Le 10/03/11, 2:50
108.4811616562530.98223090625
- Parce que déjà le titre fait envie,
- Parce qu'il annonce déjà des paysages magnifiques
- Et parce que vraiment, ce fût un très beau périple.
Merveilleuse surprise que le village de Songpan. Décrit comme ayant peu d'intérêt par notre compagnon de tous les jours, le "lonely planet". Nous avons découvert avec bonheur, un petit coin de Terre tibétain. Accueillis par de nombreux sourires ( Le tourisme dans ce village est pratiquement la seule source de revenus. Il y a plusieurs années déjà, l'état à décrété un plan de "secours environnemental". Les agriculteurs taillant la montagnes en escaliers et les troupeaux de Yacks dévalant les pentes, risquant de mettre en péril le trésor naturel qu'offre la vallée. C'est ainsi qu'en échange de leurs dévouement face aux programme de protection, on a remis à nos pauvres agriculteurs la clefs de leur délivrance : le tourisme. On vous accueil alors avec des sourires radieux, et des bras ouvert vous offrant le monde sur un plateau d'argent. nous trouvons refuge c'est un couple de jeunes chinois composant avec alegresse,douceurs locales et bons conseils.
Un petit tour dans cette mini ville nous à offert un panel de couleurs extraordinaire. Les femmes pratiquantes sont drapée dans d'immenses draps noirs qu'elles ferment en nouant un tissu rose à leur taille. Elles agrémentent leurs tenues de colliers multicolores qu'elles balancent à chacun de leurs pas. Leurs têtes sont recouvertes d'un tissu de couleurs et leur cheveux sont en fait un serre tête de fils noirs donnant l'illusion de longs cheveux fins. Elles ont en réalité les cheveux coupés ras. En plaçant leur ruban sur leur têtes, elles installe leur serre tête de manière a montré leurs fils tréssé de chaque côté de leurs pomettes.
Les hommes aussi porte le drapée noir et la ceinture rose à leur taille.
Les échoppes sont des cavernes de couleurs. Ils vendent des tissus tibétains d'une longueur incroyables. Ils les entassent les uns sur les autres et offre une palettes de bleus, de jaunes, de rouge, d'orange assez incroyable.
La ville est entourée de remparts et c'est la tête dans les nuages que l'on a parcourus les pavés en observant les montagnes alentours en imaginant le périple qui allait nous attendre le lendemain.
C'est donc au matin que nous sommes partis à la rencontre de notre guide et de nos chevaux respectifs. ( Il est a noter que l'un des chevaux qui nous a été attribué à particulièrement bien collés au caractère de l'un de nous : William a eu la chance d'hériter du cheval le plus "mou" de la bande ! Nous l'avons donc surnommé après réflexion Pépère. Marjolaine a également hérité d'un cheval à la hauteur de ses prouesses de marcheuse, le dénommé Hong Ma était un cheval qui se cassait la gueule à chaque pierre un peu trop haute pour ses petits sabots. )
L'ascension du versant de la montagne nous a offert une superbe vue sur la vallée de Songpan et de ses terrasse d'agricoles.
Puis, après bien des efforts nous nous retrouvons de l'autre côté de la montagne, face à un hameau tibétain. Des drapeaux de couleurs vives flottent aux abords des maisons et les animaux se baladent sans surveillance dans les petits sentiers qui se faufilent dans le paysage.
Les ruisseaux que nous rencontrons sont encore gelés mais le soleil est au rendez vous et on se rend compte avec beaucoup de plaisir que la nature reprend ses droits sur l'hiver : le vert devient dominant. Notre balade se poursuit aux sons des accents de notre guide guidant ses chevaux.
Des sillons se creusent dans la terre meuble : des buffles tirent d'énormes troncs d'arbres.
William nous a beaucoup fait rire. Son cheval à montré un certain ... problème de concentration ( je ne vous ai pas déjà dis qu'il ressemblait à William ? ). La caméra à la main, fier de bientôt devenir le nouveau Spielberg, William perd le contrôle de son cheval et se retrouve dans les branchages.
