Le 04/07/13, 13:39
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Les protagonistes de cette anecdote sont: Anthony, my love, Amaury, son frère, Yoan, un voyageur rencontré sur la route et faisant un bout de chemin avec nous, et un autre ami.
On quitte donc l'île de koh Chang en Thailande en direction du CAMBODGE...
Après le ferry pour quitter l'île de Thailande, nous négocions avec un taxi pour qu'il nous amène à la frontière du Cambodge, nous sommes 5 et forcément intérréssant pour tous les chauffeurs de taxi, bus et autres moyens de locomotions a touriste...
Mais nous ne lâchons rien, au lieu d'un voyage en taxi a 4000 baths, nous nous en sortons pour 1500 baths a 5, comme quoi... il faut perseverer, ce sont des pays ou tout est négociable et surtout les prix sont forcément trés gonflés pour au final obtenir un prix plus que correct. Avec Anthony, on se dit que si c'est pas chère pour nous c 'est le principal, mais lorsqu'on voyage à moindre coût mieux vaut toujours néogicier. Mais surtout, je conseiller à éviter, BATAILLER pour UN EURO, j'ai assisté à ce genre de scène désolante.
Nous prenons donc la route, dans un taxi ouvert, la route est longue, ensolleillée, le chauffeur double dans les virages, on s'accroche et parfois même je préfère tourner la tête...
Mais nous arrivons à la frontière sans encombres, mais des frayeurs, car la tolérance sur la route ainsi que le code de la route sont, je crois presque inexistant, c'est à vivre quand tout se passe bien, mais tout le monde n'a pas malheureusement cette chance et les accidents sont vite arriver. Je pense qu'il vaut mieux demander au chauffeur de rouler plus doucement si vraiment l'on se sent en danger.
Premier contrôle de douane pour sortir du territoire Thai, quelques mètres de terrain vague à pied et nous sommes au CAMBODGE.
Une autre ambiance s'installe, un autre décor, nous sommes accueillis par des types sans uniformes habillés comne chacun d'entre nous et c'est à eux que l'on doit remettre notre passeport...
On comprend vite qu'on aurait pu aller à la DOUANE seul pour entrer sur le territoire, mais encerclé par pleins de types oppressants, qui se parlent entre eux, et qui ne vous lâche pas, mais toujours avec le sourire, on s'en remet à leurs services, le bureau de douane est seulement a quelques pas. Donc on attend, on attend, une situation étrange, une attente interminable, mais les gens ont le sourire au lèvres donc on fais de même...
J'ai voulu également aller au toilette à la frontière, ( à ne jamais faire ou en cas d'urgence) , on m'a demandé 5 baths ( somme dérisoire certe) mais pour aller pisser dans une pièce ou il été impossible d'être debout, une porte qui ne ferme pas, et un trou dans le sol couvert tout simplement de merde. Un paradis des toilettes..
BREF, nous récupérons notre passeport, payons le visa, et remarquons que tous les touristes sont limites enrolés dans les taxis et autre moyens de transport, et nous prenons la décision de partir à pied, nous sommes 5, et l'on se sent un peu plus en confiance à 5, donc nous commençons notre route en direction de la première ville frontalière, avec chacun au moins 15 kilos à porter, de plus nous marchons en claquettes et devons marcher sur la route, on nous à conseiller d'éviter les bas côté, possible reste de mines antipersonnelles... super!....
Mais un chauffeur de taxi n'a pas l'air d'apprécier notre départ à pied et entreprend de nous suivre et de ne pas nous lâcher pendant quelques bornes... il tente même de nous faire peur en nous attendant à un "semi" poste de frontière... mais nous tenons bon et on ne monte pas avec lui, puis il abandonne après avoir enfin compris qu'il pouvait parfois tomber sur des touristes un peu plus dégourdis!
Nous continuons donc notre chemin tous les 5, à pied , le paysage est magnifique on à l'impression d'aller découvrir un monde...
Puis un Gentil Monsieur Cambodgien nous ramasse sur la route, il insiste, on monte dans son camion dans la remorque, et il nous dépose a la première ville frontalière, il refuse qu'on lui donne le moindre billet malgrés notre insistance...
Nous avons bien eu raison de ne pas prendre ce taxi, nous avons pu dés notre arrivé constater la gentillesse de ce peuple qui vit avec un salaire moyen de 40 dollars mensuel, et qui refuse qu'on lui donne un billet pour un service.. Pour ma part j'ai haluciné qu'il ne nous prenne rien et j'aurais tant voulu qu'il accepte.
