Le 24/03/11, 6:27
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Un pays où l’on aura l’impression de voyager dans le temps. Un pays qu’on aura parcourue sur 6 sites spécifiques car de toute façon pas évident de sortir des sentiers battus sachant que 70% du territoire est fermé. On se sera senti quand même comme des explorateurs, car plusieurs fois nous serons tous les 2 face à la gentillesse de ce peuples qui pour leur seuls plaisir et de nous donner des hello, des mingalaba, pour partager un court instant quelques mots et beaucoup de sourire.
On aura commencé la découverte du pays par Yangon la capitale, nous serons instantanément étonné par cette culture à des années de la nôtre. Certain de nous seront envouter par la Shwedagon Pagodes (Pascal si tu lis le blog, c’est pour toi !!), d’autre seront terrorisés par les trottoirs de Yangon, même Indiana Jones ne serait où mettre les pieds sur cet assemblages de pavés mouvant !! En effet on préfère bâtir des milliers de temples que de soucier de la sécurité du peuple. On continuera notre route sur Mandalay après avoir visiter les ruelles et les marchés de la capitale, qui prennent souvent une allure indienne en moins mouvementé et moins peuplé. La Birmanie compte une forte immigration de Bengali, d’indiens, de chinois.
Nous parcourons la route qui relient Yangon à Mandalay en 10heures, dans un bus assez confort, climatisation et télé à disposition et le son toujours à font « que du bonheur ».On découvre Mandalay au petit matin, grande ville poussiéreuse qui a 1ère vue aurait subi des bombardements, en fait ce sont juste des travaux devant notre hôtel. Avec notre compagnon Pascal on part à la découverte de la ville que l’on aura avec Manue vraiment apprécier. On commence la déambulation sous un soleil de plomb, à travers un marché géant ; qui développera notre sens de l’odorat. On finira cette dernière journée ensemble pour voir le coucher du soleil sur le fameux pont de U-Bein fait de teck et long de plus d’un Km. Le lendemain nous louons tous les 2 un taxi pour la journée conduit par père et fils, ils nous amènerons d’abord dans un monastère, où l’on peut voir l’organisation du repas des moines, endroit à touristes désagréable comparable à un zoo, où cette horde de vacanciers n’hésite pas à te pousser pour prendre leurs clichés souvenirs, horrible !!! . Seul moment appréciable c’est l’invitation d’un jeune moine dans sa chambre, où nous discuterons difficilement en anglais une heure durant. On demandera à nos chauffeurs d’éviter ce genre de place, ils nous emmèneront donc dans des lieux qu’ils ont l’habitude de fréquenter. Ils nous inviteront à boire du thé avec leur famille, à déguster un bout de pastèque sur la route, on montera sur la colline aux 500 Pagodes de Sagaing, nous finirons au marché de nuit où sont rassemblé grossiste en tous genre, poissons, fruit et légumes après un somptueux coucher de soleil au bord de la rivière. Nous aurons passé tous ensemble une très bonne journée.
De là nous partons pour Hsipaw, en bus, 6heures de routes et une arrivée en soirée à Charles Guest house. Petite ville poussiéreuse, situé dans le nord, entourée de champs, où nous finiront par nous perdre aux milieux des choux et des buffles pendant 5heures (superbe trek improvisé). On y découvre une partie de l’artisanat local : le tissage des sacs des tissus, le roulage des cigares. Ici tous est fait à la main. Les birmans sont les rois du système D : par exemple leurs décapsuleur est un bout de bois avec une visse planté à l’intérieure.
On se lèvera à quatre du matin pour aller voir un marché tous éclairé aux chandelles. Et l’on tombera amoureux d’un petit café au bord de la rivière endroit calme sans poussière aux cafés délicieux, ou l’on apercevait les buffles pataugeant dans l’eau qui prennent leurs bains paisiblement accompagnés des enfants. Allé six heures de bus pour rejoindre Mandalais ou de là nous prendrons le bateau pour rejoindre Bagan : le slow boat (slow slow slow !!!). Lors de l’achat des billets nous comprendrons dix heures de croisière, mais pas du tout c’était 22H l’arrivée donc 17H sur ce bateau ou l’on vivra parmis les locaux. A chaque arrêt c’est le bordel, on charge on décharge, on vous vend de tous, on jette l’argent dans l’eau, on comprend maintenant pourquoi les billets sont si pourris. Nous arriverons finalement sur Bagan ou nous seront stoppé pour payer un droit d’entrée de 10 dollars. Oui en Birmanie beaucoup de sites sont payant mais quand on sait où va l’argent, des fois on hésite. Alors pourquoi venir me dirais vous ? Ben juste pour tout le reste, juste pour avoir le sourire collé sur son visage 24 su 24.
