Le 15/04/12, 2:15
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Le passage de la frontière s’est fait sans problème mais les chiliens ont une fois de plus été les plus chiants, et pourtant cette fois c’était juste pour sortir du territoire. Déjà avant de faire les formalités, on ma fait ouvrir le camper pour vérifier qu’il n’y avait pas d’autres personnes. Pour ceux qui ne savent pas trop comment ça marche, et bien le passage d’une frontière c’est pas compliqué. Dans le pays duquel on sort, D’abord on passe l’immigration, ensuite la douane et dans le pays dans lequel on entre, on répète ces deux opérations plus en troisième partie le contrôle sanitaire ( le plus chiant car si ils font vraiment leur boulot il révise tout le véhicule ) . alors là c’est donc à la sortie du chili que l’on a perdu le plus de temps avec un vieux con à la douane qui ne voulait pas comprendre que la cellule n’a pas de document propre car elle est considérée juste comme une charge dans la benne. Même sa collègue avait l’air agacé par son comportement de je crois tout savoir mais je me plante sur toute la ligne. Enfin nous sommes tout de même sorti. Coté argentin en revanche le service sanitaire ne nous a même pas fait ouvrir le véhicule ni le camper, ils sont détendus. Nous sommes donc de retour sur la fameuse route des 7 lacs. J’ai eu l’impression d’être dans un grand 8 sur cette route de montagne qui monte et qui descend, et qui n’arrête pas de tourner. Nous avons donc vu successivement les lacs, correntoso, traful, falkner, villarino, hermoso et lacar. Il y a un mirador tous les 5 kms, évidement c’est à chaque fois un paysage magnifique mais à force de s’arrêter à tous nous sommes arrivés à san martin de los andes de nuit. Nous avons tourné un peu mais trouvé le camping assez facilement et nous verrons demain pour la visite de la ville car il est déjà tard. Pour mon plus grand bonheur le camping a une connexion wifi.
14.04 san martin de los andes, 25.000 habitants, est une petite ville bien charmante. Aujourd’hui elle se trouve bien animé car se coure le marathon de la ville. Plusieurs rues sont évidement bloquées, ajouté à cela les travaux, c’est un peu le bazard pour circuler mais on s’en sort. Nous en avons profité pour refaire le plein de nourriture en passant au supermarché, et oui quand on passe la frontière le frigo est vide, aucun produit frais. Puis nous avons fait un petit tour dans la ville, le lac lacar et sa plage, la place sarmiento et la place san martin. La plupart des magasins sont fermés, ce n’est pourtant pas encore l’heure de la sieste mais il y a énormément de monde dans la rue principale à l’arrivée de la course qui encouragent les coureurs. Nous avons déjeuné en ville, une très bonne tarte aux 4 fromages avec salade, et sommes partis direction junin de los andes ( et oui nous sommes toujours dans les andes ). Junin se trouve à seulement 40 kms de san martin et nous n’avons fait qu’un seul arrêt photo en route avant d’arriver. C’est une petite ville de 12.000 habitants et arriver en plein milieu de la sieste ça n’aide pas à se faire une idée de l’ambiance, en tout cas on n’a pas de problème pour se garer, même la place principale est presque déserte. Nous en avons fait le tour, les seuls à faire du bruit sont les oiseaux dont je ne me souviens plus du nom, c’est un mélange entre perruche et perroquet. Les horaires de certaines boutique de la feria artisanale nous ont bien fait rire, 11h-12h30 / 18h30-20h ( pour eux les 35 heures, c’est par tranche de 2 semaines ) . devant cette montagne d’activité, nous sommes allés nous installer au camping et nous sommes reposé un peu. Il faut être en forme car la prochaine étape se trouve à plus de 900 kms et il n’y a pas grand-chose entre les 2 ( évidement ça se fera en 2 jours ) .
14.04 san martin de los andes, 25.000 habitants, est une petite ville bien charmante. Aujourd’hui elle se trouve bien animé car se coure le marathon de la ville. Plusieurs rues sont évidement bloquées, ajouté à cela les travaux, c’est un peu le bazard pour circuler mais on s’en sort. Nous en avons profité pour refaire le plein de nourriture en passant au supermarché, et oui quand on passe la frontière le frigo est vide, aucun produit frais. Puis nous avons fait un petit tour dans la ville, le lac lacar et sa plage, la place sarmiento et la place san martin. La plupart des magasins sont fermés, ce n’est pourtant pas encore l’heure de la sieste mais il y a énormément de monde dans la rue principale à l’arrivée de la course qui encouragent les coureurs. Nous avons déjeuné en ville, une très bonne tarte aux 4 fromages avec salade, et sommes partis direction junin de los andes ( et oui nous sommes toujours dans les andes ). Junin se trouve à seulement 40 kms de san martin et nous n’avons fait qu’un seul arrêt photo en route avant d’arriver. C’est une petite ville de 12.000 habitants et arriver en plein milieu de la sieste ça n’aide pas à se faire une idée de l’ambiance, en tout cas on n’a pas de problème pour se garer, même la place principale est presque déserte. Nous en avons fait le tour, les seuls à faire du bruit sont les oiseaux dont je ne me souviens plus du nom, c’est un mélange entre perruche et perroquet. Les horaires de certaines boutique de la feria artisanale nous ont bien fait rire, 11h-12h30 / 18h30-20h ( pour eux les 35 heures, c’est par tranche de 2 semaines ) . devant cette montagne d’activité, nous sommes allés nous installer au camping et nous sommes reposé un peu. Il faut être en forme car la prochaine étape se trouve à plus de 900 kms et il n’y a pas grand-chose entre les 2 ( évidement ça se fera en 2 jours ) .
