Le 20/03/10, 1:19
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Et bien voilà, Adélaïde la douce nous ouvre enfin ses bras. Regardez une carte du pays, regardez la date de notre départ de la Great Ocean Road et vous constaterez facilement qu’il nous a fallut beaucoup, beaucoup trop de jours pour relier ces deux points. Une erreur ne s’est pourtant pas glissée et si du « retard » a été pris dans notre périple, on ne peut pourtant pas dire que ce fût du temps perdu.
Ce laps de temps, en apparence égaré dans le hors monde, a en fait été exploité en recherche d’emploi et en visites... Même si à vrai dire, la recherche d’emploi avait un peu pris le pas sur les visites, surtout que dans certains lieux, les distractions et les paysages ne se prêtaient que peu à l’enthousiasme. Et je précise bien, au cas où, encore une fois, nous avons CHERCHE du travail, car en fait, pour être clair et concis, nous n’avons rien trouvé. Et oui, quelle succession impressionnante d’échecs et de refus (certes polis) qui durant toutes ces journées ont jalonnés notre parcours. Il me faut tout de même ici vous narrer une petite anecdote, sinon cocasse, au moins notable. Le jour de notre départ vers Adélaïde, lassés que nous étions de ne rencontrer sur notre route que des « non », nous tentons malgré tout un dernier numéro dans la cueillette du raisin. « Quoi ? comment ? que dites vous ? vous acceptez de nous prendre ? pour deux semaines ? tous les six ? mais oui pas de problèmes ! à demain ! ». C’est ainsi que RDV fut prit pour le lendemain à l’entrée de notre camping avec la fermière, pour que cette dernière nous guide jusqu’à sa ferme et ses vignes providentielles. Tout heureux que nous étions, la soirée ne fût faite que de rires et de jeux ! Le lendemain donc, c’est levés de bon heure, douchés et bien habillés que nous avons attendu une voiture... Qui jamais ne vint. Après de longues minutes et des appels restés lettres mortes, nous nous sommes résignés à rentrer, la tête basse, avec une foi en l’australien moyen un peu moins forte.
C’est ainsi que nous voici, enfin (j’ai envi de dire) à Adélaïde. Que dire pour la décrire ? Vue du ciel, la vile doit être belle à voir, se constituant de deux blocs cernés par de grands parcs, ils doivent apparaître comme deux îles au milieu d’une lagune de verdure. D’en bas, la partie sud que nous avons visité aujourd’hui n’a en réalité pas grand chose à offrir. Il serait exagéré de dire que la ville n’a pas de « personnalité » mais elle ne possède pas vraiment de charme et les boulevards trop larges, pour les bâtiments souvent trop petits lui donne une allure étrange. Mais certains endroits sont tout de même agréables, et l’atmosphère globalement détendue est fort appréciable.
Avant de vous quitter, il me faut tout de même rajouter un dernier point, le camping est au bord de l’océan, et le matin, la plage déserte est un vrai régal pour les yeux ! (ce petit détail est uniquement là pour vous rappeler que ici, malgré un léger rafraichissement, nous sommes tout de même en short, T-shirt). Sur ce, je vous quitte !
Lang geleden ? Ik weet het wel maar ik heb ook niet veel te vertellen daarom was er hier niet veel te lezen.
Wat is er ondertussen gebeurt? De laatste keer hadden we de great ocean road gedaan en waren werk aan het zoeken. Ondertussen hebben ons vrienden een probleem gehad met hun auto. Zonder werk en met niets te bezoeken besloten we om door te gaan. Maar daar hadden we niet meer geluk, met zes is het moeilijk om werk te vinden en zeker wanneer de seizoen bijna gedaan is. We dachten om de druiven te doen maar het waren alleen maar tafel druiven, maar daar was alles ook al volzet. Toch hadden we een afspraak met een vrouw om druiven te plukken, om acht uren moesten we voor de camping zijn. Maar ze is niet gekomen en ons kans om daar werk te vinden was helemaal gedaan en wij helemaal teleurgesteld. Moe van te zoeken zijn we ten einde tot in Adelaide te gaan en daar drie dagen te blijven.
Adelaide, 1,4 miljoen bewoners, is waarschijnlijk een van de grootste steden die we zullen tegenkomen in de volgende weken. Het is niet echt een speciaal schoon stad, het lijkt echt wel klein en voor het moment hebben we alleen maar het zuid van het stad gezien. We hopen dat morgen het noord schoner zal zijn. We zitten in een hele schone camping tegen de zee (eigenlijk achter de duin).
Zondag vertrekken we naar Alice Springs, de woestijn in... Dus dan zal er ook niet veel gebeuren op de blog. Maar zo vlug als we kunnen laten we wel iets horen.
@ Simon : Inderdaad het regent meer dan ik het zelf dacht. Maar als de zon dan terug schijnt is het vlug heel warm. Voor het moment hebben we redelijk goed weer.