Bagan ouvrira la porte de notre semaine sportive, pendant deux jours, nous découvrirons se site historique, parsemé de milliers de pagodes et temples de couleur rouge, équipé de nos deux vélo datant des années 60. On part sur Kalaw décidé à faire un trek. On prendra le bus le plus pourri du voyage pendant près de 10 heures. C’est là que nous rencontrons nos trois petits potes Christophe, Romain et Florent avec qui nous cohabiterons une semaine entière. Nous partons tous ensemble en trek pendant trois jours ou nous traverserons plaines et villages. Plus on avance plus on voit l’écart apparaitre entre les ethnies montagnardes et les citadins de Yangon, Mandalais ... Les voiture laisse place aux carrioles tirés par des vaches. Les gens se munissent de gros paniers pour aller chercher le bois. On voit travailler les paysans sans relâche encore une fois sous un soleil écrasant. Nous continuerons notre descente vers le lac inlé tout en croisant un grand nombre d’enfant avec qui on se régalera à prendre des photos. Nous sommes accompagnés de Robin notre guide et de tortue géniale notre cuistot. Nous dormons une nuit chez l’habitant la seconde dans un monastère, ou l’on découvrira le plaisir de se laver aux puits. « C’est du roots man, du roots qu’il nous faut... un retour aux racines !!! ». Ca avais l’air simple mais 60 KM en trois jours nous à laisser quelques séquelle. Apres tout ça nous avions bien mérité une petite cuite au rhum tous ensemble une fois arrivée à bon port.
Au lac inlé nous prendrons une journée pour se remettre de cette semaine sportive. Le lendemain nous partons tous les cinq en bateau découvrir les richesses de ce lac : on y verra les pécheurs dotés d’un équilibre hors du commun, seul au monde à utiliser cette technique qui consiste à ramer d’une jambe. Le lac est habité par les Inthias qui ont construit leurs villages sur le lac avec des maisons sur Pilotis. Nous passerons à travers les jardins flottants où poussent tomates et autres végétales. Somptueux, dommage pour les lotus n’était pas fleurit.
On finira la fin de notre périple en Birmanie à Yangon, nous voulions allez à la plage mais l’on sera surpris par de fortes averses ce qui nous découragera. On passe notre dernier jour avec nos p’tits potes (« sherpa one », « sherpa two », et « sherpa three ») que l’on doit retrouver au Cambodge.
En conclusions ne venait pas en Birmanie, laissez-la nous !!!!! Des rencontres exceptionnelles » à part ce connard de nazi et oui fallait qu’on tombe dessus », des visages sublimés par le maquillage Tanaka, le crachat rouge du bétel, le sourire et le regard des enfants... enfin bref on repart des images pleins les yeux, heureux, troublés et émerveillés....
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On aura commencé la découverte du pays par Yangon la capitale, nous serons instantanément étonné par cette culture à des années de la nôtre. Certain de nous seront envouter par la Shwedagon Pagodes (Pascal si tu lis le blog, c’est pour toi !!), d’autre seront terrorisés par les trottoirs de Yangon, même Indiana Jones ne serait où mettre les pieds sur cet assemblages de pavés mouvant !! En effet on préfère bâtir des milliers de temples que de soucier de la sécurité du peuple. On continuera notre route sur Mandalay après avoir visiter les ruelles et les marchés de la capitale, qui prennent souvent une allure indienne en moins mouvementé et moins peuplé. La Birmanie compte une forte immigration de Bengali, d’indiens, de chinois.
Nous parcourons la route qui relient Yangon à Mandalay en 10heures, dans un bus assez confort, climatisation et télé à disposition et le son toujours à font « que du bonheur ».On découvre Mandalay au petit matin, grande ville poussiéreuse qui a 1ère vue aurait subi des bombardements, en fait ce sont juste des travaux devant notre hôtel. Avec notre compagnon Pascal on part à la découverte de la ville que l’on aura avec Manue vraiment apprécier. On commence la déambulation sous un soleil de plomb, à travers un marché géant ; qui développera notre sens de l’odorat. On finira cette dernière journée ensemble pour voir le coucher du soleil sur le fameux pont de U-Bein fait de teck et long de plus d’un Km. Le lendemain nous louons tous les 2 un taxi pour la journée conduit par père et fils, ils nous amènerons d’abord dans un monastère, où l’on peut voir l’organisation du repas des moines, endroit à touristes désagréable comparable à un zoo, où cette horde de vacanciers n’hésite pas à te pousser pour prendre leurs clichés souvenirs, horrible !!! . Seul moment appréciable c’est l’invitation d’un jeune moine dans sa chambre, où nous discuterons difficilement en anglais une heure durant. On demandera à nos chauffeurs d’éviter ce genre de place, ils nous emmèneront donc dans des lieux qu’ils ont l’habitude de fréquenter. Ils nous inviteront à boire du thé avec leur famille, à déguster un bout de pastèque sur la route, on montera sur la colline aux 500 Pagodes de Sagaing, nous finirons au marché de nuit où sont rassemblé grossiste en tous genre, poissons, fruit et légumes après un somptueux coucher de soleil au bord de la rivière. Nous aurons passé tous ensemble une très bonne journée.
