Le 07/10/13, 7:41
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Après quelques heures d’avion et une longue escale à Delhi, nous débarquons à l’aéroport de Katmandou où on galère un peu pour obtenir les visas népalais (2h d’attente où l’on rencontre Jasper, un pompier hollandais très sympa qu’on recroisa à Pokara avant son départ pour le Tibet). Dès la sorti de l’aéroport, on se fait assaillir par une horde de chauffeur de taxi nous proposant des guest house dans tous les sens et de nous amener au centre ville pour des tarifs de touristes.
On fini par trouver un taxi qu on partage avec Jasper, un suédois et une israélienne pour2 dollars chacun et nous voila parti pour un trajet épique.
Pour vous mettre dans l’ambiance la conduite népalaise est un sport national, on klaxonne tous les 2 secondes pour prévenir qu’on double son voisin ou pour se frayer un chemin au milieu d’une circulation bordélique, les coups de volants et de freins sont bien brusques et on a l’impression que va percuter le véhicule devant/à coté de nous. Lors des dépassements, on rase les voitures d’en face, bref une arrivée qui me met tout de suite dans le bain.
On retrouve notre compère suisse, Romain, avec qui on avait décidé de faire le trek des Annapurna il ya qq mois. Il nous avait réservé une auberge bien sympa avec un roof top. On siffle quelques bières et on se dirige pour aller bouffer des Momos (spécialité népalaise, genre de vapeur chinoise, un vrai délice). Le lendemain, on visite qq quartiers de Katmandou (Thamel, Dubar square) et on apprend qu’il ya un festival en fin de semaine pour célébrer la fin des récoltes. En d’autres termes, 50 000 personnes sortent de Katmandou pour rejoindre leur village en province et donc tous les bus sont complets et une petite mission galère s’offre à nous. On doit se lever à l’aube le lendemain pour essayer de trouver un bus, par chance on y arrive par contre le confort sera pour une autre fois. On se retrouve debout pendant 7 heures, devant plier les genoux car on était trop grand pour la hauteur du bus et surtout pour éviter de se cogner la tête sur des bouts métalliques. Imaginez un bus prévu pour 20 et on se retrouve à quasiment 40, avec des gens qui vomissent à cause de la route en mauvaise état et d’une conduite népalaise rustique sur des pistes rocailleuses, un doux régal.
On arrive dans la ville où nous commencerons notre trek (le tour des Annapurnas). Ce trek est vraiment à faire, de part sa diversité de paysages : des rizières, les flancs de montagnes gigantesques, des cascades, des temples, les népalais très accueillants, tout est fait pour les touristes, on à jamais galéré pour trouver un lit, par contre pour l’eau chaude c’est plus aléatoire voir un petit luxe. Nous avons commencé le trek à 840 m pour culminer à 5 416m (le mont Thorung La) et redescendre à 1 300 m, le tout bouclé en 9 jours et demi alors que les agences de trek annoncent 14 j, en gros on est des beaux gosses. Le rythme de ce trek est assez variable : on marchait entre 4 et 7 h par jour et les dénivelés pouvaient atteindre jusqu’à 2 600 m en négatif et plus de 1000 m en positif. On a fini avec cette belle aventure par des hots springs (bains chauds pour les francophones) afin de détendre tous nous muscles et prendre un peu de bon temps au chaud.
Puis direction Pokara, une ville de trekkeurs et de touristes, situé au bord d’un lac avec un quartier (Lake side) exclusivement fait pour vendre tous les équipements possibles et imaginables, avec des bars et des activités sportives (parapente, vélo...). Nous y sommes restés 4 j pour visiter un peu les vieux quartiers de la ville, voir des temples et faire la fête ( après les folles soirée dubaiotes on était un peu déçu car les bars ferment à 11h)
Retour sur Katmandou pour louer des scooters et se faire une virée de 3 jours dans la fameuse vallée. La liberté du scooter nous a permis de nous arrêter où l’on voulait, prendre des photos avec de super point de vue, de voir des villes un peu excentrées, franchement à faire. Maintenant on est capable de circuler à gauche et de conduire à la népalaise.
Nous quittons Romain au retour de cette escapade, une bonne dernière soirée.
Puis on enchaine pour 2 jours de sortie vélo dont nos fesses et jambes s’en souviennent encore. Faire du vélo dans un pays montagneux quand on ne prend pas d EPO et qu’on est habitué au velib parisien, autant vous dire que c’était bien sportif. Par contre les descentes où l’on double tt le monde sur des routes caillouteuses était une belle récompense.
