Le 06/06/10, 5:08
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Samedi 5.6
Arrivee dans la ville des cow-boys. Il y a des cows. des boys, mais nous n'avons pas vu le combo cow + boy.
Fanny frappe au porte au hasard pour demander si c'est bien un hotel derriere la porte. Je n'ai toujours pas compris sa demarche.
Bref, nous nous installons dans une auberge propre et bien tenue puis nous nous rendons a un spectacle de theatre au centre culturel de la ville. Tres cool, tres drole, mais difficile de suivre en espagnol.
Le soir nous planifions la descente du canyon avec le guide du coin, qui "parle un peu anglais"...
Dimanche 6.6
Vu que Benoit avait mal regle son reveil, nous sommes deja a la bourre. Le guide nous attend et nous fait monter dans un taxi dernier cri. Vitre avant droite en sac d'auchan, pas de revetement sur les portieres, la grande classe.
Arrive au depart du canyon, ou les rapides semblent lents, nous enfilons nos gilets de sauvetage, et sautons a l'eau avec nos tongs d'allemands.
Comme un des guide (celui qui parle bien anglais, mais pas quand il y a du monde), nous demande d'avancer un peu plus. C'en est trop pour Fanny qui lache prise, et va percuter les 4 irlandaises qui nous accompagnent. Benoit se jette a l'eau pour recuperer le poisson qui va grand train. C'est chose faite, mais desormais c'est lui qui est entraine au loin....
D'autres histoires bizarres arrivent, avec ces guides qui sont, comme le dit le panneau publiciaire a l'entree (Friendly and Professionnal guides).
Bref les deux 'pros' qui se demandent l'un l'autre "mais qui a oublie les casques et protections a la maison ?" nous laissent encore une fois filer dans une descente de 500 metres, avec une autre irlandaise. Nous sommes secoues dans tous les sens. Benoit se heurte la cuisse, Fanny le genoux, l'irlandaise perd sa chaussure...
Ensuite le saut
! 5 metres de haut, 25 metres de profondeur, bravo Fanny.
Au final, Fanny censure la traduction de mon message personnel pour les guides, mais je pense qu'ils ont compris les grandes lignes.
Arrivee dans la ville des cow-boys. Il y a des cows. des boys, mais nous n'avons pas vu le combo cow + boy.
Fanny frappe au porte au hasard pour demander si c'est bien un hotel derriere la porte. Je n'ai toujours pas compris sa demarche.
Bref, nous nous installons dans une auberge propre et bien tenue puis nous nous rendons a un spectacle de theatre au centre culturel de la ville. Tres cool, tres drole, mais difficile de suivre en espagnol.
Le soir nous planifions la descente du canyon avec le guide du coin, qui "parle un peu anglais"...
Dimanche 6.6
Vu que Benoit avait mal regle son reveil, nous sommes deja a la bourre. Le guide nous attend et nous fait monter dans un taxi dernier cri. Vitre avant droite en sac d'auchan, pas de revetement sur les portieres, la grande classe.
Arrive au depart du canyon, ou les rapides semblent lents, nous enfilons nos gilets de sauvetage, et sautons a l'eau avec nos tongs d'allemands.
Comme un des guide (celui qui parle bien anglais, mais pas quand il y a du monde), nous demande d'avancer un peu plus. C'en est trop pour Fanny qui lache prise, et va percuter les 4 irlandaises qui nous accompagnent. Benoit se jette a l'eau pour recuperer le poisson qui va grand train. C'est chose faite, mais desormais c'est lui qui est entraine au loin....
D'autres histoires bizarres arrivent, avec ces guides qui sont, comme le dit le panneau publiciaire a l'entree (Friendly and Professionnal guides).
Bref les deux 'pros' qui se demandent l'un l'autre "mais qui a oublie les casques et protections a la maison ?" nous laissent encore une fois filer dans une descente de 500 metres, avec une autre irlandaise. Nous sommes secoues dans tous les sens. Benoit se heurte la cuisse, Fanny le genoux, l'irlandaise perd sa chaussure...
Ensuite le saut
! 5 metres de haut, 25 metres de profondeur, bravo Fanny.
Au final, Fanny censure la traduction de mon message personnel pour les guides, mais je pense qu'ils ont compris les grandes lignes.
et le rythme endiable de notre chemin de croix, nous decidons d aller nous reposer a la campagne 