Après 6h de cheval nous arrivons a destination. Nous allons logés chez l'habitant. Maison typiquement tibétaine, en bois et en pierre parées de couleurs. On a l'impression que le temps s'est arrêter dans ses montagnes : Les animaux sont encore placés au rez de chaussée de la maison pour donné de la chaleur aux chambres et une seule pièce principale donne lieu au regroupement familiale, c'est la cuisine. C'est aussi la seule pièce qui est chauffée. Assis dans un petit coin, observant ce qui se passe, on s'imprègne timidement de leurs coutumes. Il ne parle pas mandarin mais un dialecte qui est incompréhensible pour nous, on parle donc avec les mains. Le dîner regroupe la famille entière après une journée de travail. La première personne à manger est .... Le bébé chèvre !! Quoi de plus normal ? On pré mâche une bouillis verte qu'on donne après au chevreau. bon appétit.
Qu'est ce qui se passe ?? Euh, qu'est ce que c'est ?? Plantes médicinale ! Ah bon. Bizarrement, les gens de cette famille ont l'air tous plus ou moins "cool". Pendant la journée, une petite fiole tourne dans les mains des personnes de la famille. On met quelques gouttes dans le creux du pouce et on sniff "la plante médicinal". Le soir, on se met autour du feu et fait brûlée une plante verte cueillis dans la montagne. On se met en rond et on renifle les effluves. Le grand-père qui n'est pas sans restes, mets sont chapeau au dessus de la fumée, récolte la précieuse odeur et s'enfouit la tête dedans. Est ce que c'est nous, où il y a vraiment quelque chose de bizarre ? Vraiment, les plantes médicinales chez nous non pas du tout la même odeur ... A chacun sont opinion.
Après une nuit sous 6 couvertures et habillés, nous voilà frais (?) pour partir à l'ascension du glacier. Après avoir engloutis pour la troisième fois en 2jours du chou chinois épicé, bu du lait de chèvre caillée et avoir finalement, gentillement refusé de reprendre un bol du précieux liquide ( non vraiment, on n'en veux plus. Merci, vraiment ! Gloups ... ) on monte en selle dans un froid glacial. On parcours de fabuleuses gorges jusqu'au point culminant : le glacier. Le souffle nous manque, nous sommes à environ 4200 m d'altitude. Mais vraiment, ça en valait la peine. La montagne glacée se détache du paysage, presque irréel. Les couleurs vont du bleue cyan, au bleu clair du ciel.
3 jours intensifs, magnifiques qui allaient se poursuivre avec le parc de Jiuzhaigou.
Ps : Pour suivre notre itinéraire en temps réel, cliquer sur "agrandir la carte" en haut de la page principale.
A très bientôt, William et Marjolaine.
- Parce qu'il annonce déjà des paysages magnifiques
- Et parce que vraiment, ce fût un très beau périple.
Merveilleuse surprise que le village de Songpan. Décrit comme ayant peu d'intérêt par notre compagnon de tous les jours, le "lonely planet". Nous avons découvert avec bonheur, un petit coin de Terre tibétain. Accueillis par de nombreux sourires ( Le tourisme dans ce village est pratiquement la seule source de revenus. Il y a plusieurs années déjà, l'état à décrété un plan de "secours environnemental". Les agriculteurs taillant la montagnes en escaliers et les troupeaux de Yacks dévalant les pentes, risquant de mettre en péril le trésor naturel qu'offre la vallée. C'est ainsi qu'en échange de leurs dévouement face aux programme de protection, on a remis à nos pauvres agriculteurs la clefs de leur délivrance : le tourisme. On vous accueil alors avec des sourires radieux, et des bras ouvert vous offrant le monde sur un plateau d'argent. nous trouvons refuge c'est un couple de jeunes chinois composant avec alegresse,douceurs locales et bons conseils.
Un petit tour dans cette mini ville nous à offert un panel de couleurs extraordinaire. Les femmes pratiquantes sont drapée dans d'immenses draps noirs qu'elles ferment en nouant un tissu rose à leur taille. Elles agrémentent leurs tenues de colliers multicolores qu'elles balancent à chacun de leurs pas. Leurs têtes sont recouvertes d'un tissu de couleurs et leur cheveux sont en fait un serre tête de fils noirs donnant l'illusion de longs cheveux fins. Elles ont en réalité les cheveux coupés ras. En plaçant leur ruban sur leur têtes, elles installe leur serre tête de manière a montré leurs fils tréssé de chaque côté de leurs pomettes.
Les hommes aussi porte le drapée noir et la ceinture rose à leur taille.
Les échoppes sont des cavernes de couleurs. Ils vendent des tissus tibétains d'une longueur incroyables. Ils les entassent les uns sur les autres et offre une palettes de bleus, de jaunes, de rouge, d'orange assez incroyable.
La ville est entourée de remparts et c'est la tête dans les nuages que l'on a parcourus les pavés en observant les montagnes alentours en imaginant le périple qui allait nous attendre le lendemain.
