Le 17/12/11, 13:35
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Ca y est, mes 30 jours en Indonésie sont déjà terminés. Je suis à l’aéroport de Jakarta (en tout cas j y etais quand j ai ecrit ces lignes il y a 15 jrs, lol), j’attends mon vol pour Singapore.
Pour être honnête, le bilan est mitige et je garderai un souvenir moyen de l’Indonésie. Ah ha ? Ben oui... En gros le pays regorge de ressources naturelles magnifiques, cependant, il y a, POUR MOI, des cotes négatifs. Bien que les gens soient très gentils, beaucoup vivent du tourisme et nous voient nous, étrangers comme des portefeuilles sur jambes. Dans les parties touristiques, il est fatiguant de se balader car on est sans cesse sollicité pour acheter tout et n’importe quoi. De plus il faut toujours négocier, c’est la règle et ils annoncent parfois un peu plus cher, parfois 10 fois plus cher !
Hors des parties touristiques, le plus difficile, c’est la bouffe. En effet, c’est nouilles et riz matin midi et soir et après 15 jours sur place, quand on vous propose un Nasi Goreng au petit déj’, y en a marre...
Mais revenons plutôt à mon arrivée à Kuta. Ben Kuta, c’est HYPER touristique ! Les Australiens s’y rendent comme les européens vont en Tunisie, Espagne ou Turquie. Du coup, il n y a que des magasins de vêtements, souvenirs, bars et les prix sont élevés. Sans interet...
Dans les environs de Kuta, j’ai quand même trouvé des endroits sympas, Jimbaran, réputé pour son poisson, où j’ai dégusté un succulent Red Snapper sur la plage. Tanah Lot, un temple taille dans la roche accessible uniquement à marre basse.
De là je me suis rendu a Denpasar, la capitale de Bali. En fait personne n’y va et pour cause, il n y a pas grand-chose à voir : un musée, une place avec un monument, des temples, un marché et le marché aux oiseaux. C’est ce qui m’a le plus marque car on peut même y acheter des chauves-souris, des hiboux, des singes, et des lézards de toutes sortes! J’y ai également assisté à un combat de coqs, les indonésiens sont de gros parieurs et c’est incroyable l’effervescence qui entoure les combats. Vidéo à venir sur FB
Ensuite je suis allé jusqu’à a Ubud, ville plus culturelle (peintures, sculptures, danses traditionnelles) entourée de champs de riz, magnifique. Cette ville est également connue pour sa Monkey Forest, dans laquelle il y a 3 temples et des centaines de singes partout. Ça fait un peu Indiana Jones, sympa...
Bien que très touristique, Ubud a son charme et j’y suis reste une semaine. J’ai loue un scooter afin de découvrir les environs : Volcan Batur, temples, champs de riz, ... C’est là que je me suis rendu compte que le Bali des cartes postales était bien loin. En effet, ce n’est pas du tout aussi zen et peace qu’on se l’imagine, sauf si on prend un hôtel de luxe et qu’on y reste. Dès qu’on sort de « chez soi » les routes sont hyper encombrées, les indonésiens roulent comme des fous et ne connaissent pas les sens uniques ou autres règles de la circulation. Ils klaxonnent en permanence: pour dire « attention j’arrive » ou « salut comment ça va » ou « va te faire ... » et aussi à d’autres moments pour des raisons indéfinies En tant que motard, au début, j’ai trouvé cela marrant de pouvoir rouler comme un fou en toute impunité, mais ça devient très vite fatiguant.
J’ai ensuite pris un bateau pour me rendre sur Gili Islands. Les iles Gilis, se sont 3 minuscules iles à l’Ouest de Lombok. Gili Air, Gili Meno et Gili Trawangan. Je suis reste sur cette dernière, la plus grande : paradis pour les plongeurs, les fêtards ou tout simplement pour les gens qui veulent lézarder au soleil. Dans les Gili’s, il n y a pas de voitures, pas de scooters, juste des vélos et des charrettes tirées par des chevaux. Une petite rue en terre qui longe la mer, un marché où il est possible de manger du poisson frais bon marche ou autres plats locaux, 18 centres de plongée, pas de police... du coup, on te propose de l’herbe ou des champignons à tous les coins de rue, même dans les hôtels, c’est normal ici et ils appellent ça des « tickets to the moon » (tickets pour le lune A faire...
