Le 11/06/14, 9:53
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" Messieurs, je pars, dit-il, et les divers visas apposés sur un passeport que j'emporte à cet effet vous permettront, au retour, de contrôler mon itinéraire."
Si cela pouvait être aussi simple pour nous que pour Phileas Fogg qui tout au long de son périple fera juste tamponner son passeport à chaque frontière traversée !
De notre coté, nous aurons besoin d'un visa pour le Népal, le Cambodge et l'Indonésie.
Pour les États-Unis, le formulaire ESTA.
Cela représente un cout non négligeable à intégrer au budget, un peu plus de 200€.
La solution la plus simple et la moins couteuse consiste à prendre son visa à la sortie de l'avion, nous devons juste penser à nous munir de photos d'identités et de dollars US.
Pour ceux qui souhaitent avoir leurs visas en poche avant le départ, il y a la possibilité de les récupérer directement auprès des ambassades en France, cela coute en moyenne 20% plus cher et il faut envoyer par la Poste l'original de son passeport...
La seule incertitude concernait notre escale en Inde durant notre premier segment Londres/Katmandou mais pour une escale de moins de 24 heures, pas besoin de visa de transit à condition d'enregistrer nos bagages pour Katmandou à Londres. Apparemment, la zone de transit à l'aéroport de Delhi est à vivre une fois dans sa vie, tous les bagages des voyageurs en transit étant disposés dans une salle, chacun est invité à montrer son bagage à un membre du personnel de l'aéroport afin de l'identifier et lui dire dans quel avion le bagage doit suivre, une bonne mise en condition pour un saut dans l'inconnu !
Si cela pouvait être aussi simple pour nous que pour Phileas Fogg qui tout au long de son périple fera juste tamponner son passeport à chaque frontière traversée !
De notre coté, nous aurons besoin d'un visa pour le Népal, le Cambodge et l'Indonésie.
Pour les États-Unis, le formulaire ESTA.
Cela représente un cout non négligeable à intégrer au budget, un peu plus de 200€.
La solution la plus simple et la moins couteuse consiste à prendre son visa à la sortie de l'avion, nous devons juste penser à nous munir de photos d'identités et de dollars US.
Pour ceux qui souhaitent avoir leurs visas en poche avant le départ, il y a la possibilité de les récupérer directement auprès des ambassades en France, cela coute en moyenne 20% plus cher et il faut envoyer par la Poste l'original de son passeport...
La seule incertitude concernait notre escale en Inde durant notre premier segment Londres/Katmandou mais pour une escale de moins de 24 heures, pas besoin de visa de transit à condition d'enregistrer nos bagages pour Katmandou à Londres. Apparemment, la zone de transit à l'aéroport de Delhi est à vivre une fois dans sa vie, tous les bagages des voyageurs en transit étant disposés dans une salle, chacun est invité à montrer son bagage à un membre du personnel de l'aéroport afin de l'identifier et lui dire dans quel avion le bagage doit suivre, une bonne mise en condition pour un saut dans l'inconnu !