Le 11/10/11, 8:04
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Lundi : journée de repos à Tarascon – On en a profité pour aller en Andorre (que je voulais voir) à 90 km – Très déçue par la ville mais par contre, on était très content de passer un petit moment avec Yves d’Ezerando.
Mardi : On entre en Pays Cathare aux noms évocateurs : Foix et son château qui surplombe la ville, Lavelanet et son musée textile, les châteaux de Montségur, de Puylaurens, de Quéribus ... pour s’arrêter à Maury , au domaine viticole d’Elodie , petit producteur indépendant. Comme d’habitude, nous avons goûté leur production.
Daniel :
Au départ de Tarascon, je remonte la jolie vallée de l’Ariège avant de passer tout près de Montségur, d’abominable mémoire (« ô Dieu, que de crimes on commet en ton nom ») puis d’aborder mes 3 derniers cols pyrénéens : le col de la Babourade (655 m) montée très facile, le plus souvent à 2O km/h ; le col du Portel (601 m) très très roulant, monté à 21-22 km/h, avec au sommet un panorama époustouflant ; et enfin le col de Campérié, 534 m seulement, mais plus pentu, monté entre 12 et 15 km/h. Je constate que les 3 jours d’ascension des grands cols, suivis d’une journée de récupération, hier, en Andorre, m’ont plutôt réussi : je me sens dans un état de forme incroyable !
Après les Hautes-Pyrénées et ses cols mythiques (ceux de Haute-Garonne ne sont pas mal non plus !), nous avons donc parcouru les Pyrénées Ariégeoises, puis les Pyrénées Cathares, splendides, où nous dormons ce soir.
Demain, nous reverrons, déjà, la Méditerranée. Je n’en reviens pas !
110 km - 4 h 15 – moyenne 25,89 km/h ! (mais j’avais le vent dans le dos !)
maxi 61,46 km/h dans la descente, magnifique, du col du Portel.
Ciao, ciao.
Mardi : On entre en Pays Cathare aux noms évocateurs : Foix et son château qui surplombe la ville, Lavelanet et son musée textile, les châteaux de Montségur, de Puylaurens, de Quéribus ... pour s’arrêter à Maury , au domaine viticole d’Elodie , petit producteur indépendant. Comme d’habitude, nous avons goûté leur production.
Daniel :
Au départ de Tarascon, je remonte la jolie vallée de l’Ariège avant de passer tout près de Montségur, d’abominable mémoire (« ô Dieu, que de crimes on commet en ton nom ») puis d’aborder mes 3 derniers cols pyrénéens : le col de la Babourade (655 m) montée très facile, le plus souvent à 2O km/h ; le col du Portel (601 m) très très roulant, monté à 21-22 km/h, avec au sommet un panorama époustouflant ; et enfin le col de Campérié, 534 m seulement, mais plus pentu, monté entre 12 et 15 km/h. Je constate que les 3 jours d’ascension des grands cols, suivis d’une journée de récupération, hier, en Andorre, m’ont plutôt réussi : je me sens dans un état de forme incroyable !
Après les Hautes-Pyrénées et ses cols mythiques (ceux de Haute-Garonne ne sont pas mal non plus !), nous avons donc parcouru les Pyrénées Ariégeoises, puis les Pyrénées Cathares, splendides, où nous dormons ce soir.
Demain, nous reverrons, déjà, la Méditerranée. Je n’en reviens pas !
110 km - 4 h 15 – moyenne 25,89 km/h ! (mais j’avais le vent dans le dos !)
maxi 61,46 km/h dans la descente, magnifique, du col du Portel.
Ciao, ciao.