Le 10/04/12, 10:18
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Iquitos : Ville située au coeur de la jungle. Depuis Lima deux voies d'accès permettent d'atteindre la cité aborigène : voie fluviale ou la plus courte, l'avion. Quand je suis descendu de l'avion, l'atmosphère m'a surpris, d'un coup j'ai ressenti des difficultés à respirer dû à la forte teneur en vapeur d'eau puis on s'y habitue vite mais l'atmosphère reste lourd.
A peine sorti de l'aéroport, me voila en train de chevauché un moto taxi direction le centre ville. Depuis le temps que j'attendais avec Hâte ce périple en jungle, je m'émerveillais devant le moindre signe qui me montrait que j'étais bien au coeur de la jungle. Mes yeux contemplaient tout ce qui m'entourait. Je me souviens de la première soirée à Iquitos : après avoir rempli nos estomacs, nous sommes allés faire un tour en ville. On se promène sur une place et je remarque que juste après, il n'y a plus de lumière. Ici encore, mon cerveau d'occidental me questionne : Y a t-il une partie de la ville plongée dans l'obscurité faute d'infrastructures ? Décidé à trouver une réponse à cette question, je m'approche de cette zone et découvre la végétation et tous les bruits étranges que percevait mes oreilles. C'était les portes de la forêt...
Attiré depuis longtemps par le milieu tropical, j'avais entendu parlé des shamans que j'imagine être des sortes de druides, de magiciens des villages ou encore des guides spirituels. Ceux-ci détiennent la recette de l'Ayahuasca : ce breuvage qui élève les esprits de la forêt. Un voyageur de nationalité anglaise me racontait qu'il parcourait le monde à la recherche d'expériences spirituelles. Deux ans autour du monde ou il a essayé pas mal de drogues et de tout ce qu'il a essayé, celle-ci fût la pire... Sans doute, ça a calmé ma curiosté d'éssayé. Le dernier jour dans la jungle, c'est un français qui a partagé son expérience toute différente. Il m'a conseillé un livre sur le mystère de l'Ayahuasca et m'a filé une adresse ou je puisse réussir mon expérience. Le soir-même, j'hésitais à y aller avant de quitter la jungle. Finalement, ne voulant pas forcer les choses, je me suis dis qu'après tout, je saurais y retourner...
A peine sorti de l'aéroport, me voila en train de chevauché un moto taxi direction le centre ville. Depuis le temps que j'attendais avec Hâte ce périple en jungle, je m'émerveillais devant le moindre signe qui me montrait que j'étais bien au coeur de la jungle. Mes yeux contemplaient tout ce qui m'entourait. Je me souviens de la première soirée à Iquitos : après avoir rempli nos estomacs, nous sommes allés faire un tour en ville. On se promène sur une place et je remarque que juste après, il n'y a plus de lumière. Ici encore, mon cerveau d'occidental me questionne : Y a t-il une partie de la ville plongée dans l'obscurité faute d'infrastructures ? Décidé à trouver une réponse à cette question, je m'approche de cette zone et découvre la végétation et tous les bruits étranges que percevait mes oreilles. C'était les portes de la forêt...
Attiré depuis longtemps par le milieu tropical, j'avais entendu parlé des shamans que j'imagine être des sortes de druides, de magiciens des villages ou encore des guides spirituels. Ceux-ci détiennent la recette de l'Ayahuasca : ce breuvage qui élève les esprits de la forêt. Un voyageur de nationalité anglaise me racontait qu'il parcourait le monde à la recherche d'expériences spirituelles. Deux ans autour du monde ou il a essayé pas mal de drogues et de tout ce qu'il a essayé, celle-ci fût la pire... Sans doute, ça a calmé ma curiosté d'éssayé. Le dernier jour dans la jungle, c'est un français qui a partagé son expérience toute différente. Il m'a conseillé un livre sur le mystère de l'Ayahuasca et m'a filé une adresse ou je puisse réussir mon expérience. Le soir-même, j'hésitais à y aller avant de quitter la jungle. Finalement, ne voulant pas forcer les choses, je me suis dis qu'après tout, je saurais y retourner...