En fait, contrairement à ce qu´on pourrait croire, il n’y a que 3 fêtes par semaine (lundi –mercredi-vendredi), dans les 3 plus vieux endroits de l’ile, chaque bar à son jour. Pas de concurrence, c’est comme ça, c’est la tradition, mais jusqu´à quand ? La popularité des Gili´s grandit très vite, les hôtels poussent partout et je crains que ça ne soit plus pareil à ma prochaine visite...
Vu que je me plaisais tant, j’ai trouvé une excuse pour prolonger de quelques jours en passant mon brevet de plongée PADI Open Water. En 3 jours, cours théoriques, 2 plongées en piscine et 4 plongées en mer jusqu’à 18 mètres. Génial ! J’ai donc mon brevet et peux plonger à vie à cette profondeur. Je compte bien passer mon brevet 30 mètres en Thaïlande...
J’ai ensuite traversé Bali d’Est en Ouest et suis arrivé sur l’ile de Java ou je voulais voir 4 choses.
La première, c’est le plateau d’Ijen. D’abord 2h30 de scooter avec un guide local. Sur certains tronçons, obligé de monter à pied tellement la « route » était mauvaise et abrupte... Arrivé au pied du volcan et après avoir payé l’entrée et la taxe d’appareil photo (...), j’ai enfin pu commencer à marcher.
L’ascension du volcan est rendue difficile par la chaleur et l’humidité ambiante. Arrivé au-dessus du cratère, quel spectacle ! Au fond, il y a un immense lac émeraude au bord duquel se trouve une mine de sulfure. C’est comme ça que j’ai probablement perdu 5 ans d’espérance de vie, ha ha ha. En effet, en descendant vers la mine, le vent s’est levé et je me suis retrouvé bloqué dans la fumée de sulfure montant du lac ! Mon T-shirt devant la bouche, à croupi, je n’arrivais pas à respirer, je toussais comme un fou et, ne voyant pas à un mètre, je ne pouvais plus avancer ! J’ai finalement réussi à m’en tirer et à arriver à la mine en question. De là, les mineurs remontent le cratère avec 70 kilos de sulfure et redescendent ensuite jusqu’au village. Ce chemin m’a pris 1h30 (l’allé), juste avec mon sac au dos et je n’aurais pas voulu le faire deux fois. Eux le font plusieurs fois par jours avec le poids d’un homme sur le dos et pour un salaire de misère ! Qui oserait encore se plaindre d’un boulot en Europe, quel qu’il soit, après avoir vu cela ?
La deuxième étape fut le mont Bromo. Par hasard, j’ai trouvé un nouvel hôtel à Probolinggo (ville à 1h30 de Bromo), j‘étais leur premier touriste. Le manager était tellement fier qu’il a pris une photo avec moi devant la réception et m’a dit qu’il la mettrait sur leur site internet! De nouveau pas moyen de louer un scooter donc j’ai fait comme à Ijen, louer un scooter avec guide compris. Rapide et au moins, on est certain de ne pas se perdre...
La route vers le cratère est très belle, on roule entouré de montagnes très raides où les gens cultivent entre autres des patates. En les voyant travailler leurs terres depuis la petite route sinueuse, on a vraiment l’impression qu’ils vont glisser d’un moment à l’autre et se retrouver 100 mètres plus bas !
Une fois arrivés à proximité du mont Bromo, on entre dans ce qui s’appelle the « sea of sand » (la mer de sable). C’est une immense plaine rendue aride par la dernière éruption. Cette plaine est entourée de montagnes. Il y a juste un temple hindouiste au pied du cratère, décidemment, ils aiment bien les beaux endroits! Mon guide m’a amené jusqu’au pied du volcan. Après une ascension facile d’une demi-heure, me voilà au bord du cratère encore fumant de Bromo. Ce qui est sympa dans les pays sans trop de règles, c’est que personne n’est là pour vous dire « ne faites pas ceci ou cela », il n’y a d’ailleurs même pas de barrière et il suffirait d’un pas pour glisser dans le cratère. Ca calme...
