jouer dans la rivière, travailler avec leur famille dans les rizières (c’est la saison des récoltes) ou accompagner des troupeaux de zébus du Sud vers le Nord.
Lors d’un arrêt nous avons rencontré une famille qui construisait sa maison en terre, chaque membre mélangé la terre et l’eau à la main et formait des murs, le sol était également en terre. La construction dure un bout de temps car il faut attendre que chaque couche sèche.
En fin de journée nous sortons de la Nationale 7 pour nous diriger vers Ranomafana, Justin s’est dépêché pour que l’on arrive à l’heure pour une visite nocturne ce qui lui a valu le surnom de Schumarer pour la fin du voyage.
Nous rencontrons Diamon un guide du parc qui nous emmène à la découverte du lémurien nocturne, il ne pèse pas plus de 45 grammes ! C’est tout mignon !! Par chance on en a vu deux dès notre arrivée, ensuite repérage de caméléons nocturnes et on a fini notre visite sous la pluie !! Merci maman pour les ponchos de pluie !!!
Encore nos photos:https://plus.google.com/photos/107699213980066627266/albums/5737211686853445905?authkey=CKHGndWd3IqyEw
Départ de l'hôtel Green Park vers 8h30 en direction du centre ville. Cela ne ressemble en rien au centre ville de chez nous, les rues ne sont pas toutes goudronnées, les commerces sont des petites cabanes en bois au bord de la route.
Devant la gare des pousse-pousse se précipitent devant nous pour nous emmener. C'est l'occasion d'essayer mais c'est tout de même gênant, on se sent mal à l'aise d'être assis pendant qu'une personne vous tire en courant. Nous descendons l'avenue de l'indépendance pour arriver devant l'hôtel qui ressemble à un mini palais. C'était le lieu de repos de la reine. L'architecture est de style colonial et a été conçue par Laborde. C'est un architecte français qui avait une relation très particulière avec la Reine.
Nous avons ensuite visité 3 ateliers avec démonstrations : broderie et miniatures, sculpture de cornes de zébu et art Batik (peinture). Mat et moi avons halluciné de voir ce qu'ils pouvaient faire à partir de rien. Ils récupèrent tout et réussissent à fabriquer des choses magnifiques! Photos à l’appui !
Arrêt déjeuner à Ambositra :
Le midi nous avons mangé dans un resto où il y avait plein de « vazaha » c’est un peu loupé pour se fondre dans la vie locale ! Mais bon on a quand même bien mangé et pour l’instant on n’a toujours pas attrapé la turista !! En début d’après-midi nous avons cherché un cyber-café pour rassurer tout le monde et dire que l’on allait bien, celui qu’on a trouvé était un peu vétuste et internet n’a marché que 3 minutes ce qui ne nous a pas empêché d’en payer 10 mais bon c’est le jeu !!
Nous avons ensuite enchaîné avec 3 heures de route, nous avons longé les hauts plateaux, les collines sont très rouge cela est du la couleur de la terre et à la déforestation. Sur la route nous croisons des villageois qui marchent des kilomètres et des kilomètres. Adultes comme enfants portent des sacs sur leur dos ou leur tête et marchent pieds nus. Les enfants nous font souvent coucou et nous disent « Sali vazaha » (salut le blanc). Cela n’a rien de péjoratif. Dès que l’on s’arrête pour prendre une photo ou faire une pose technique (selon Justin) ils accourent vers nous et nous demandent des bonbons, des stylos ou nos tee-shirts ! Ils sont très nombreux car les instituteurs des écoles publiques (non payantes) sont en grève. On les voit donc jouer dans la rivière, travailler avec leur famille dans les rizières (c’est la saison des récoltes) ou accompagner des troupeaux de zébus du Sud vers le Nord.
Lors d’un arrêt nous avons rencontré une famille qui construisait sa maison en terre, chaque membre mélangé la terre et l’eau à la main et formait des murs, le sol était également en terre. La construction dure un bout de temps car il faut attendre que chaque couche sèche.
En fin de journée nous sortons de la Nationale 7 pour nous diriger vers Ranomafana, Justin s’est dépêché pour que l’on arrive à l’heure pour une visite nocturne ce qui lui a valu le surnom de Schumarer pour la fin du voyage.
Nous rencontrons Diamon un guide du parc qui nous emmène à la découverte du lémurien nocturne, il ne pèse pas plus de 45 grammes ! C’est tout mignon !! Par chance on en a vu deux dès notre arrivée, ensuite repérage de caméléons nocturnes et on a fini notre visite sous la pluie !! Merci maman pour les ponchos de pluie !!!
Encore nos photos:https://plus.google.com/photos/107699213980066627266/albums/5737211686853445905?authkey=CKHGndWd3IqyEw
