Le 26/09/13, 16:10
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Nous avons renoncé au 20h de bus « GRAND LUXE » pour l’avion.
Dans un monde idéal:
Nous devions prendre un vol de 1h30 pour rejoindre Cuzco, soit une économie de temps de 18h30.
Nous avions, par ailleurs, bon espoir que l’enregistrement soit bien moins long qu’à New-York, où pour rappel ce fut l’enfer (plus de 2 heures de queue debout !).
Et bien c’est raté ! L’enregistrement = ok, court et efficace, mais l’avion = beaucoup moins ok.
En effet, après avoir amorcée notre descente pour Cuzco, on nous informe que suite à un problème technique (soit moteur, soit grève à Cuzco, soit les deux ???), nous devons retourner à...Lima.
Donc retour à l’envoyeur, pour un départ reporté au lendemain à 6h du matin, et nous revoilà en train de faire la queue pour récupérer nos bagages, nos nouveaux billets, et pour savoir quel est notre sort (prise en charge de l’hôtel, taxi, repas...).
Bon c’est vrai, ça aurait pu être pire, on aurait pu finir sur un radeau de sauvetage perdus dans les Andes, mais quand même, je suis pour ma part un peu dégoutée (Eric lui est beaucoup plus cool ).
Bon voilà pour les dernières nouvelles. Et oui, on est passé au travers des intempéries, mais à priori pas au travers des problèmes techniques !!!
Dans un monde idéal:
Nous devions prendre un vol de 1h30 pour rejoindre Cuzco, soit une économie de temps de 18h30.
Nous avions, par ailleurs, bon espoir que l’enregistrement soit bien moins long qu’à New-York, où pour rappel ce fut l’enfer (plus de 2 heures de queue debout !).
Et bien c’est raté ! L’enregistrement = ok, court et efficace, mais l’avion = beaucoup moins ok.
En effet, après avoir amorcée notre descente pour Cuzco, on nous informe que suite à un problème technique (soit moteur, soit grève à Cuzco, soit les deux ???), nous devons retourner à...Lima.
Donc retour à l’envoyeur, pour un départ reporté au lendemain à 6h du matin, et nous revoilà en train de faire la queue pour récupérer nos bagages, nos nouveaux billets, et pour savoir quel est notre sort (prise en charge de l’hôtel, taxi, repas...).
Bon c’est vrai, ça aurait pu être pire, on aurait pu finir sur un radeau de sauvetage perdus dans les Andes, mais quand même, je suis pour ma part un peu dégoutée (Eric lui est beaucoup plus cool ).
Bon voilà pour les dernières nouvelles. Et oui, on est passé au travers des intempéries, mais à priori pas au travers des problèmes techniques !!!