Le 14/09/11, 6:48
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Cessnock !
Je suis arrivé à Cessnock à 6 heures le soir après avoir tourné dans la cambrousse pendant 1 heure.
Arrivé sur le lieu où il stocke le matériel, je suis sorti du van, ouvert la porte latérale pour « plonger » sur mon « king size bed ». Hop gros dodo jusqu’au lendemain 10h00 .
L’entreprise Balloon Aloft a son bureau principal dans la ville de Cessnock mais le lieu de stockage est excentré de 12 kms.
Je ne travaillais pas du lendemain même, j’ai donc décidé de me construire mon camp de base !
J’ai construit une douche avec la structure de la pompe à essence (première fois que j’utilisais la douche solaire), j’ai acheté des plaques électriques comme j’avais le courant, ainsi je n’allais pas utiliser mes bouteilles de gaz.
15H00 Matt m’appelle, « Damien demain tu vas faire une journée où tu ne seras pas payé, c’est une journée pour que tu comprennes comment nous travaillons » S U P E R !
03h00 AM, mon réveil-coq sonne, je saute dans mes chaussures Quechua (Ces fameuses chaussures avec lesquelles je ne peux passer incognito, « ah t’es français »), j’enfile mon jean, un pull et les gants.
A partir de ce moment-là je faisais partit de l’ « Official Flight Crew ». Les différentes étapes sont les suivantes. Tout d’abord les 4x4 (avec les ballons) et le mini-bus se rendent sur le parking d’un restaurant de luxe ou ils font également du champagne (Enfin ils font ce qu’il peut). Ensuite les clients arrivent et se font chécker dans les restaurants où ils ont le droit à un petit déjeuner. Un des pilotes laisse s’envoler un petit ballon avec une diode rouge à l’intérieur afin de savoir le sens du vent. Quand tout le monde est là, les clients jump dans le bus et hop direction un emplacement de décollage.
Arrivé sur l’emplacement, je sautais du 4X4 et hop c’est partit :
- Sortir les ventilos et le panier
- Déballer le ballon et l’étaler
- Accrocher les cordes sur la structure
- Commencer à attacher les scratchs pour que l’air envoyé reste dans le ballon
- Attraper la corde pour maintenir le ballon pendant que le pilote commence à chauffer l’air.
- Dès que l’enveloppe se dresse, le teneur de corde (moi en l’occurrence) court jusqu’au panier et donne la corde pour qu’il l’accroche à la nacelle
- Ensuite l’équipe au sol saute sur les bords du ballon afin de l’empêcher de décoller pendant que le pilote chauffe l’enveloppe
- Dès que le pilote estime (ou pense) que la différence de température, entre l’air extérieur et l’air contenu dans l’aérostat, est assez grande, alors l’équipe du sol, accroché sur le ballon, lâche celui-ci pour qu’il puisse rejoindre le ciel !
Les clients étant entrain de voyager en l’air (oui c’est bien le verbe « voyager »), je sautais dans le minibus et suivait le 4x4 jusqu’au point d’atterrissage.
Là démarrait le rangement du ballon, où comme chez Picardy’s balloon, les voaygeurs nous aidaient à plier le ballon.
Nous retournions ensuite au restaurant où les clients avaient une dégustation de « champagne australien », nous l’équipe-sol, nous retournions à l’endroit où il stockait le matériel.
Là ma journée se terminait, je rejoignais mon camp de base.
Les journées étaient très longues, j’avais beaucoup de temps libre.
J’ai donc essayé de trouver un autre boulot. J’ai commencé à faire le tour des vignobles, saison morte pas de boulot, alors j’ai fait le tour des hôtels et des restaurants, il faut rester au moins 2 moins, pas de boulot.
Après avoir visionné 50 films et passé des 7 après-midis à dormir, j’ai décidé de quitter Cessnock, il n’y avait plus le piment du voyage qui coule dans mes veines depuis le 13 mai.
Direction donc Sydney pour vendre le van, car à force de serrer la ceinture, je me retrouve à ne plus avoir de place pour faire de nouveaux trous !
Sydney est à 2h45 de route, je suis invité chez Matt le big boss pour manger le repas du soir !
