Le 22/05/11, 9:01
1.294269381428646.70184928
Dim 22 mai St Pierre
Ce matin, le vent est monstrueux. Tjrs Ouest dominant, il m’oblige, sur les premiers km, à rouler penché du côté droit pour garder l’équilibre. Puis, lorsque je tourne (trop tôt, + 2 km ! ), à droite justement, sur la gd’ route qui mène à Fécamp, je le reçois de plein fouet, et je suis stoppé net ! Je suis, sur le plat, obligé d’utiliser les plus petits développements. J’oblique à droite pour reprendre la route côtière, et là c’est vers la gauche qu’il me faut me pencher !
Et ,tt au long, ces grands champs d’éoliennes. Elles semblent me narguer ! Lorsque j’arrive au bout d’un immense plateau, ... une éolienne à terre ! C’est bien fait !
« Ah tu parais moins fière, là, à l’horizontale ! »
1 km plus loin, la route plonge d’un coup, et là, vue fantastique sur Fécamp et sa falaise.
Ça valait le coup de « souffrir » un peu !
Très jolies maisons cauchoises, à colombages, à la sortie de Fécamp.
Criqueboeuf en Caux, Yport, Vaucottes, ... petits villages du bord de mer nichés entre 2 falaises, qui valent le détour. Mais il faut à chaque fois y descendre, et puis... en remonter ! Sauf à Vattetot sur mer, juché lui, en sommet de falaise.
« Il est splendide, Micka, ton beau pays de Caux »
Dans les longues lignes droites, entre Etretat et le Havre, grosses rafales. Embardées.
A un moment où je me dresse sur les pédales pour tenter de relancer la machine, j’ai la sensation que mon vélo « recule sous moi ». Et là, je comprends tout: Ce n’est pas moi
qui donne de la prise au vent (je me disais aussi), c’est le vélo ! Ce sont les sacoches ! Vexant.
Puis j’arrive au Havre ss un soleil magnifique. Il fait un peu moins froid. Je m’offre un bon café face à la mer. Vais-je pouvoir, à vélo, passer le Pont de Normandie ?
Oui, c’est autorisé... à condition d’y parvenir : après avoir cherché, en vain, (plus 7 km) entre le Havre et le pont, un passage autorisé aux vélos, je me résouds à emprunter... l’A 29 ! Oui, moi aussi, c’est la 1ère fois que je vois un vélo sur une autoroute ! Je roule, aussi vite que je peux, sur la bande d’arrêt d’urgence, sur plusieurs km, sors de l’autoroute par l’aire de la Baie de Seine, et de là me présente à l’entrée du pont, salue les policiers et les CRS en faction... Ils ne bronchent pas. Ni vu, ni connu !
Du ht du pont, vue exceptionnelle, à gauche sur la Seine, et à D sur l’Atlantique. Mais quel vent !
Après le pont : « sortie obligatoire pour les vélos ». On se retrouve ds les champs ! Re-galère pour récupérer la route autorisée. Ici, c’est sûr, les ingénieurs de la DDE ne pratiquent pas le vélo !
Je rejoins Evelyne sur le port de Honfleur, où ns allons de « l’autocaravaning sauvage ».
93 km (au lieu de 83) et 4 h 5O.
Etape dure . Ciao !
Ce matin, le vent est monstrueux. Tjrs Ouest dominant, il m’oblige, sur les premiers km, à rouler penché du côté droit pour garder l’équilibre. Puis, lorsque je tourne (trop tôt, + 2 km ! ), à droite justement, sur la gd’ route qui mène à Fécamp, je le reçois de plein fouet, et je suis stoppé net ! Je suis, sur le plat, obligé d’utiliser les plus petits développements. J’oblique à droite pour reprendre la route côtière, et là c’est vers la gauche qu’il me faut me pencher !
Et ,tt au long, ces grands champs d’éoliennes. Elles semblent me narguer ! Lorsque j’arrive au bout d’un immense plateau, ... une éolienne à terre ! C’est bien fait !
« Ah tu parais moins fière, là, à l’horizontale ! »
1 km plus loin, la route plonge d’un coup, et là, vue fantastique sur Fécamp et sa falaise.
Ça valait le coup de « souffrir » un peu !
Très jolies maisons cauchoises, à colombages, à la sortie de Fécamp.
Criqueboeuf en Caux, Yport, Vaucottes, ... petits villages du bord de mer nichés entre 2 falaises, qui valent le détour. Mais il faut à chaque fois y descendre, et puis... en remonter ! Sauf à Vattetot sur mer, juché lui, en sommet de falaise.
« Il est splendide, Micka, ton beau pays de Caux »
Dans les longues lignes droites, entre Etretat et le Havre, grosses rafales. Embardées.
A un moment où je me dresse sur les pédales pour tenter de relancer la machine, j’ai la sensation que mon vélo « recule sous moi ». Et là, je comprends tout: Ce n’est pas moi
qui donne de la prise au vent (je me disais aussi), c’est le vélo ! Ce sont les sacoches ! Vexant.
Puis j’arrive au Havre ss un soleil magnifique. Il fait un peu moins froid. Je m’offre un bon café face à la mer. Vais-je pouvoir, à vélo, passer le Pont de Normandie ?
Oui, c’est autorisé... à condition d’y parvenir : après avoir cherché, en vain, (plus 7 km) entre le Havre et le pont, un passage autorisé aux vélos, je me résouds à emprunter... l’A 29 ! Oui, moi aussi, c’est la 1ère fois que je vois un vélo sur une autoroute ! Je roule, aussi vite que je peux, sur la bande d’arrêt d’urgence, sur plusieurs km, sors de l’autoroute par l’aire de la Baie de Seine, et de là me présente à l’entrée du pont, salue les policiers et les CRS en faction... Ils ne bronchent pas. Ni vu, ni connu !
Du ht du pont, vue exceptionnelle, à gauche sur la Seine, et à D sur l’Atlantique. Mais quel vent !
Après le pont : « sortie obligatoire pour les vélos ». On se retrouve ds les champs ! Re-galère pour récupérer la route autorisée. Ici, c’est sûr, les ingénieurs de la DDE ne pratiquent pas le vélo !
Je rejoins Evelyne sur le port de Honfleur, où ns allons de « l’autocaravaning sauvage ».
93 km (au lieu de 83) et 4 h 5O.
Etape dure . Ciao !