Voilà encore un exemple que c'est bien ceux, qui en ont le moins, qui sont les plus généreux..
On quitte donc l'île de koh Chang en Thailande en direction du CAMBODGE...
Après le ferry pour quitter l'île de Thailande, nous négocions avec un taxi pour qu'il nous amène à la frontière du Cambodge, nous sommes 5 et forcément intérréssant pour tous les chauffeurs de taxi, bus et autres moyens de locomotions a touriste...
Mais nous ne lâchons rien, au lieu d'un voyage en taxi a 4000 baths, nous nous en sortons pour 1500 baths a 5, comme quoi... il faut perseverer, ce sont des pays ou tout est négociable et surtout les prix sont forcément trés gonflés pour au final obtenir un prix plus que correct. Avec Anthony, on se dit que si c'est pas chère pour nous c 'est le principal, mais lorsqu'on voyage à moindre coût mieux vaut toujours néogicier. Mais surtout, je conseiller à éviter, BATAILLER pour UN EURO, j'ai assisté à ce genre de scène désolante.
Nous prenons donc la route, dans un taxi ouvert, la route est longue, ensolleillée, le chauffeur double dans les virages, on s'accroche et parfois même je préfère tourner la tête...
Mais nous arrivons à la frontière sans encombres, mais des frayeurs, car la tolérance sur la route ainsi que le code de la route sont, je crois presque inexistant, c'est à vivre quand tout se passe bien, mais tout le monde n'a pas malheureusement cette chance et les accidents sont vite arriver. Je pense qu'il vaut mieux demander au chauffeur de rouler plus doucement si vraiment l'on se sent en danger.
Premier contrôle de douane pour sortir du territoire Thai, quelques mètres de terrain vague à pied et nous sommes au CAMBODGE.
Une autre ambiance s'installe, un autre décor, nous sommes accueillis par des types sans uniformes habillés comne chacun d'entre nous et c'est à eux que l'on doit remettre notre passeport...
On comprend vite qu'on aurait pu aller à la DOUANE seul pour entrer sur le territoire, mais encerclé par pleins de types oppressants, qui se parlent entre eux, et qui ne vous lâche pas, mais toujours avec le sourire, on s'en remet à leurs services, le bureau de douane est seulement a quelques pas. Donc on attend, on attend, une situation étrange, une attente interminable, mais les gens ont le sourire au lèvres donc on fais de même...
J'ai voulu également aller au toilette à la frontière, ( à ne jamais faire ou en cas d'urgence) , on m'a demandé 5 baths ( somme dérisoire certe) mais pour aller pisser dans une pièce ou il été impossible d'être debout, une porte qui ne ferme pas, et un trou dans le sol couvert tout simplement de merde. Un paradis des toilettes..
BREF, nous récupérons notre passeport, payons le visa, et remarquons que tous les touristes sont limites enrolés dans les taxis et autre moyens de transport, et nous prenons la décision de partir à pied, nous sommes 5, et l'on se sent un peu plus en confiance à 5, donc nous commençons notre route en direction de la première ville frontalière, avec chacun au moins 15 kilos à porter, de plus nous marchons en claquettes et devons marcher sur la route, on nous à conseiller d'éviter les bas côté, possible reste de mines antipersonnelles... super!....
Mais un chauffeur de taxi n'a pas l'air d'apprécier notre départ à pied et entreprend de nous suivre et de ne pas nous lâcher pendant quelques bornes... il tente même de nous faire peur en nous attendant à un "semi" poste de frontière... mais nous tenons bon et on ne monte pas avec lui, puis il abandonne après avoir enfin compris qu'il pouvait parfois tomber sur des touristes un peu plus dégourdis!
Nous continuons donc notre chemin tous les 5, à pied , le paysage est magnifique on à l'impression d'aller découvrir un monde...
Puis un Gentil Monsieur Cambodgien nous ramasse sur la route, il insiste, on monte dans son camion dans la remorque, et il nous dépose a la première ville frontalière, il refuse qu'on lui donne le moindre billet malgrés notre insistance...
Nous avons bien eu raison de ne pas prendre ce taxi, nous avons pu dés notre arrivé constater la gentillesse de ce peuple qui vit avec un salaire moyen de 40 dollars mensuel, et qui refuse qu'on lui donne un billet pour un service.. Pour ma part j'ai haluciné qu'il ne nous prenne rien et j'aurais tant voulu qu'il accepte.
Voilà encore un exemple que c'est bien ceux, qui en ont le moins, qui sont les plus généreux..