De là nous partons pour Hsipaw, en bus, 6heures de routes et une arrivée en soirée à Charles Guest house. Petite ville poussiéreuse, situé dans le nord, entourée de champs, où nous finiront par nous perdre aux milieux des choux et des buffles pendant 5heures (superbe trek improvisé). On y découvre une partie de l’artisanat local : le tissage des sacs des tissus, le roulage des cigares. Ici tous est fait à la main. Les birmans sont les rois du système D : par exemple leurs décapsuleur est un bout de bois avec une visse planté à l’intérieure.
On se lèvera à quatre du matin pour aller voir un marché tous éclairé aux chandelles. Et l’on tombera amoureux d’un petit café au bord de la rivière endroit calme sans poussière aux cafés délicieux, ou l’on apercevait les buffles pataugeant dans l’eau qui prennent leurs bains paisiblement accompagnés des enfants. Allé six heures de bus pour rejoindre Mandalais ou de là nous prendrons le bateau pour rejoindre Bagan : le slow boat (slow slow slow !!!). Lors de l’achat des billets nous comprendrons dix heures de croisière, mais pas du tout c’était 22H l’arrivée donc 17H sur ce bateau ou l’on vivra parmis les locaux. A chaque arrêt c’est le bordel, on charge on décharge, on vous vend de tous, on jette l’argent dans l’eau, on comprend maintenant pourquoi les billets sont si pourris. Nous arriverons finalement sur Bagan ou nous seront stoppé pour payer un droit d’entrée de 10 dollars. Oui en Birmanie beaucoup de sites sont payant mais quand on sait où va l’argent, des fois on hésite. Alors pourquoi venir me dirais vous ? Ben juste pour tout le reste, juste pour avoir le sourire collé sur son visage 24 su 24.
Bagan ouvrira la porte de notre semaine sportive, pendant deux jours, nous découvrirons se site historique, parsemé de milliers de pagodes et temples de couleur rouge, équipé de nos deux vélo datant des années 60. On part sur Kalaw décidé à faire un trek. On prendra le bus le plus pourri du voyage pendant près de 10 heures. C’est là que nous rencontrons nos trois petits potes Christophe, Romain et Florent avec qui nous cohabiterons une semaine entière. Nous partons tous ensemble en trek pendant trois jours ou nous traverserons plaines et villages. Plus on avance plus on voit l’écart apparaitre entre les ethnies montagnardes et les citadins de Yangon, Mandalais ... Les voiture laisse place aux carrioles tirés par des vaches. Les gens se munissent de gros paniers pour aller chercher le bois. On voit travailler les paysans sans relâche encore une fois sous un soleil écrasant. Nous continuerons notre descente vers le lac inlé tout en croisant un grand nombre d’enfant avec qui on se régalera à prendre des photos. Nous sommes accompagnés de Robin notre guide et de tortue géniale notre cuistot. Nous dormons une nuit chez l’habitant la seconde dans un monastère, ou l’on découvrira le plaisir de se laver aux puits. « C’est du roots man, du roots qu’il nous faut... un retour aux racines !!! ». Ca avais l’air simple mais 60 KM en trois jours nous à laisser quelques séquelle. Apres tout ça nous avions bien mérité une petite cuite au rhum tous ensemble une fois arrivée à bon port.
Au lac inlé nous prendrons une journée pour se remettre de cette semaine sportive. Le lendemain nous partons tous les cinq en bateau découvrir les richesses de ce lac : on y verra les pécheurs dotés d’un équilibre hors du commun, seul au monde à utiliser cette technique qui consiste à ramer d’une jambe. Le lac est habité par les Inthias qui ont construit leurs villages sur le lac avec des maisons sur Pilotis. Nous passerons à travers les jardins flottants où poussent tomates et autres végétales. Somptueux, dommage pour les lotus n’était pas fleurit.
On finira la fin de notre périple en Birmanie à Yangon, nous voulions allez à la plage mais l’on sera surpris par de fortes averses ce qui nous découragera. On passe notre dernier jour avec nos p’tits potes (« sherpa one », « sherpa two », et « sherpa three ») que l’on doit retrouver au Cambodge.
En conclusions ne venait pas en Birmanie, laissez-la nous !!!!! Des rencontres exceptionnelles » à part ce connard de nazi et oui fallait qu’on tombe dessus », des visages sublimés par le maquillage Tanaka, le crachat rouge du bétel, le sourire et le regard des enfants... enfin bref on repart des images pleins les yeux, heureux, troublés et émerveillés....
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