Le 07/03/11, 13:11
147.62214375676-28.544632351351
4 mars – Émile s’est fait deux copines anglophones avec qui il aurait bien aimé discuter, mais tout ce qu’il trouvait à dire, c’était : « octopus ». Une des deux petites nous a alors demandé : « Why does he always say octopus? ». Ça nous a bien fait rire. Nous avons aussi vécu une invasion de fourmis vertes qui grimpent sur nous et piquent. Le campeur était stationné sur leur nid et elles se régalaient des insectes écrasés sur le devant du campeur. Heureusement, elles ne sont pas parvenues à entrer. Pat leur a fait la guerre avec de l’insecticide. Et a gagné. Nous avons aussi eu une agréable conversation Facebook avec Jean-François, actuellement à Hawaï avec Angelle. On les a invités à nous rejoindre (en Australie) pour le souper afin de partager notre viande de kangourou cuite sur le BBQ!!!
5 mars – Journée de repos. Visite de la ville d’Airlie beach et de son marché public extérieur. Dîner avec des roulés aux saucisses trouvés dans une boulangerie. Piscine et jeux d’eau au camping. Jeanne capture des grenouilles (et les relâche, évidemment). Jeanne s’est aussi inscrite à une activité de fabrication de bijoux et nous avons inscrit Émile à une activité-vélo (avec un étrange tricycle). Cinéma en plein-air en soirée avec Alvin et les chipmunks.
6 mars – Il a plu toute la nuit. Au lever, le chemin du camping est une rivière. On déjeune dans le campeur (pour la première fois depuis 29 jours, car nous n’avions jusqu’ici vécu AUCUNE journée de pluie) et nous partons rapidement (avec un peu d’appréhension) car les dernier 250km avant Townsville nous attendent. Nous devons rebrousser chemin à un moment car la route est inondée. Heureusement, ce sera la seule fois de la journée. Progressivement, le ciel devient moins gris. Arrivés à Townsville vers 15h00, nous choisissons de prendre une « cabin » (genre de petit chalet minimal qu’on trouve ici dans tous les campings) plutôt que le terrain de camping traditionnel. Ça coûte un peu, mais ça permet de préparer le campeur pour sa remise demain matin et de dormir au sec. BONNE FÊTE VICKY!!! On pense à toi pour tes 32 ans!!! On se fait un petit toast à ta santé avec nos verres d’eau.
7 mars – Nous nous sommes levés ce matin dans la flotte du camping. Il a plu une bonne partie de la nuit et il tombe encore des trombes d’eau. Après avoir rendu le campeur et pris la voiture de location, nous apprenons qu’il est impossible de nous rendre à notre chalet car les inondations se sont répandues au Nord de la ville et ont bloqué la route. Comme de fait, nous constatons que les rivières débordent et que des terrains et rues sont déjà inondés. Nous serons vraisemblablement coincés ici quelques jours. Combien ? Mystère. Nous avons trouvé un hôtel, mais essaierons de trouver mieux demain ou moins cher et tenterons de rendre la voiture de location jusqu’à ce que la route soit rouverte. Le moral n’est pas très haut, sauf celui des enfants, heureux d’être dans un meilleur confort que celui qu’offrait le campeur. Le ciel est profondément gris et les prévisions météorologiques ne sont pas bonnes, mais rassurez-vous, nous sommes en pleine civilisation, au sec, avec des cartes de crédit heureuses de nous laisser s’endetter...
À suivre.
Le super vélo d'Émile
Le cirque du soleil
Ils ont des "highways", des "freeways"... Et des "floodways"!!!
Cette inondation nous a fait rebrousser chemin
Situation de survie en campeur...
Solar city mon oeil! Y' mouille à siaux!
5 mars – Journée de repos. Visite de la ville d’Airlie beach et de son marché public extérieur. Dîner avec des roulés aux saucisses trouvés dans une boulangerie. Piscine et jeux d’eau au camping. Jeanne capture des grenouilles (et les relâche, évidemment). Jeanne s’est aussi inscrite à une activité de fabrication de bijoux et nous avons inscrit Émile à une activité-vélo (avec un étrange tricycle). Cinéma en plein-air en soirée avec Alvin et les chipmunks.
6 mars – Il a plu toute la nuit. Au lever, le chemin du camping est une rivière. On déjeune dans le campeur (pour la première fois depuis 29 jours, car nous n’avions jusqu’ici vécu AUCUNE journée de pluie) et nous partons rapidement (avec un peu d’appréhension) car les dernier 250km avant Townsville nous attendent. Nous devons rebrousser chemin à un moment car la route est inondée. Heureusement, ce sera la seule fois de la journée. Progressivement, le ciel devient moins gris. Arrivés à Townsville vers 15h00, nous choisissons de prendre une « cabin » (genre de petit chalet minimal qu’on trouve ici dans tous les campings) plutôt que le terrain de camping traditionnel. Ça coûte un peu, mais ça permet de préparer le campeur pour sa remise demain matin et de dormir au sec. BONNE FÊTE VICKY!!! On pense à toi pour tes 32 ans!!! On se fait un petit toast à ta santé avec nos verres d’eau.
7 mars – Nous nous sommes levés ce matin dans la flotte du camping. Il a plu une bonne partie de la nuit et il tombe encore des trombes d’eau. Après avoir rendu le campeur et pris la voiture de location, nous apprenons qu’il est impossible de nous rendre à notre chalet car les inondations se sont répandues au Nord de la ville et ont bloqué la route. Comme de fait, nous constatons que les rivières débordent et que des terrains et rues sont déjà inondés. Nous serons vraisemblablement coincés ici quelques jours. Combien ? Mystère. Nous avons trouvé un hôtel, mais essaierons de trouver mieux demain ou moins cher et tenterons de rendre la voiture de location jusqu’à ce que la route soit rouverte. Le moral n’est pas très haut, sauf celui des enfants, heureux d’être dans un meilleur confort que celui qu’offrait le campeur. Le ciel est profondément gris et les prévisions météorologiques ne sont pas bonnes, mais rassurez-vous, nous sommes en pleine civilisation, au sec, avec des cartes de crédit heureuses de nous laisser s’endetter...
À suivre.
Le super vélo d'Émile
Le cirque du soleil
Ils ont des "highways", des "freeways"... Et des "floodways"!!!
Cette inondation nous a fait rebrousser chemin
Situation de survie en campeur...
Solar city mon oeil! Y' mouille à siaux!