Le 13/08/11, 17:13
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En transit à l'aéroport Ataturk d'Istanbul. Le vol de Paris s'est bien passé.
Dans 5 heures nous nous envolerons pour Bishkek, Kirghizistan.
Dans une douzaine d'heures, un taxi nous déposera devant le supermarché Narodni de la rue Karl Marx, il sera 3h du matin et Anvar, qui s'est proposé de nous aider sur place nous conduira dans son appartement pour finir la courte nuit.
Dans moins d'une journée, nous serons dans la datcha (maison de campagne) de Djanibek, au sous-sol, face au van. Il y a quatre ans, presque jour pour jour, nous y avons enterré Minibus II le Hardi. Quelle couche de poussière aura pu s'accumuler sur sa carcasse inerte ?
Anvar nous a proposé de nous aider à le sortir du garage. Il pourra même nous tracter pour aider le moteur a démarrer. J'entends déjà la toux sèche de la mécanique, la même qu'il y a 5 ans lorsque j'ai sorti Minibus de la grange des pitiots dans la campagne bourguignone ou il avait déjà rouillé quelques années.
Dans mes moments les plus optimistes, j'entends même déjà le ronronement métalique du moteur. Une sorte de cliqueti léger qui ne donne aucune impression de puissance mais qui m'a accompagné pendant 35,000 km sans faillir.
Retour à Istanbul, Bishkek est encore si loin et le bruit du moteur encore si imaginaire.
Demain déterminera la suite de l'aventure.
Santi
Dans 5 heures nous nous envolerons pour Bishkek, Kirghizistan.
Dans une douzaine d'heures, un taxi nous déposera devant le supermarché Narodni de la rue Karl Marx, il sera 3h du matin et Anvar, qui s'est proposé de nous aider sur place nous conduira dans son appartement pour finir la courte nuit.
Dans moins d'une journée, nous serons dans la datcha (maison de campagne) de Djanibek, au sous-sol, face au van. Il y a quatre ans, presque jour pour jour, nous y avons enterré Minibus II le Hardi. Quelle couche de poussière aura pu s'accumuler sur sa carcasse inerte ?
Anvar nous a proposé de nous aider à le sortir du garage. Il pourra même nous tracter pour aider le moteur a démarrer. J'entends déjà la toux sèche de la mécanique, la même qu'il y a 5 ans lorsque j'ai sorti Minibus de la grange des pitiots dans la campagne bourguignone ou il avait déjà rouillé quelques années.
Dans mes moments les plus optimistes, j'entends même déjà le ronronement métalique du moteur. Une sorte de cliqueti léger qui ne donne aucune impression de puissance mais qui m'a accompagné pendant 35,000 km sans faillir.
Retour à Istanbul, Bishkek est encore si loin et le bruit du moteur encore si imaginaire.
Demain déterminera la suite de l'aventure.
Santi