C’est donc ravi par mes 2 premières excursions (mais je dois bien l’avouer, lassé par la nourriture) que je suis arrivé à Yoygyakarta. Dans la périphérie, je suis allé voir Borobudur, le plus ancien temple bouddhiste d’Asie du sud-est, plus ancien qu’Angkor Vat au Cambodge... Ensuite Prambanan, temple hindouiste. Bien que très différents, les deux sont spectaculaires par leur taille et leur architecture. Mention spéciale pour Borobudur !
Au centre de « Djodja », le fameux « sultan palace » m’a laissé sur ma faim, mais j’ai adoré l’histoire du « water castle ». C’est là que le harem du sultan séjournait. 40 nanas, 2 piscines (20 nanas par piscine). Au bord des piscines, une grande tour du haut de laquelle le sultan choisissait sa maitresse du jour. Ils allaient ensuite nager dans un bassin privé, au sauna et puis faire la « sieste »
L’eau des piscines est renouvelée tous les jours car reliée à une source d’eau naturelle...
Et là, la cerise sur la gâteau, l’erreur de ma vie : choisir de voyager en voiture plutôt qu’en train entre Yogyakarta et Jakarta, capitale de plus de 10 millions de personnes. Ne faites jamais ça, JAMAIS !!!
18 heures de routes de merde dans une camionnette rentabilisée au maximum, c’est-à-dire 8 personnes bien serrées. 2 crevaisons en cour de route, un chauffeur champion du monde du renvoi (je suis gentil en disant un toutes les 30 sec) mais qui se croyait également champion du monde de rallye et 4h d’embouteillages à l’arrivée ! Je n’ai pas aimé Jakarta : trop grand, trop de circulation, trop pollué, etc... Mais bon, vu que j’avais décidé de voler jusqu’à Singapore, il fallait bien y passer. Et puis on ne peut pas dire qu’on n’aime pas quelque chose si on ne l’a pas vu de ses propres yeux...
Pour être honnête, le bilan est mitige et je garderai un souvenir moyen de l’Indonésie. Ah ha ? Ben oui... En gros le pays regorge de ressources naturelles magnifiques, cependant, il y a, POUR MOI, des cotes négatifs. Bien que les gens soient très gentils, beaucoup vivent du tourisme et nous voient nous, étrangers comme des portefeuilles sur jambes. Dans les parties touristiques, il est fatiguant de se balader car on est sans cesse sollicité pour acheter tout et n’importe quoi. De plus il faut toujours négocier, c’est la règle et ils annoncent parfois un peu plus cher, parfois 10 fois plus cher !
Hors des parties touristiques, le plus difficile, c’est la bouffe. En effet, c’est nouilles et riz matin midi et soir et après 15 jours sur place, quand on vous propose un Nasi Goreng au petit déj’, y en a marre...
Mais revenons plutôt à mon arrivée à Kuta. Ben Kuta, c’est HYPER touristique ! Les Australiens s’y rendent comme les européens vont en Tunisie, Espagne ou Turquie. Du coup, il n y a que des magasins de vêtements, souvenirs, bars et les prix sont élevés. Sans interet...
Dans les environs de Kuta, j’ai quand même trouvé des endroits sympas, Jimbaran, réputé pour son poisson, où j’ai dégusté un succulent Red Snapper sur la plage. Tanah Lot, un temple taille dans la roche accessible uniquement à marre basse.
De là je me suis rendu a Denpasar, la capitale de Bali. En fait personne n’y va et pour cause, il n y a pas grand-chose à voir : un musée, une place avec un monument, des temples, un marché et le marché aux oiseaux. C’est ce qui m’a le plus marque car on peut même y acheter des chauves-souris, des hiboux, des singes, et des lézards de toutes sortes! J’y ai également assisté à un combat de coqs, les indonésiens sont de gros parieurs et c’est incroyable l’effervescence qui entoure les combats. Vidéo à venir sur FB
Ensuite je suis allé jusqu’à a Ubud, ville plus culturelle (peintures, sculptures, danses traditionnelles) entourée de champs de riz, magnifique. Cette ville est également connue pour sa Monkey Forest, dans laquelle il y a 3 temples et des centaines de singes partout. Ça fait un peu Indiana Jones, sympa...
