Le 23/05/14, 18:39
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Peu après le phare de Gacholle , je quittais la digue à la mer pour m engager sur un chemin menant à une large plage . Pas un parasole en vue , je me laissais tenter et la traversais en poussant péniblement ma bicyclette jusqu'à une ligne de dunes , guère plus que de petits monticules en vérité , derrière laquelle je trouvais la Méditerranée .
Je me calais confortablement , du moins je m en convainquis , pour déjeuner au rythme du ressac . Un peu plus loin sur ma gauche , je vis un homme tirant un étrange appareillage a la recherche de coquillages ( télines ? )
Du coin de l oeil du coté opposé je crus voir une silhouette qui apparut furtivement pour disparaitre aussi vite . Je me hissais discrètement sur mon fessier pour savoir de quoi il en relevait et vis à une vingtaine de mètres un groupe de nudistes qui allongés profitaient dans leurs totalités des bienfaits de ce beau samedi ensoleillé . La plage est publique et en mai on fait ce qu il nous plait . Mon plaisir à moi se porta sur ma banane quotidienne avec qui j entrepris un tete à tete . Un naturiste , peut etre le meme , ou pas , se leva . Un homme , la trentaine éclatante et généreusement pileuse , avec un vrai air de Demis Roussous qui aurait oublié d etre gros , sauf en ce qui concerne certains attributs qui relèveraient plus de la charcuterie traditionnelle mortuacienne que de l affable virilité de l homme post-moderme . Il regarda l horizon , n y trouvant sans doute aucune inspiration fit quelques pas , revint , me jeta un oeil et se recoucha derrière les dunes . Sous le choc , je me demandais que faire de ma banane qui à present n avait plus grand chose à me dire , que deja le meme individu toujours aussi nu et velu réapparut et entreprut les mains sur les hanches des étirements qui de mon point de vue se perdaient en longueur . Heureusement il y avait le ramasseur de coquillages sur qui je pus reporter sainement ma curiosité , et c était PA -SSIO-NNANT
Je me calais confortablement , du moins je m en convainquis , pour déjeuner au rythme du ressac . Un peu plus loin sur ma gauche , je vis un homme tirant un étrange appareillage a la recherche de coquillages ( télines ? )
Du coin de l oeil du coté opposé je crus voir une silhouette qui apparut furtivement pour disparaitre aussi vite . Je me hissais discrètement sur mon fessier pour savoir de quoi il en relevait et vis à une vingtaine de mètres un groupe de nudistes qui allongés profitaient dans leurs totalités des bienfaits de ce beau samedi ensoleillé . La plage est publique et en mai on fait ce qu il nous plait . Mon plaisir à moi se porta sur ma banane quotidienne avec qui j entrepris un tete à tete . Un naturiste , peut etre le meme , ou pas , se leva . Un homme , la trentaine éclatante et généreusement pileuse , avec un vrai air de Demis Roussous qui aurait oublié d etre gros , sauf en ce qui concerne certains attributs qui relèveraient plus de la charcuterie traditionnelle mortuacienne que de l affable virilité de l homme post-moderme . Il regarda l horizon , n y trouvant sans doute aucune inspiration fit quelques pas , revint , me jeta un oeil et se recoucha derrière les dunes . Sous le choc , je me demandais que faire de ma banane qui à present n avait plus grand chose à me dire , que deja le meme individu toujours aussi nu et velu réapparut et entreprut les mains sur les hanches des étirements qui de mon point de vue se perdaient en longueur . Heureusement il y avait le ramasseur de coquillages sur qui je pus reporter sainement ma curiosité , et c était PA -SSIO-NNANT
