Le 20/12/11, 12:44
76.73308943571415.915805117857
Je vous ai parle du chantier, mais pas de ce que j'ai pu avoir l'occasion de voir a cote.
Certaines soirees ou aprem, etaient organisees des sorties decouvertes et/ou culturelles.
Le Kalarippayat tout d'abord. Il s'agit d'un art martial Keralais tres ancien. Il serait a l'origine de tous les autres arts martiaux asiatiques. On a eu droit a une representation speciale. Au menu, echauffement ( enchainement de postures dans une atmosphere tres ceremonieuse) puis demonstration des differents types de lutte (epees, fouet metallique, batons, feux, sabres et boucliers). Un art pas seulement reserve aux hommes, une fille de 10 ans faisait partie du groupe.
Vous ne verez que la partie feu, mon appareil se revelant tres mauvais pour les photos de nuit
Le Tody. C'est un alcool de coco, une specialite du Kerala.
Pour le faire, des hommes montent en haut des cocotiers et chaques jours coupent quelques feuilles (toujours les meme si j'ai bien compris) et en recoltent une sorte de seve. Le tout est ensuite distille jusqu'a obtenir de l'alcool, le Tody. A franchement parle, meme si un peu d'alcool me manque surtout une bonne biere fraiche, j'ai francement trouve ca degoutant et ecoeurant donc juste un petit verre pour moi. J'en profite pour vous faire un topo sur l'alcool au Kerala. Icic on n'en trouve que dans des liquors shop tres glauque, ou seuls les hommes peuvent entrer avec papiers a presenter. Et surtout, au Kerala, la loi interdit aux femmes de consommer de l'alcool.
Mais on a pu contourner ca le weekend, notre leader indien et les gars du camps allaient chercher quelques bieres pour nous autres pauvres femmes. Fisher, bof mais bon ca rafraichi.
Croisiere sur la riviere. A Parassini il y avait une riviere, en fait la aussi deja on peut trouver quelques backwaters meme s'ils sont moins etendus et peu exploites pour le tourisme. Durant la ballade, on a pu croiser une centaine de petites embarcations. Les hommes qui y triment (pas d'autres mots) draguent le fond de la riviere avec des longs batons pour en remonter du sable avec des sacs et plein d'huile de coude. Le tout est ensuite decharge en tas enormes qui serviront pour la construction de briques et autres constructions.
Certaines soirees ou aprem, etaient organisees des sorties decouvertes et/ou culturelles.
Le Kalarippayat tout d'abord. Il s'agit d'un art martial Keralais tres ancien. Il serait a l'origine de tous les autres arts martiaux asiatiques. On a eu droit a une representation speciale. Au menu, echauffement ( enchainement de postures dans une atmosphere tres ceremonieuse) puis demonstration des differents types de lutte (epees, fouet metallique, batons, feux, sabres et boucliers). Un art pas seulement reserve aux hommes, une fille de 10 ans faisait partie du groupe.
Vous ne verez que la partie feu, mon appareil se revelant tres mauvais pour les photos de nuit
Le Tody. C'est un alcool de coco, une specialite du Kerala.
Pour le faire, des hommes montent en haut des cocotiers et chaques jours coupent quelques feuilles (toujours les meme si j'ai bien compris) et en recoltent une sorte de seve. Le tout est ensuite distille jusqu'a obtenir de l'alcool, le Tody. A franchement parle, meme si un peu d'alcool me manque surtout une bonne biere fraiche, j'ai francement trouve ca degoutant et ecoeurant donc juste un petit verre pour moi. J'en profite pour vous faire un topo sur l'alcool au Kerala. Icic on n'en trouve que dans des liquors shop tres glauque, ou seuls les hommes peuvent entrer avec papiers a presenter. Et surtout, au Kerala, la loi interdit aux femmes de consommer de l'alcool.
Mais on a pu contourner ca le weekend, notre leader indien et les gars du camps allaient chercher quelques bieres pour nous autres pauvres femmes. Fisher, bof mais bon ca rafraichi.
Croisiere sur la riviere. A Parassini il y avait une riviere, en fait la aussi deja on peut trouver quelques backwaters meme s'ils sont moins etendus et peu exploites pour le tourisme. Durant la ballade, on a pu croiser une centaine de petites embarcations. Les hommes qui y triment (pas d'autres mots) draguent le fond de la riviere avec des longs batons pour en remonter du sable avec des sacs et plein d'huile de coude. Le tout est ensuite decharge en tas enormes qui serviront pour la construction de briques et autres constructions.