Bien que très touristique, Ubud a son charme et j’y suis reste une semaine. J’ai loue un scooter afin de découvrir les environs : Volcan Batur, temples, champs de riz, ... C’est là que je me suis rendu compte que le Bali des cartes postales était bien loin. En effet, ce n’est pas du tout aussi zen et peace qu’on se l’imagine, sauf si on prend un hôtel de luxe et qu’on y reste. Dès qu’on sort de « chez soi » les routes sont hyper encombrées, les indonésiens roulent comme des fous et ne connaissent pas les sens uniques ou autres règles de la circulation. Ils klaxonnent en permanence: pour dire « attention j’arrive » ou « salut comment ça va » ou « va te faire ... » et aussi à d’autres moments pour des raisons indéfinies En tant que motard, au début, j’ai trouvé cela marrant de pouvoir rouler comme un fou en toute impunité, mais ça devient très vite fatiguant.
J’ai ensuite pris un bateau pour me rendre sur Gili Islands. Les iles Gilis, se sont 3 minuscules iles à l’Ouest de Lombok. Gili Air, Gili Meno et Gili Trawangan. Je suis reste sur cette dernière, la plus grande : paradis pour les plongeurs, les fêtards ou tout simplement pour les gens qui veulent lézarder au soleil. Dans les Gili’s, il n y a pas de voitures, pas de scooters, juste des vélos et des charrettes tirées par des chevaux. Une petite rue en terre qui longe la mer, un marché où il est possible de manger du poisson frais bon marche ou autres plats locaux, 18 centres de plongée, pas de police... du coup, on te propose de l’herbe ou des champignons à tous les coins de rue, même dans les hôtels, c’est normal ici et ils appellent ça des « tickets to the moon » (tickets pour le lune A faire...
En fait, contrairement à ce qu´on pourrait croire, il n’y a que 3 fêtes par semaine (lundi –mercredi-vendredi), dans les 3 plus vieux endroits de l’ile, chaque bar à son jour. Pas de concurrence, c’est comme ça, c’est la tradition, mais jusqu´à quand ? La popularité des Gili´s grandit très vite, les hôtels poussent partout et je crains que ça ne soit plus pareil à ma prochaine visite...
Vu que je me plaisais tant, j’ai trouvé une excuse pour prolonger de quelques jours en passant mon brevet de plongée PADI Open Water. En 3 jours, cours théoriques, 2 plongées en piscine et 4 plongées en mer jusqu’à 18 mètres. Génial ! J’ai donc mon brevet et peux plonger à vie à cette profondeur. Je compte bien passer mon brevet 30 mètres en Thaïlande...
J’ai ensuite traversé Bali d’Est en Ouest et suis arrivé sur l’ile de Java ou je voulais voir 4 choses.
La première, c’est le plateau d’Ijen. D’abord 2h30 de scooter avec un guide local. Sur certains tronçons, obligé de monter à pied tellement la « route » était mauvaise et abrupte... Arrivé au pied du volcan et après avoir payé l’entrée et la taxe d’appareil photo (...), j’ai enfin pu commencer à marcher.