Apres 3 semaines passées au Népal, nous nous dirigeons vers l’Inde pour de nouvelles aventures.
On fini par trouver un taxi qu on partage avec Jasper, un suédois et une israélienne pour2 dollars chacun et nous voila parti pour un trajet épique.
Pour vous mettre dans l’ambiance la conduite népalaise est un sport national, on klaxonne tous les 2 secondes pour prévenir qu’on double son voisin ou pour se frayer un chemin au milieu d’une circulation bordélique, les coups de volants et de freins sont bien brusques et on a l’impression que va percuter le véhicule devant/à coté de nous. Lors des dépassements, on rase les voitures d’en face, bref une arrivée qui me met tout de suite dans le bain.
On retrouve notre compère suisse, Romain, avec qui on avait décidé de faire le trek des Annapurna il ya qq mois. Il nous avait réservé une auberge bien sympa avec un roof top. On siffle quelques bières et on se dirige pour aller bouffer des Momos (spécialité népalaise, genre de vapeur chinoise, un vrai délice). Le lendemain, on visite qq quartiers de Katmandou (Thamel, Dubar square) et on apprend qu’il ya un festival en fin de semaine pour célébrer la fin des récoltes. En d’autres termes, 50 000 personnes sortent de Katmandou pour rejoindre leur village en province et donc tous les bus sont complets et une petite mission galère s’offre à nous. On doit se lever à l’aube le lendemain pour essayer de trouver un bus, par chance on y arrive par contre le confort sera pour une autre fois. On se retrouve debout pendant 7 heures, devant plier les genoux car on était trop grand pour la hauteur du bus et surtout pour éviter de se cogner la tête sur des bouts métalliques. Imaginez un bus prévu pour 20 et on se retrouve à quasiment 40, avec des gens qui vomissent à cause de la route en mauvaise état et d’une conduite népalaise rustique sur des pistes rocailleuses, un doux régal.
On arrive dans la ville où nous commencerons notre trek (le tour des Annapurnas). Ce trek est vraiment à faire, de part sa diversité de paysages : des rizières, les flancs de montagnes gigantesques, des cascades, des temples, les népalais très accueillants, tout est fait pour les touristes, on à jamais galéré pour trouver un lit, par contre pour l’eau chaude c’est plus aléatoire voir un petit luxe. Nous avons commencé le trek à 840 m pour culminer à 5 416m (le mont Thorung La) et redescendre à 1 300 m, le tout bouclé en 9 jours et demi alors que les agences de trek annoncent 14 j, en gros on est des beaux gosses. Le rythme de ce trek est assez variable : on marchait entre 4 et 7 h par jour et les dénivelés pouvaient atteindre jusqu’à 2 600 m en négatif et plus de 1000 m en positif. On a fini avec cette belle aventure par des hots springs (bains chauds pour les francophones) afin de détendre tous nous muscles et prendre un peu de bon temps au chaud.
Puis direction Pokara, une ville de trekkeurs et de touristes, situé au bord d’un lac avec un quartier (Lake side) exclusivement fait pour vendre tous les équipements possibles et imaginables, avec des bars et des activités sportives (parapente, vélo...). Nous y sommes restés 4 j pour visiter un peu les vieux quartiers de la ville, voir des temples et faire la fête ( après les folles soirée dubaiotes on était un peu déçu car les bars ferment à 11h)
Retour sur Katmandou pour louer des scooters et se faire une virée de 3 jours dans la fameuse vallée. La liberté du scooter nous a permis de nous arrêter où l’on voulait, prendre des photos avec de super point de vue, de voir des villes un peu excentrées, franchement à faire. Maintenant on est capable de circuler à gauche et de conduire à la népalaise.
Nous quittons Romain au retour de cette escapade, une bonne dernière soirée.
Puis on enchaine pour 2 jours de sortie vélo dont nos fesses et jambes s’en souviennent encore. Faire du vélo dans un pays montagneux quand on ne prend pas d EPO et qu’on est habitué au velib parisien, autant vous dire que c’était bien sportif. Par contre les descentes où l’on double tt le monde sur des routes caillouteuses était une belle récompense.
Apres 3 semaines passées au Népal, nous nous dirigeons vers l’Inde pour de nouvelles aventures.