@ Elise : Klein is schoon, weet je dat ondertussen nog niet? En vergeet u mailbox niet
@ Els : De werkplannen? Als er werk is nemen we het maar we moeten nu door, dus we kijken zo en zo maar blijven niet meer vast zitten tot er iets is. We zoeken in andere sectoren niet, fruitteelt is goed als er is anders zullen we moeten wachten.
Ce laps de temps, en apparence égaré dans le hors monde, a en fait été exploité en recherche d’emploi et en visites... Même si à vrai dire, la recherche d’emploi avait un peu pris le pas sur les visites, surtout que dans certains lieux, les distractions et les paysages ne se prêtaient que peu à l’enthousiasme. Et je précise bien, au cas où, encore une fois, nous avons CHERCHE du travail, car en fait, pour être clair et concis, nous n’avons rien trouvé. Et oui, quelle succession impressionnante d’échecs et de refus (certes polis) qui durant toutes ces journées ont jalonnés notre parcours. Il me faut tout de même ici vous narrer une petite anecdote, sinon cocasse, au moins notable. Le jour de notre départ vers Adélaïde, lassés que nous étions de ne rencontrer sur notre route que des « non », nous tentons malgré tout un dernier numéro dans la cueillette du raisin. « Quoi ? comment ? que dites vous ? vous acceptez de nous prendre ? pour deux semaines ? tous les six ? mais oui pas de problèmes ! à demain ! ». C’est ainsi que RDV fut prit pour le lendemain à l’entrée de notre camping avec la fermière, pour que cette dernière nous guide jusqu’à sa ferme et ses vignes providentielles. Tout heureux que nous étions, la soirée ne fût faite que de rires et de jeux ! Le lendemain donc, c’est levés de bon heure, douchés et bien habillés que nous avons attendu une voiture... Qui jamais ne vint. Après de longues minutes et des appels restés lettres mortes, nous nous sommes résignés à rentrer, la tête basse, avec une foi en l’australien moyen un peu moins forte.
C’est ainsi que nous voici, enfin (j’ai envi de dire) à Adélaïde. Que dire pour la décrire ? Vue du ciel, la vile doit être belle à voir, se constituant de deux blocs cernés par de grands parcs, ils doivent apparaître comme deux îles au milieu d’une lagune de verdure. D’en bas, la partie sud que nous avons visité aujourd’hui n’a en réalité pas grand chose à offrir. Il serait exagéré de dire que la ville n’a pas de « personnalité » mais elle ne possède pas vraiment de charme et les boulevards trop larges, pour les bâtiments souvent trop petits lui donne une allure étrange. Mais certains endroits sont tout de même agréables, et l’atmosphère globalement détendue est fort appréciable.
Avant de vous quitter, il me faut tout de même rajouter un dernier point, le camping est au bord de l’océan, et le matin, la plage déserte est un vrai régal pour les yeux ! (ce petit détail est uniquement là pour vous rappeler que ici, malgré un léger rafraichissement, nous sommes tout de même en short, T-shirt). Sur ce, je vous quitte !
Lang geleden ? Ik weet het wel maar ik heb ook niet veel te vertellen daarom was er hier niet veel te lezen.
Wat is er ondertussen gebeurt? De laatste keer hadden we de great ocean road gedaan en waren werk aan het zoeken. Ondertussen hebben ons vrienden een probleem gehad met hun auto. Zonder werk en met niets te bezoeken besloten we om door te gaan. Maar daar hadden we niet meer geluk, met zes is het moeilijk om werk te vinden en zeker wanneer de seizoen bijna gedaan is. We dachten om de druiven te doen maar het waren alleen maar tafel druiven, maar daar was alles ook al volzet. Toch hadden we een afspraak met een vrouw om druiven te plukken, om acht uren moesten we voor de camping zijn. Maar ze is niet gekomen en ons kans om daar werk te vinden was helemaal gedaan en wij helemaal teleurgesteld. Moe van te zoeken zijn we ten einde tot in Adelaide te gaan en daar drie dagen te blijven.
Adelaide, 1,4 miljoen bewoners, is waarschijnlijk een van de grootste steden die we zullen tegenkomen in de volgende weken. Het is niet echt een speciaal schoon stad, het lijkt echt wel klein en voor het moment hebben we alleen maar het zuid van het stad gezien. We hopen dat morgen het noord schoner zal zijn. We zitten in een hele schone camping tegen de zee (eigenlijk achter de duin).
Zondag vertrekken we naar Alice Springs, de woestijn in... Dus dan zal er ook niet veel gebeuren op de blog. Maar zo vlug als we kunnen laten we wel iets horen.
@ Simon : Inderdaad het regent meer dan ik het zelf dacht. Maar als de zon dan terug schijnt is het vlug heel warm. Voor het moment hebben we redelijk goed weer.
@ Elise : Klein is schoon, weet je dat ondertussen nog niet? En vergeet u mailbox niet
@ Els : De werkplannen? Als er werk is nemen we het maar we moeten nu door, dus we kijken zo en zo maar blijven niet meer vast zitten tot er iets is. We zoeken in andere sectoren niet, fruitteelt is goed als er is anders zullen we moeten wachten.