Le 04/01/14, 23:06
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Kolkata, l'insaisissable!
Première découverte de Kolkata par le nord de la ville au côté d'un Espagnol. Direction Kumartuli, qui signifie le quartier des potiers. On comprend pourquoi en entrant dans ses ruelles étroites. De part et d'autres, se succèdent les ateliers. C'est Ici qu'ils font les statues des divinités. Les Hindoues se servent de ces effigies pour leur cérémonie. Ces statues ont une armature en paille ; sont ensuite recouvertes avec l'argile puis peintes.
On participe à une "aartie" le long du gange : cérémonie avec du feu, de la musique, une chorégraphie. A la fin, on va se faire bénir par le feu.
Je reviendrai ici juste avant la célébration de Saraswati, déesse de l'éducation, des arts, ... ça se bousculera car tout le monde vient chercher sa statue. Elles sont embarquées dans les cyclo-rickshaw ou bien tirées par un groupe, précédé d'une "fanfare". y'a foule.
Pour rentrer de notre escapade avec l'espagnol, on prend le tram, composé de deux wagons. le premier, plus luxueux (pour l'époque de la colonisation) était réservé aux British. le deuxième, avec des bancs sommaires, c'était pour les Indiens. Ce trajet nous fait découvrir la ville autrement. On finit notre course en rickshaw (tiré par un homme). ça fait très bizarre.
Kumartuli restera mon endroit favori dans Kolkata.
J'aime la fraicheur émanant de l'argile humide, cette odeur de paille, cette douceur, cette tranquillité apparente dont jouit le quartier.
Sur les photos, vous découvrez le travail de confection des statues, les ruelles et le déchargement d'une des matières premières, l'argile. Dans la remorque du cyclo-rickshaw, les divinités sont embarquées avec leurs acquéreurs.
Première découverte de Kolkata par le nord de la ville au côté d'un Espagnol. Direction Kumartuli, qui signifie le quartier des potiers. On comprend pourquoi en entrant dans ses ruelles étroites. De part et d'autres, se succèdent les ateliers. C'est Ici qu'ils font les statues des divinités. Les Hindoues se servent de ces effigies pour leur cérémonie. Ces statues ont une armature en paille ; sont ensuite recouvertes avec l'argile puis peintes.
On participe à une "aartie" le long du gange : cérémonie avec du feu, de la musique, une chorégraphie. A la fin, on va se faire bénir par le feu.
Je reviendrai ici juste avant la célébration de Saraswati, déesse de l'éducation, des arts, ... ça se bousculera car tout le monde vient chercher sa statue. Elles sont embarquées dans les cyclo-rickshaw ou bien tirées par un groupe, précédé d'une "fanfare". y'a foule.
Pour rentrer de notre escapade avec l'espagnol, on prend le tram, composé de deux wagons. le premier, plus luxueux (pour l'époque de la colonisation) était réservé aux British. le deuxième, avec des bancs sommaires, c'était pour les Indiens. Ce trajet nous fait découvrir la ville autrement. On finit notre course en rickshaw (tiré par un homme). ça fait très bizarre.
Kumartuli restera mon endroit favori dans Kolkata.
J'aime la fraicheur émanant de l'argile humide, cette odeur de paille, cette douceur, cette tranquillité apparente dont jouit le quartier.
Sur les photos, vous découvrez le travail de confection des statues, les ruelles et le déchargement d'une des matières premières, l'argile. Dans la remorque du cyclo-rickshaw, les divinités sont embarquées avec leurs acquéreurs.