Le 22/08/14, 1:19
120.4773155-2.568413
Après cette petite semaine passée a makassar, il est temps pour nous d'aller voir un peu de pays. Direction rentepao par bus de nuit. celui-ci était très confortable, mais cela nous a pas empêché d'arriver a destination sans hôtel, a 4h du mat, avec des poches sous les yeux..
. Ici, un des business, c'est la visite des villages traditionnels avec les maisons tongkonan et leurs greniers a riz. Plus y'en a, plus y'a de $$..
Business numero 2 : les funérailles. Buffles et cochons sont égorgés par dizaine (voire plus) a chaque cérémonie. Bien que tout le monde nous propose d'assister au massacre, nous avons toujours refusé poliment en disant que nous étions intéressés que par l'architecture..
Suite des trucs bizarres avec les morts..
Rantepao by night (enfin trouvé le bon réglage sur l'appareil photo..).
Suite a la fête nationale, on a eu droit au défilé des écoles, au moins une quarantaine. Chacune est représentée par ses élèves en uniforme et sa fanfare. Très militaire pour des enfants et assez impressionnant. On a beaucoup pensé a eux pdt qu' on cherchait de l'ombre alors qu'ils étaient en uniformes en plein soleil.
«Ou est charlie ?» Au défilé.
Puis on est partis a batutumanga, village toraja un peu plus haut en altitude. Nous avons passé deux nuits en maison traditionnelle (comprendre «rustique»). tentative de réservation traduit de l'indonesien (pas aidé par le mauvais réseau téléphonique) :
Réceptionniste : «je parle non anglais»
Nico : «moi deux hommes. Moi deux nuits. Moi nicolas.» Ça a valu a Alex un bon fou rire.
Les «murs» sont en fait un tressage de bambous. Super sympa De partager l'intimité de 8-10 personnes, et particulièrement reposant (surtout quand les indonésiens jouent aux cartes jusqu'a deux heures du mat, ou mettent de de la musique a 5h..). Le soir on a discuté avec Constance et Julien, c'était bien sympa (alors malacca c'était comment ? Bon vent a vous 2). On vous a dispensé d'une photo de salle de bains, ou plutôt d'une pièce avec un trou par terre et une bassine a coté. Autant dire qu'alors deux nuits, on était pas hyper hyper propres et qu'on était pouah loin de l'occlusion intestinale..
Puis balade dans les rizieres, 3e business ici..
Si ça passe pour nico, ça passe pour alex..
Ils paraît que pour construire, le nombre de bambous se compte en milliers..
Un petit plouf, ca fait toujours du bien.
. Ici, un des business, c'est la visite des villages traditionnels avec les maisons tongkonan et leurs greniers a riz. Plus y'en a, plus y'a de $$..
Business numero 2 : les funérailles. Buffles et cochons sont égorgés par dizaine (voire plus) a chaque cérémonie. Bien que tout le monde nous propose d'assister au massacre, nous avons toujours refusé poliment en disant que nous étions intéressés que par l'architecture..
Suite des trucs bizarres avec les morts..
Rantepao by night (enfin trouvé le bon réglage sur l'appareil photo..).
Suite a la fête nationale, on a eu droit au défilé des écoles, au moins une quarantaine. Chacune est représentée par ses élèves en uniforme et sa fanfare. Très militaire pour des enfants et assez impressionnant. On a beaucoup pensé a eux pdt qu' on cherchait de l'ombre alors qu'ils étaient en uniformes en plein soleil.
«Ou est charlie ?» Au défilé.
Puis on est partis a batutumanga, village toraja un peu plus haut en altitude. Nous avons passé deux nuits en maison traditionnelle (comprendre «rustique»). tentative de réservation traduit de l'indonesien (pas aidé par le mauvais réseau téléphonique) :
Réceptionniste : «je parle non anglais»
Nico : «moi deux hommes. Moi deux nuits. Moi nicolas.» Ça a valu a Alex un bon fou rire.
Les «murs» sont en fait un tressage de bambous. Super sympa De partager l'intimité de 8-10 personnes, et particulièrement reposant (surtout quand les indonésiens jouent aux cartes jusqu'a deux heures du mat, ou mettent de de la musique a 5h..). Le soir on a discuté avec Constance et Julien, c'était bien sympa (alors malacca c'était comment ? Bon vent a vous 2). On vous a dispensé d'une photo de salle de bains, ou plutôt d'une pièce avec un trou par terre et une bassine a coté. Autant dire qu'alors deux nuits, on était pas hyper hyper propres et qu'on était pouah loin de l'occlusion intestinale..
Puis balade dans les rizieres, 3e business ici..
Si ça passe pour nico, ça passe pour alex..
Ils paraît que pour construire, le nombre de bambous se compte en milliers..
Un petit plouf, ca fait toujours du bien.