L’ascension du volcan est rendue difficile par la chaleur et l’humidité ambiante. Arrivé au-dessus du cratère, quel spectacle ! Au fond, il y a un immense lac émeraude au bord duquel se trouve une mine de sulfure. C’est comme ça que j’ai probablement perdu 5 ans d’espérance de vie, ha ha ha. En effet, en descendant vers la mine, le vent s’est levé et je me suis retrouvé bloqué dans la fumée de sulfure montant du lac ! Mon T-shirt devant la bouche, à croupi, je n’arrivais pas à respirer, je toussais comme un fou et, ne voyant pas à un mètre, je ne pouvais plus avancer ! J’ai finalement réussi à m’en tirer et à arriver à la mine en question. De là, les mineurs remontent le cratère avec 70 kilos de sulfure et redescendent ensuite jusqu’au village. Ce chemin m’a pris 1h30 (l’allé), juste avec mon sac au dos et je n’aurais pas voulu le faire deux fois. Eux le font plusieurs fois par jours avec le poids d’un homme sur le dos et pour un salaire de misère ! Qui oserait encore se plaindre d’un boulot en Europe, quel qu’il soit, après avoir vu cela ?
La deuxième étape fut le mont Bromo. Par hasard, j’ai trouvé un nouvel hôtel à Probolinggo (ville à 1h30 de Bromo), j‘étais leur premier touriste. Le manager était tellement fier qu’il a pris une photo avec moi devant la réception et m’a dit qu’il la mettrait sur leur site internet! De nouveau pas moyen de louer un scooter donc j’ai fait comme à Ijen, louer un scooter avec guide compris. Rapide et au moins, on est certain de ne pas se perdre...
La route vers le cratère est très belle, on roule entouré de montagnes très raides où les gens cultivent entre autres des patates. En les voyant travailler leurs terres depuis la petite route sinueuse, on a vraiment l’impression qu’ils vont glisser d’un moment à l’autre et se retrouver 100 mètres plus bas !
Une fois arrivés à proximité du mont Bromo, on entre dans ce qui s’appelle the « sea of sand » (la mer de sable). C’est une immense plaine rendue aride par la dernière éruption. Cette plaine est entourée de montagnes. Il y a juste un temple hindouiste au pied du cratère, décidemment, ils aiment bien les beaux endroits! Mon guide m’a amené jusqu’au pied du volcan. Après une ascension facile d’une demi-heure, me voilà au bord du cratère encore fumant de Bromo. Ce qui est sympa dans les pays sans trop de règles, c’est que personne n’est là pour vous dire « ne faites pas ceci ou cela », il n’y a d’ailleurs même pas de barrière et il suffirait d’un pas pour glisser dans le cratère. Ca calme...
C’est donc ravi par mes 2 premières excursions (mais je dois bien l’avouer, lassé par la nourriture) que je suis arrivé à Yoygyakarta. Dans la périphérie, je suis allé voir Borobudur, le plus ancien temple bouddhiste d’Asie du sud-est, plus ancien qu’Angkor Vat au Cambodge... Ensuite Prambanan, temple hindouiste. Bien que très différents, les deux sont spectaculaires par leur taille et leur architecture. Mention spéciale pour Borobudur !
Au centre de « Djodja », le fameux « sultan palace » m’a laissé sur ma faim, mais j’ai adoré l’histoire du « water castle ». C’est là que le harem du sultan séjournait. 40 nanas, 2 piscines (20 nanas par piscine). Au bord des piscines, une grande tour du haut de laquelle le sultan choisissait sa maitresse du jour. Ils allaient ensuite nager dans un bassin privé, au sauna et puis faire la « sieste »
L’eau des piscines est renouvelée tous les jours car reliée à une source d’eau naturelle...
Et là, la cerise sur la gâteau, l’erreur de ma vie : choisir de voyager en voiture plutôt qu’en train entre Yogyakarta et Jakarta, capitale de plus de 10 millions de personnes. Ne faites jamais ça, JAMAIS !!!
18 heures de routes de merde dans une camionnette rentabilisée au maximum, c’est-à-dire 8 personnes bien serrées. 2 crevaisons en cour de route, un chauffeur champion du monde du renvoi (je suis gentil en disant un toutes les 30 sec) mais qui se croyait également champion du monde de rallye et 4h d’embouteillages à l’arrivée ! Je n’ai pas aimé Jakarta : trop grand, trop de circulation, trop pollué, etc... Mais bon, vu que j’avais décidé de voler jusqu’à Singapore, il fallait bien y passer. Et puis on ne peut pas dire qu’on n’aime pas quelque chose si on ne l’a pas vu de ses propres yeux...