Arrivés à Shanghaï avec nos nouveaux visas tout beaux, tout neufs, on découvre une ville moins exaltante à côté de Hong Kong. Shanghaï ressemble plus à une pâle copie de ce dernier. Après une visite le long de la rive pour observer les bâtiments futuristes, continuant dans le vieux quartier chinois, longés le Bund et on a fini notre journée dans le quartier Français. Celui ci attirant plus notre attention que le reste de notre visite.
C'est pourquoi nous ne resterons pas dans la ville et nous dirigerons vers Huang shan qui est une montagne sacrée bouddhiste.
Une nuit à l'hôtel et nous prenons le départ de l'ascension le lendemain. Qui est le con qui a dit que se serais facile ???
Levé à 5h45 arrivés à 9H30 au sommet pour une "balade" de 7h. AAAH !!!! Comment dire :
- des escaliers
- des escaliers
- des escaliers
- ...
Bref, j'ai pas besoin de vous faire un dessin. De plus, notre carte était fausse ce qui nous a permis de faire un merveilleux détour. On a tout descendus et tout remonter. On a d'ailleurs réussi à prendre de justesse le bus qui nous ramenais à l'hôtel.
Cette montagne est assez connus pour ses arbres qui poussent à son sommet. Se sont généralement des connifers qui se logent dans les fissures. Le plus beau est de voir ce spectacles les matins avec la brume. Malheureusement, pour cela, il faut dormir au sommet et les prix des logement sont au aussi aux sommets !! Donc pas possible. Mais ce fût une journée très agréable avec un grand soleil.
Un point spécial accordé à nos merveilleux chinois qui, pour une seule journée de marche, dévalise avec avidité les magasins outdoor de leur ville. Ils sont équipés de la tête aux pieds avec tee shirt micro respirant, canne télescopique, chaussures auto marchante, chapeau anti coups de soleil, lunette de soleil de ski, et parfois même, genouillères.
Ils sont tellement beaux dans leurs habits tout terrain, tout colorés et leur point de côté au bout de 3 marches. Parce que oui, généralement, se sont ceux qui sont les plus préparés ( "vestimentairement" parlant ) qui ne finiront jamais la marche et payerons même des porteurs pour pas qu'ils soient trop fatigués. Et à côté de ça, vous avez notre mamie, toute fringante qui monte les marches doucement mais surement et qui doit quand même bien rire de les voir nos amis les grands sportifs du triathlon.
Nous finirons, pour notre part, notre balade bien fatigués avec des mollets en béton et aussi mouillés que des éponges.
Après une nuit réparatrice, nous prenons le bus pour Suzhou. Une ville connus pour ce jardins inscrits au patrimoine de l'Unesco.
Heureusement que nous avions bien dormis ! Une petite fille d'à peine 1an à pleuré pendant deux heures et demi avant que enfin la grand-mère se rende compte que oui, finalement, la petite avait envie de dormir. Je vous jure.
En plus, ajouter aux pleures du bébé, les grands "aaaaah" que la grand-mère poussait pour couvrir ses pleures. Une façon il faut croire que les chinois utilise pour calmer les bébés ( ???? ).
On arrive enfin à Suzhou et on découvre avec merveille une ville magnifique, bourrée de charme. William qui ne voulait y resté qu'une journée finira par me chuchoter que finalement, on pourrais bien resté un peu plus.
Nous avions trouvé un hôtel en dehors de la rue principale, au milieu des habitations chinoises. Un emerveillements de tous les jours. La journée les grand-mères installent leurs chaises le long des murs de leurs maisons pour discutés, la vendeuse de fruit et les mères promenant leurs enfants aux pantalons troués.
Et l'hôtel à été construit dans une ancienne maison chinoise avec une cours centrale représentant le cœur de la maison.
Les jardins que l'on visitera au finalement seront au nombre de 4. Une vraie leçon d'esthétisme chinois à l'état pure. C'est comme vous pouvez vous les imaginez avec un petit étang, une pagode en son centre, les poissons barbotant dedans, des pierres aux formes bizarre, une petite cascade et des arbres en fleures qui parent les chemin de couleurs ... Je vous laisse rêver.
Un soucis avec une agence nous empêchera de nous rendre au temple Shaolin. Tant pis. Se sera donc retour à Pékin.
A très bientôt, William et Marjolaine.
Ps : Plus que 5 jours avant notre retour