Le 06/05/12, 19:10
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Le départ sur Shanghai fut quelque peu fastidieux. Il fallait prévoir une organisation millimétrée pour ne rien oublier car trois mois et demi, c'est très long, et la Chine, très loin. N'ayant pas de sens inné pour les emplois du temps d'un plus long terme que 24h, je dus faire un effort considérable pour conjuguer flegme et obligations.
Quoiqu'il en soit, cette étape passée, je préfère parler du voyage en lui-même. Je conseille à tous la compagnie KLM. Branche néerlandaise du groupe Air France-KLM, elle réunit sur Amsterdam les voyageurs des longs courriers. En partance de Marseille, je me retrouvais donc, avec beaucoup de hollandais, à Schiphol, aéroport international vraiment super grand.
Il y avait dedans une immense affiche pour indiquer que se trouvait là, le plus grand Burger King des Pays-Bas ! Nostalgique de Londres où il y en a un tous les quartiers, j'hésitais fortement à commander les frites, tant spécifiques à ce fast-food. Néanmoins, l'escale, et c'est un autre avantage de KLM, durait peu de temps (2H15 je crois) et il fallait aussi compter la demi heure nécessaire pour l'enregistrement. On nous avait aussi donné des "Delicious sandwitch" dans l'avion, très bons. Je décidais alors de me promener parmi les très nombreuses boutiques de l'aéroport. A dire vrai, je cherchais absolument des chocolats/bonbons typiquement hollandais (j'aime trouver des produits banals de marque étrangère). J'achetais finalement des chocolats alternatifs "Droste Holland" mi chocolat au lait / mi chocolat noir
Bref, je finis par rejoindre mon terminal qui se trouvait à l'étage. Là, l'ambiance était tout à fait différente. Fini les hollandais, c'était désormais une sympathique foule de chinois qui attendait ! Malheureusement, nous avons eu une demi heure de retard pour l'enregistrement ... puis encore une demi heure de retard le temps que tout ce monde monte dans l'avion. Il était bien 22h quand nous sommes partis.
A ma gauche, le hublot, à ma droite, deux jeunes filles. Une chinoise, étudiante en communication à Northwich, et une anglaise de Newcastle. J'ai plutôt discuté avec ma voisine chinoise, ce qui me permis de chauffer mon anglais. J'ai remarqué que les chinois ne comprenaient pas ma prononciation de "tea", c'est très amusant. L'anglaise avait un bon accent du nord, mais était très sympa.
Nous avions chacun un espèce d'écran interactif qui donnait accès à des films, de la musique, des concerts, et ... à des cours de langue. Je choisis bien sur le chinois, mais c'était très étrange, le logiciel mettait la transcription phonétique et non le véritable pinyn (je ne pense pas que ce soit une bonne méthode). J'ai regardé la moitié de Real steel et le Monster ball tour de Lady Gaga. Il fallait aussi dormir. Le temps que nous mangions, il était déjà très tard.
J'eus pas mal de mal à dormir tout le temps de voyage. J'ai eu un sommeil profond par moment mais étais toujours réveillée par un mal de dos ou de cou. J'ai même perdu mon oreiller au final
Vers 6h du matin je constatais que ma voisine ne dormait pas et surtout que mes lunettes avaient disparues ! Panique à bord, je commençais déjà à imaginer la galère si elles étaient vraiment perdues. Après une sieste, je les trouvais tout simplement sous mon siège. C'est aussi à ce moment que des chinois s'amusaient à ouvrir les hublots (dehors il faisait jour du fait du décalage horaire), empêchant le monde entier d'avoir un tranquille sommeil.
Après un étrange petit déj, oeuf-ratatouille, carrot cake, salade de fruit, je savourais ce que je pensais être mon dernier café. Puis, nous arrivâmes en Chine. L'avantage du hublot, bien que celui ci soit chiant pour aller aux toilettes, c'est qu'on avait une vue fantastique sur la Chine, vue d'en haut. Je commençais à être impatiente d'arriver.
Arrivés vers 15h à Shanghai, il nous fallut encore remplir toutes les formalités (remplir un papier, faire la queue pour le faire tamponner, chercher les valises). C'est à ce moment qu'avec l'anglaise, nous nous rendions compte à quel point nous étions fatiguées. Je retrouvais la cousine d'une amie qui soucieuse s'inquiétait de ne pas me voir. Nous partions ensuite vers le centre, mais c'est déjà la fin du récit du voyage en lui-même, c'est fou tout ce qu'on peut écrire sur une dizaine d'heures d'avion !
