Le 10/04/10, 13:22
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Et bien voilà, comme on dit, une page se tourne, un chapitre se ferme, mais l’histoire continue ! Nous avons donc définitivement dit adieu au désert, à sa rudesse et à sa monotone splendeur pour à nouveau nous plonger dans les troublantes beautés des tropiques. Si Darwin est la capitale tropicale, le Queensland n’a rien à envier au Territoire du Nord ! Lorsque vous quittez l’interieur des terres et qu’au loin, l’odeur de l’océan déjà se fait sentir, les palmiers et autres cocotiers se mettent à pousser comme des champignons. Pour peu que votre route vous conduise en direction de Cairns, c’est alors une véritable avalanche de verdure qui s’abat sur vous du haut des montagnes. D’ailleurs la route ralliant Townsville à Cairns ne s’appelle t’elle pas la Great Green Way ?
Un bémol cependant, si les forêts sont magnifiques sur cette route, on ne peut pas en dire autant de l’océan. L’eau est chaude certes, les plages sont idylliques certes, on se croirait dans les caraïbes, certes, mais il manque quelque chose...Ah mais oui, l’eau turquoise et translucide que nous vante les brochures et les guides ! Au lieu de cela, c’est une eau plus que sombre et un panneau « danger méduses » (et parfois crocodiles) qui attendent les baigneurs égarés... Enfin qu’importe cela. Cairns fait facilement oublier ce handicap. La ville, littéralement prise au piège au milieu de montagnes dont les sommets sont souvent perdus dans les nuages, comme si les arbres exalaient une vapeur étrange. La ville quant à elle n’a rien à envier à Darwin ou Adélaide, bien au contraire ! L’esplanade de toute beauté conduit à un « lagon artificiel » où les baigneurs se rafraichissent en oubliant que la plage n’est pas praticable. Les rues sont extrêmement vertes, et la municipalité (à en juger par le nombre d’employés dévolus à cette tache) semble mettre un point d’honneur à avoir des espaces verts impeccables. Les bâtiments coloniaux et autres plantations reconvertis côtoient avec goût et harmonie les immeubles et centre commerciaux modernes.
Cependant, les charmes incontestables de cette cité balnéaire (paradoxalement privée de plage) ne font pas oublier la raison principale qui conduit les masses jusqu’ici... LA GRANDE BARRIERE DE CORAIL ! Le moins que l’on puisse dire c’est que le titre de « capitale de la grande barrière » donné par le Lonely Planet est à n’en point douté mérité ! Chaque jour les gens embarquent par centaines sur une flotte de plusieurs dizaines de bateaux pour se régaler de cette expérience. C’est donc comme tout un chacun que nous avons pris place au petit matin sur un magnifique monocoque direction la barrière de corail. Après une traversée de plus d’une heure, un briefing incontournable sur la sécurité et un bon petit muffin, nous revêtons notre superbe combinaison intégrale en lycra (contre les fameuses cuboméduses) et plongeons en direction du récif ! C’est alors une explosion de couleurs et formes qui prend vie devant nous. Il faut avouer cependant que ces endroits étant très (TRES) fréquentés par les touristes, et pour certains peu respectueux, le récif a malheureusement connu certains dégâts, et l’explosion de vie que nous attendions était malheureusement bien faible. Mais une fois rallié le deuxième spot de plongée (probablement moins fréquenté) une multitude de poissons, de concombres de mer, d’anémones et autres merveilles nous attendait. Les poissons, tous plus colorés les uns que les autres et certains proprement ENORMES déambulaient entre les baigneurs sans crainte et se laissent pour certains prendre en photo. Enfin il me faut avant de vous quitter vous parler des deux événements les plus marquants de la journée. Pour commencer, nous avons plongé AVEC DES BOUTEILLES (ce qui est une première pour moi), et deuxième événement, cette plongée plus loin de la foule des « snorkelers » (plongeurs au tuba) nous a permis de croiser une tortue de mer (apparemment nous somme les seuls du bateau à en avoir vu une !niark niark !), inoubliables.
Wat is er gebeurt ? 5 dagen in de woestijn met nog altijd heel weinig te zien maar toch is het uniek om door die platen landen met niets te reden. De roden landen, met weinig bomen en lange wegen laten langzaam plaats aan groenige langschapen, de palmbomen zijn terug, de wegen niet meer oneindig en we moeten niet meer tellen om te weten of we naft moeten nemen of niet. We zijn dus terug op de oosten kust, hellemaal noord om op ons gemakske tot Sydney te gaan.
