Le 03/10/10, 5:17
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Arrivée en correspondance à Mexico, je fais déjà des rencontres. Les mexicains sont décidément très chaleureux, il faudra que j’apprenne à me méfier (dixit les mexicains eux-mêmes).
Après 24 heures sans dormir et une arrivée à Guadalajara dans la nuit (Humberto me proposait tout de même de venir faire la fête avec lui...), je découvre la ville au jour le lendemain : dé-pa-y-sant. Des couleurs partout, du bruit mais aussi beaucoup de pauvreté.
Il faut absolument que je prenne une photo des autobus (appelés ici « camiones ») dont le but est de se faufiler entre les voitures et de rouler le plus vite possible. Ces vieux bus sont complètement obsolètes, le compteur ne marche plus, les vitres sont pleines d’éclats (quand il y a des vitres), des bouteilles vides et des sceaux d’eau (recueillie lors des pluies) jonchent le sol. C’est assez marrant à voir !
Après 24 heures sans dormir et une arrivée à Guadalajara dans la nuit (Humberto me proposait tout de même de venir faire la fête avec lui...), je découvre la ville au jour le lendemain : dé-pa-y-sant. Des couleurs partout, du bruit mais aussi beaucoup de pauvreté.
Il faut absolument que je prenne une photo des autobus (appelés ici « camiones ») dont le but est de se faufiler entre les voitures et de rouler le plus vite possible. Ces vieux bus sont complètement obsolètes, le compteur ne marche plus, les vitres sont pleines d’éclats (quand il y a des vitres), des bouteilles vides et des sceaux d’eau (recueillie lors des pluies) jonchent le sol. C’est assez marrant à voir !