Le 08/02/12, 18:31
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Après 3 mois en Inde, mon arrivée au Brésil après un long périple fut comme un retour à la civilisation. Ici, il y a des voitures, qui en plus roulent normalement. Ici, y’a de l’eau chaude. Ici, c’est propre. Ici, personne ne m’accoste à longueur de journée pour me prendre en photo ou pour me vendre un truc.
Il fait chaud, et j’ai le droit de mettre un T-shirt !!! (en Inde, les filles ne doivent pas montrer leurs épaules). Il fait chaud, mais c’est la saison des pluies. Donc par moments, il se met à pleuvoir plus que des cordes. On est mouillé de la tête aux pieds, du sous-vêtement au pantalon, instantanément.
Les Brésiliens sont très sympathiques. Ils te parlent très facilement et t’aident avec plaisir quand tu en as besoin. Le problème, c’est que je parle pas vraiment portugais. Mais peu importe, dans le bus, ils peuvent me parler pendant plusieurs minutes sachant que je comprends rien. Je baraguine dans mon portugais très empreint d’espagnol : nao entiendo. Mais ils continuent quand même. Je pense qu’en réalité, ils veulent simplement parler, et n’attendent aucune réponse de ma part. Mais ça ne me dérange pas : j’adore les écouter me parler ! Ca sonne comme une belle musique dans mes oreilles.
Niveau resto, c’est souvent des buffets. Tu prends ce que tu veux et après tu pèses ton assiette. Le poids détermine le prix à payer. Le but est donc de prendre ce qui pèse le moins lourd pour payer le moins possible. C’est devenu un concours entre mes amies et moi. Je mange tous les soirs avec une Anglaise et une Allemande. On regarde qui a gagné. Généralement, on arrive toujours dans le même ordre : l’Anglaise en premier, ensuite moi et après l’Allemande.
Le seul problème du Brésil, c’est que c’est cher. Certaines choses sont même aussi chères qu’en France. On m’avait prévenue, mais je pensais pas que ça le serait autant. Du coup, même si je serais bien rester longtemps au Brésil, j’ai décidé d’écourter mon séjour car ça fait un gros trou dans mon budget. J’y retournerai plus préparée.
Il fait chaud, et j’ai le droit de mettre un T-shirt !!! (en Inde, les filles ne doivent pas montrer leurs épaules). Il fait chaud, mais c’est la saison des pluies. Donc par moments, il se met à pleuvoir plus que des cordes. On est mouillé de la tête aux pieds, du sous-vêtement au pantalon, instantanément.
Les Brésiliens sont très sympathiques. Ils te parlent très facilement et t’aident avec plaisir quand tu en as besoin. Le problème, c’est que je parle pas vraiment portugais. Mais peu importe, dans le bus, ils peuvent me parler pendant plusieurs minutes sachant que je comprends rien. Je baraguine dans mon portugais très empreint d’espagnol : nao entiendo. Mais ils continuent quand même. Je pense qu’en réalité, ils veulent simplement parler, et n’attendent aucune réponse de ma part. Mais ça ne me dérange pas : j’adore les écouter me parler ! Ca sonne comme une belle musique dans mes oreilles.
Niveau resto, c’est souvent des buffets. Tu prends ce que tu veux et après tu pèses ton assiette. Le poids détermine le prix à payer. Le but est donc de prendre ce qui pèse le moins lourd pour payer le moins possible. C’est devenu un concours entre mes amies et moi. Je mange tous les soirs avec une Anglaise et une Allemande. On regarde qui a gagné. Généralement, on arrive toujours dans le même ordre : l’Anglaise en premier, ensuite moi et après l’Allemande.
Le seul problème du Brésil, c’est que c’est cher. Certaines choses sont même aussi chères qu’en France. On m’avait prévenue, mais je pensais pas que ça le serait autant. Du coup, même si je serais bien rester longtemps au Brésil, j’ai décidé d’écourter mon séjour car ça fait un gros trou dans mon budget. J’y retournerai plus préparée.