Ons eerst halte was tegen de zee op een rest area, wij ongeduldig lopen naar de zee en wat een teleurstelling. Want ja alles was ideaal, plambomen, zand, schone schelpjes...Maar de zee die normaal gezien turkoois blauw zou moeten zijn is niet zo blauw als verwacht. Wat een spijt want het is lekker warm water. Wat ook een beetje een probleem is met de zee in Queensland is dat er dodelijke kwallen zijn, heel klein kwallen maar toch wel dodelijk. Oh ja en soms ook krokodillen. Maar ja het was toch leuk om tegen over de zee te slapen.
De tweede bestemming was dan Cairns, hoofdstad van North Queensland. Darwin was heel tropisch maar Cairns is nog altijd onder de tropen en het is hier nog altijd zo schoon, op onze weg naar Cairns hebben we heel veel bananenplantages en suikerriet gezien. Ons vriendin vond Cairns geen schoon stad maar tegenovergesteld vinden wij het heel mooi, het heeft de sfeer van een “zeebadplaats”, veel planten en het ligt natuurlijk tegen de zee, maar hier hebben ze nog altijd de zelfde problemen als waar we geslapt hebben dus is het moeilijk om te gaan zwemen, daarom hebben ze een heel grote zwembad juist tegen het strand.
Van Cairns is het gemakkelijk om naar de groot barrièrerif te gaan daarom besloten we om het vanuit Cairns te doen. Je kunt inderdaad niet zonder de groot barrièrerif gezien te hebben naar huis gaan. Er zijn hier meer dan 10 verschillende maatschappijen die tochten doen naar de koraalrif. Na een paar adviezen hadden we eindelijk een maatschappij gekozen. Om 8uren zaten we in de boot met ontbijt op weg naar wat waarschijnlijk onvergetelijk ging zijn. Na ander half uren varen en na een opleiding waren we klaar om met ons palmen en duikbril de werelderfgoed te gaan zien. We gingen twee verschillende plaatsen gaan zien. De eerste was al ongelooflijk mooi maar de tweede was nog beter. Schitterende kleuren, prachtige vissen. Ook al zijn we kilometers ver van het land is het water daar lekker warm (29°) en je ziet de tijd niet voorbij gaan. Na een Australische maaltijd het water terug maar deze keer met duikflessen. En dat was zeker nog veel beter, met ons leider gingen we het water onder om nog meer schoonheid te zien. En ik geloofde er niet meer in maar na een hele dikke vis (van 30kg zeggen ze) hebben we een schildpad gezien, op het gemakske was die op de warme stromen aan het surfen. Na zo veel fantastische ontdekkingen was mijn dag perfect en waren we al op weg naar de haven. Dit zal ik zeker nooit vergeten.
Un bémol cependant, si les forêts sont magnifiques sur cette route, on ne peut pas en dire autant de l’océan. L’eau est chaude certes, les plages sont idylliques certes, on se croirait dans les caraïbes, certes, mais il manque quelque chose...Ah mais oui, l’eau turquoise et translucide que nous vante les brochures et les guides ! Au lieu de cela, c’est une eau plus que sombre et un panneau « danger méduses » (et parfois crocodiles) qui attendent les baigneurs égarés... Enfin qu’importe cela. Cairns fait facilement oublier ce handicap. La ville, littéralement prise au piège au milieu de montagnes dont les sommets sont souvent perdus dans les nuages, comme si les arbres exalaient une vapeur étrange. La ville quant à elle n’a rien à envier à Darwin ou Adélaide, bien au contraire ! L’esplanade de toute beauté conduit à un « lagon artificiel » où les baigneurs se rafraichissent en oubliant que la plage n’est pas praticable. Les rues sont extrêmement vertes, et la municipalité (à en juger par le nombre d’employés dévolus à cette tache) semble mettre un point d’honneur à avoir des espaces verts impeccables. Les bâtiments coloniaux et autres plantations reconvertis côtoient avec goût et harmonie les immeubles et centre commerciaux modernes.