Quoiqu'il en soit, cette étape passée, je préfère parler du voyage en lui-même. Je conseille à tous la compagnie KLM. Branche néerlandaise du groupe Air France-KLM, elle réunit sur Amsterdam les voyageurs des longs courriers. En partance de Marseille, je me retrouvais donc, avec beaucoup de hollandais, à Schiphol, aéroport international vraiment super grand.
Il y avait dedans une immense affiche pour indiquer que se trouvait là, le plus grand Burger King des Pays-Bas ! Nostalgique de Londres où il y en a un tous les quartiers, j'hésitais fortement à commander les frites, tant spécifiques à ce fast-food. Néanmoins, l'escale, et c'est un autre avantage de KLM, durait peu de temps (2H15 je crois) et il fallait aussi compter la demi heure nécessaire pour l'enregistrement. On nous avait aussi donné des "Delicious sandwitch" dans l'avion, très bons. Je décidais alors de me promener parmi les très nombreuses boutiques de l'aéroport. A dire vrai, je cherchais absolument des chocolats/bonbons typiquement hollandais (j'aime trouver des produits banals de marque étrangère). J'achetais finalement des chocolats alternatifs "Droste Holland" mi chocolat au lait / mi chocolat noir
Bref, je finis par rejoindre mon terminal qui se trouvait à l'étage. Là, l'ambiance était tout à fait différente. Fini les hollandais, c'était désormais une sympathique foule de chinois qui attendait ! Malheureusement, nous avons eu une demi heure de retard pour l'enregistrement ... puis encore une demi heure de retard le temps que tout ce monde monte dans l'avion. Il était bien 22h quand nous sommes partis.
A ma gauche, le hublot, à ma droite, deux jeunes filles. Une chinoise, étudiante en communication à Northwich, et une anglaise de Newcastle. J'ai plutôt discuté avec ma voisine chinoise, ce qui me permis de chauffer mon anglais. J'ai remarqué que les chinois ne comprenaient pas ma prononciation de "tea", c'est très amusant. L'anglaise avait un bon accent du nord, mais était très sympa.
Nous avions chacun un espèce d'écran interactif qui donnait accès à des films, de la musique, des concerts, et ... à des cours de langue. Je choisis bien sur le chinois, mais c'était très étrange, le logiciel mettait la transcription phonétique et non le véritable pinyn (je ne pense pas que ce soit une bonne méthode). J'ai regardé la moitié de Real steel et le Monster ball tour de Lady Gaga. Il fallait aussi dormir. Le temps que nous mangions, il était déjà très tard.
J'eus pas mal de mal à dormir tout le temps de voyage. J'ai eu un sommeil profond par moment mais étais toujours réveillée par un mal de dos ou de cou. J'ai même perdu mon oreiller au final
Vers 6h du matin je constatais que ma voisine ne dormait pas et surtout que mes lunettes avaient disparues ! Panique à bord, je commençais déjà à imaginer la galère si elles étaient vraiment perdues. Après une sieste, je les trouvais tout simplement sous mon siège. C'est aussi à ce moment que des chinois s'amusaient à ouvrir les hublots (dehors il faisait jour du fait du décalage horaire), empêchant le monde entier d'avoir un tranquille sommeil.
Après un étrange petit déj, oeuf-ratatouille, carrot cake, salade de fruit, je savourais ce que je pensais être mon dernier café. Puis, nous arrivâmes en Chine. L'avantage du hublot, bien que celui ci soit chiant pour aller aux toilettes, c'est qu'on avait une vue fantastique sur la Chine, vue d'en haut. Je commençais à être impatiente d'arriver.
Arrivés vers 15h à Shanghai, il nous fallut encore remplir toutes les formalités (remplir un papier, faire la queue pour le faire tamponner, chercher les valises). C'est à ce moment qu'avec l'anglaise, nous nous rendions compte à quel point nous étions fatiguées. Je retrouvais la cousine d'une amie qui soucieuse s'inquiétait de ne pas me voir. Nous partions ensuite vers le centre, mais c'est déjà la fin du récit du voyage en lui-même, c'est fou tout ce qu'on peut écrire sur une dizaine d'heures d'avion !