Let’s go !
Je suis arrivé à Cessnock à 6 heures le soir après avoir tourné dans la cambrousse pendant 1 heure.
Arrivé sur le lieu où il stocke le matériel, je suis sorti du van, ouvert la porte latérale pour « plonger » sur mon « king size bed ». Hop gros dodo jusqu’au lendemain 10h00 .
L’entreprise Balloon Aloft a son bureau principal dans la ville de Cessnock mais le lieu de stockage est excentré de 12 kms.
Je ne travaillais pas du lendemain même, j’ai donc décidé de me construire mon camp de base !
J’ai construit une douche avec la structure de la pompe à essence (première fois que j’utilisais la douche solaire), j’ai acheté des plaques électriques comme j’avais le courant, ainsi je n’allais pas utiliser mes bouteilles de gaz.
15H00 Matt m’appelle, « Damien demain tu vas faire une journée où tu ne seras pas payé, c’est une journée pour que tu comprennes comment nous travaillons » S U P E R !
03h00 AM, mon réveil-coq sonne, je saute dans mes chaussures Quechua (Ces fameuses chaussures avec lesquelles je ne peux passer incognito, « ah t’es français »), j’enfile mon jean, un pull et les gants.
A partir de ce moment-là je faisais partit de l’ « Official Flight Crew ». Les différentes étapes sont les suivantes. Tout d’abord les 4x4 (avec les ballons) et le mini-bus se rendent sur le parking d’un restaurant de luxe ou ils font également du champagne (Enfin ils font ce qu’il peut). Ensuite les clients arrivent et se font chécker dans les restaurants où ils ont le droit à un petit déjeuner. Un des pilotes laisse s’envoler un petit ballon avec une diode rouge à l’intérieur afin de savoir le sens du vent. Quand tout le monde est là, les clients jump dans le bus et hop direction un emplacement de décollage.
Arrivé sur l’emplacement, je sautais du 4X4 et hop c’est partit :
- Sortir les ventilos et le panier
- Déballer le ballon et l’étaler
- Accrocher les cordes sur la structure
- Commencer à attacher les scratchs pour que l’air envoyé reste dans le ballon
- Attraper la corde pour maintenir le ballon pendant que le pilote commence à chauffer l’air.
- Dès que l’enveloppe se dresse, le teneur de corde (moi en l’occurrence) court jusqu’au panier et donne la corde pour qu’il l’accroche à la nacelle
- Ensuite l’équipe au sol saute sur les bords du ballon afin de l’empêcher de décoller pendant que le pilote chauffe l’enveloppe
- Dès que le pilote estime (ou pense) que la différence de température, entre l’air extérieur et l’air contenu dans l’aérostat, est assez grande, alors l’équipe du sol, accroché sur le ballon, lâche celui-ci pour qu’il puisse rejoindre le ciel !
Les clients étant entrain de voyager en l’air (oui c’est bien le verbe « voyager »), je sautais dans le minibus et suivait le 4x4 jusqu’au point d’atterrissage.
Là démarrait le rangement du ballon, où comme chez Picardy’s balloon, les voaygeurs nous aidaient à plier le ballon.
Nous retournions ensuite au restaurant où les clients avaient une dégustation de « champagne australien », nous l’équipe-sol, nous retournions à l’endroit où il stockait le matériel.
Là ma journée se terminait, je rejoignais mon camp de base.
Les journées étaient très longues, j’avais beaucoup de temps libre.
J’ai donc essayé de trouver un autre boulot. J’ai commencé à faire le tour des vignobles, saison morte pas de boulot, alors j’ai fait le tour des hôtels et des restaurants, il faut rester au moins 2 moins, pas de boulot.
Après avoir visionné 50 films et passé des 7 après-midis à dormir, j’ai décidé de quitter Cessnock, il n’y avait plus le piment du voyage qui coule dans mes veines depuis le 13 mai.
Direction donc Sydney pour vendre le van, car à force de serrer la ceinture, je me retrouve à ne plus avoir de place pour faire de nouveaux trous !
Sydney est à 2h45 de route, je suis invité chez Matt le big boss pour manger le repas du soir !
Let’s go !