Cependant, les charmes incontestables de cette cité balnéaire (paradoxalement privée de plage) ne font pas oublier la raison principale qui conduit les masses jusqu’ici... LA GRANDE BARRIERE DE CORAIL ! Le moins que l’on puisse dire c’est que le titre de « capitale de la grande barrière » donné par le Lonely Planet est à n’en point douté mérité ! Chaque jour les gens embarquent par centaines sur une flotte de plusieurs dizaines de bateaux pour se régaler de cette expérience. C’est donc comme tout un chacun que nous avons pris place au petit matin sur un magnifique monocoque direction la barrière de corail. Après une traversée de plus d’une heure, un briefing incontournable sur la sécurité et un bon petit muffin, nous revêtons notre superbe combinaison intégrale en lycra (contre les fameuses cuboméduses) et plongeons en direction du récif ! C’est alors une explosion de couleurs et formes qui prend vie devant nous. Il faut avouer cependant que ces endroits étant très (TRES) fréquentés par les touristes, et pour certains peu respectueux, le récif a malheureusement connu certains dégâts, et l’explosion de vie que nous attendions était malheureusement bien faible. Mais une fois rallié le deuxième spot de plongée (probablement moins fréquenté) une multitude de poissons, de concombres de mer, d’anémones et autres merveilles nous attendait. Les poissons, tous plus colorés les uns que les autres et certains proprement ENORMES déambulaient entre les baigneurs sans crainte et se laissent pour certains prendre en photo. Enfin il me faut avant de vous quitter vous parler des deux événements les plus marquants de la journée. Pour commencer, nous avons plongé AVEC DES BOUTEILLES (ce qui est une première pour moi), et deuxième événement, cette plongée plus loin de la foule des « snorkelers » (plongeurs au tuba) nous a permis de croiser une tortue de mer (apparemment nous somme les seuls du bateau à en avoir vu une !niark niark !), inoubliables.
Wat is er gebeurt ? 5 dagen in de woestijn met nog altijd heel weinig te zien maar toch is het uniek om door die platen landen met niets te reden. De roden landen, met weinig bomen en lange wegen laten langzaam plaats aan groenige langschapen, de palmbomen zijn terug, de wegen niet meer oneindig en we moeten niet meer tellen om te weten of we naft moeten nemen of niet. We zijn dus terug op de oosten kust, hellemaal noord om op ons gemakske tot Sydney te gaan.
Ons eerst halte was tegen de zee op een rest area, wij ongeduldig lopen naar de zee en wat een teleurstelling. Want ja alles was ideaal, plambomen, zand, schone schelpjes...Maar de zee die normaal gezien turkoois blauw zou moeten zijn is niet zo blauw als verwacht. Wat een spijt want het is lekker warm water. Wat ook een beetje een probleem is met de zee in Queensland is dat er dodelijke kwallen zijn, heel klein kwallen maar toch wel dodelijk. Oh ja en soms ook krokodillen. Maar ja het was toch leuk om tegen over de zee te slapen.
De tweede bestemming was dan Cairns, hoofdstad van North Queensland. Darwin was heel tropisch maar Cairns is nog altijd onder de tropen en het is hier nog altijd zo schoon, op onze weg naar Cairns hebben we heel veel bananenplantages en suikerriet gezien. Ons vriendin vond Cairns geen schoon stad maar tegenovergesteld vinden wij het heel mooi, het heeft de sfeer van een “zeebadplaats”, veel planten en het ligt natuurlijk tegen de zee, maar hier hebben ze nog altijd de zelfde problemen als waar we geslapt hebben dus is het moeilijk om te gaan zwemen, daarom hebben ze een heel grote zwembad juist tegen het strand.
Van Cairns is het gemakkelijk om naar de groot barrièrerif te gaan daarom besloten we om het vanuit Cairns te doen. Je kunt inderdaad niet zonder de groot barrièrerif gezien te hebben naar huis gaan. Er zijn hier meer dan 10 verschillende maatschappijen die tochten doen naar de koraalrif. Na een paar adviezen hadden we eindelijk een maatschappij gekozen. Om 8uren zaten we in de boot met ontbijt op weg naar wat waarschijnlijk onvergetelijk ging zijn. Na ander half uren varen en na een opleiding waren we klaar om met ons palmen en duikbril de werelderfgoed te gaan zien. We gingen twee verschillende plaatsen gaan zien. De eerste was al ongelooflijk mooi maar de tweede was nog beter. Schitterende kleuren, prachtige vissen. Ook al zijn we kilometers ver van het land is het water daar lekker warm (29°) en je ziet de tijd niet voorbij gaan. Na een Australische maaltijd het water terug maar deze keer met duikflessen. En dat was zeker nog veel beter, met ons leider gingen we het water onder om nog meer schoonheid te zien. En ik geloofde er niet meer in maar na een hele dikke vis (van 30kg zeggen ze) hebben we een schildpad gezien, op het gemakske was die op de warme stromen aan het surfen. Na zo veel fantastische ontdekkingen was mijn dag perfect en waren we al op weg naar de haven. Dit zal ik zeker nooit vergeten.