Le 26/08/11, 13:20
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Au ptit dej, je discute avec deux filles avec qui je partage la chambre. Elles sont tchèques et l'une d'elle étudie au Brésil pour un an. Je prêche la bonne parole couchsurfing et recueil auprès de la proprio de l'hostel des renseignements pour passer la matinée au Paraguay.
Elle m'invite, pour ne pas perdre de temps, à passer la frontière comme les locaux sans passer les postes de frontière... cool !
Le bus fait traverser le pont et les deux postes frontières.
La ville paraguayenne est très différente. Là où Foz do Iguassu est une petite ville tranquille, ici c'est une succession de centres commerciaux plus ou moins de luxe.
On se fait alpaguer tous les 5m et les prix proposés ne sont pas si intéressant que ca. L'avantage c'est qu'on trouve tout ce qu'on veut : épée, tapis persan, montre de luxe, pack de bière, matériel de pêche, bouteille d'alcool de 5/10 litres.
Les couleurs de la ville sont hallucinantes, tout comme la proximité pauvres/riches qui fait passer Rio pour la Suisse limite. Au milieu de la grande avenue, des bureaux de changes où des gens comptent à la main des centaines de billets chacun, surveillés/protégés par des mecs avec des armes automatiques.
Je reste 2 bonnes heures à me promener et attends bien 20 min le bus pour, lassé d'attendre, traverser le pont à pied... comme on rentre et sort d'un moulin.
Je libère ma chambre, ayant prévu de passer la frontière vers l'Argentine le soir.
Et je me rends au parc aux oiseaux.
Là, grosse grosse claque, les cages sont énormes, les oiseaux font saigner les yeux tellement les couleurs pètent. Le parcours traverse carrément certaines cages et permet d'être au contact des oiseaux. Les voir de plus prêt me confirme l'impression que j'avais eu à Rio... je suis en train de tomber amoureux... des Toucans ! La sérénité et l'éclat des couleurs est à tomber par terre.
Les perroquets ne sont pas moins beaux, ils volent sans arrêt dans la cage, se font des papouilles ou s'engueulent clairement. Quand je me dis qu'ils gèrent bien, l'un d'eux cogne le haut de ma tête.
Je passe ensuite dans la cage des colibris et réalisent que le bruit de bourdon entendu quelques jours plus tôt dans la forêt brésilienne n'était qu'un de ces oiseaux.
Je rentre à l'hostel, prends mes affaires en fin j'essaye. ??? est amoureuse de mon sac dont les couleurs collent avec celles de l'hostel : mon sac va bientôt devenir célèbre et être sur leur site web.
Je me fais bien dire de m'arrêter au poste frontière mais je réalise en l'attendant que mon bus est le dernier de la journée... au final je repasse la frontière brésilienne à l'arrache.
Je me fais par contre bien tamponner côté argentin.
La gare de bus est à côté de mon hostel. J'y suis accueilli par une charmante argentine à l'anglais aussi bon que mon espagnol... mais on arrive à s'entendre.
Je sors trouver de quoi grignoter : un demi litre de bière, un hamburger, une glace... 6 euros... bienvenu en Argentine !
Elle m'invite, pour ne pas perdre de temps, à passer la frontière comme les locaux sans passer les postes de frontière... cool !
Le bus fait traverser le pont et les deux postes frontières.
La ville paraguayenne est très différente. Là où Foz do Iguassu est une petite ville tranquille, ici c'est une succession de centres commerciaux plus ou moins de luxe.
On se fait alpaguer tous les 5m et les prix proposés ne sont pas si intéressant que ca. L'avantage c'est qu'on trouve tout ce qu'on veut : épée, tapis persan, montre de luxe, pack de bière, matériel de pêche, bouteille d'alcool de 5/10 litres.
Les couleurs de la ville sont hallucinantes, tout comme la proximité pauvres/riches qui fait passer Rio pour la Suisse limite. Au milieu de la grande avenue, des bureaux de changes où des gens comptent à la main des centaines de billets chacun, surveillés/protégés par des mecs avec des armes automatiques.
Je reste 2 bonnes heures à me promener et attends bien 20 min le bus pour, lassé d'attendre, traverser le pont à pied... comme on rentre et sort d'un moulin.
Je libère ma chambre, ayant prévu de passer la frontière vers l'Argentine le soir.
Et je me rends au parc aux oiseaux.
Là, grosse grosse claque, les cages sont énormes, les oiseaux font saigner les yeux tellement les couleurs pètent. Le parcours traverse carrément certaines cages et permet d'être au contact des oiseaux. Les voir de plus prêt me confirme l'impression que j'avais eu à Rio... je suis en train de tomber amoureux... des Toucans ! La sérénité et l'éclat des couleurs est à tomber par terre.
Les perroquets ne sont pas moins beaux, ils volent sans arrêt dans la cage, se font des papouilles ou s'engueulent clairement. Quand je me dis qu'ils gèrent bien, l'un d'eux cogne le haut de ma tête.
Je passe ensuite dans la cage des colibris et réalisent que le bruit de bourdon entendu quelques jours plus tôt dans la forêt brésilienne n'était qu'un de ces oiseaux.
Je rentre à l'hostel, prends mes affaires en fin j'essaye. ??? est amoureuse de mon sac dont les couleurs collent avec celles de l'hostel : mon sac va bientôt devenir célèbre et être sur leur site web.
Je me fais bien dire de m'arrêter au poste frontière mais je réalise en l'attendant que mon bus est le dernier de la journée... au final je repasse la frontière brésilienne à l'arrache.
Je me fais par contre bien tamponner côté argentin.
La gare de bus est à côté de mon hostel. J'y suis accueilli par une charmante argentine à l'anglais aussi bon que mon espagnol... mais on arrive à s'entendre.
Je sors trouver de quoi grignoter : un demi litre de bière, un hamburger, une glace... 6 euros... bienvenu en Argentine !