C'est donc au matin que nous sommes partis à la rencontre de notre guide et de nos chevaux respectifs. ( Il est a noter que l'un des chevaux qui nous a été attribué à particulièrement bien collés au caractère de l'un de nous : William a eu la chance d'hériter du cheval le plus "mou" de la bande ! Nous l'avons donc surnommé après réflexion Pépère. Marjolaine a également hérité d'un cheval à la hauteur de ses prouesses de marcheuse, le dénommé Hong Ma était un cheval qui se cassait la gueule à chaque pierre un peu trop haute pour ses petits sabots. )
L'ascension du versant de la montagne nous a offert une superbe vue sur la vallée de Songpan et de ses terrasse d'agricoles.
Puis, après bien des efforts nous nous retrouvons de l'autre côté de la montagne, face à un hameau tibétain. Des drapeaux de couleurs vives flottent aux abords des maisons et les animaux se baladent sans surveillance dans les petits sentiers qui se faufilent dans le paysage.
Les ruisseaux que nous rencontrons sont encore gelés mais le soleil est au rendez vous et on se rend compte avec beaucoup de plaisir que la nature reprend ses droits sur l'hiver : le vert devient dominant. Notre balade se poursuit aux sons des accents de notre guide guidant ses chevaux.
Des sillons se creusent dans la terre meuble : des buffles tirent d'énormes troncs d'arbres.
William nous a beaucoup fait rire. Son cheval à montré un certain ... problème de concentration ( je ne vous ai pas déjà dis qu'il ressemblait à William ? ). La caméra à la main, fier de bientôt devenir le nouveau Spielberg, William perd le contrôle de son cheval et se retrouve dans les branchages.
Après 6h de cheval nous arrivons a destination. Nous allons logés chez l'habitant. Maison typiquement tibétaine, en bois et en pierre parées de couleurs. On a l'impression que le temps s'est arrêter dans ses montagnes : Les animaux sont encore placés au rez de chaussée de la maison pour donné de la chaleur aux chambres et une seule pièce principale donne lieu au regroupement familiale, c'est la cuisine. C'est aussi la seule pièce qui est chauffée. Assis dans un petit coin, observant ce qui se passe, on s'imprègne timidement de leurs coutumes. Il ne parle pas mandarin mais un dialecte qui est incompréhensible pour nous, on parle donc avec les mains. Le dîner regroupe la famille entière après une journée de travail. La première personne à manger est .... Le bébé chèvre !! Quoi de plus normal ? On pré mâche une bouillis verte qu'on donne après au chevreau. bon appétit.
Qu'est ce qui se passe ?? Euh, qu'est ce que c'est ?? Plantes médicinale ! Ah bon. Bizarrement, les gens de cette famille ont l'air tous plus ou moins "cool". Pendant la journée, une petite fiole tourne dans les mains des personnes de la famille. On met quelques gouttes dans le creux du pouce et on sniff "la plante médicinal". Le soir, on se met autour du feu et fait brûlée une plante verte cueillis dans la montagne. On se met en rond et on renifle les effluves. Le grand-père qui n'est pas sans restes, mets sont chapeau au dessus de la fumée, récolte la précieuse odeur et s'enfouit la tête dedans. Est ce que c'est nous, où il y a vraiment quelque chose de bizarre ? Vraiment, les plantes médicinales chez nous non pas du tout la même odeur ... A chacun sont opinion.
Après une nuit sous 6 couvertures et habillés, nous voilà frais (?) pour partir à l'ascension du glacier. Après avoir engloutis pour la troisième fois en 2jours du chou chinois épicé, bu du lait de chèvre caillée et avoir finalement, gentillement refusé de reprendre un bol du précieux liquide ( non vraiment, on n'en veux plus. Merci, vraiment ! Gloups ... ) on monte en selle dans un froid glacial. On parcours de fabuleuses gorges jusqu'au point culminant : le glacier. Le souffle nous manque, nous sommes à environ 4200 m d'altitude. Mais vraiment, ça en valait la peine. La montagne glacée se détache du paysage, presque irréel. Les couleurs vont du bleue cyan, au bleu clair du ciel.
3 jours intensifs, magnifiques qui allaient se poursuivre avec le parc de Jiuzhaigou.
Ps : Pour suivre notre itinéraire en temps réel, cliquer sur "agrandir la carte" en haut de la page principale.
A très bientôt, William et Marjolaine.