Le 18/03/13, 2:16
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Orly, 8h15, l’avion d’Iberia dans lequel nous sommes installés enclenche ses réacteurs et nous voila partis pour une nouvelle aventure qui s’annonce longue et lointaine.
Après une escale d’1h30 à Madrid, nous montons à nouveau à bord d’un avion d’Iberia, cette fois-ci à destination de Caracas au Venezuela, notre première destination de ce périple latino-américain.
Il est 16h35 heure locale (22h05 à Paris) quand notre avion se pose à Caracas, dans le pays de Bolivar et Chavez.
Après les formalités d’usage, nous nous retrouvons dans le hall de l’aéroport livrés aux rabatteurs de taxis clandestins et à ceux proposant de faire du change au noir.
Selon le site français du Ministère des Affaires Etrangères et les témoignages de nos proches, nous aurions dû à ce moment là nous faire agresser ou enlever.
La réalité est bien sûr différente et, après avoir fait du change au noir auprès d’une personne en uniforme !!! et esquivés les rabatteurs, nous nous retrouvons dans un vrai taxi pour nous rendre chez Jose Miguel, la personne qui nous héberge.
Merci à Charles, un ami vénézuélien de Meriem rencontré à Paris par Amine lors d’un rassemblement près de la Statut de Bolivar pour rendre hommage à Chavez au lendemain de sa mort, qui nous a trouvé cette chambre chez un « camarade », ami chaviste.
Notre chambre à Caracas se situera donc à El Valle (metro La Bandera), quartier populaire au pied d’une favela (ou barrios comme on dit ici).
A première vue, cela ne semble pas idéal et fait un peu peur mais tant pis nous sommes là pour découvrir le vrai visage de Caracas et de ses habitants et les barrios en font partie.
Fatigués par ce long voyage (=13 heures) et le décalage horaire (=5h30), nous n’en découvrirons pas plus ce soir et nous nous écroulons à 20h.
Après une escale d’1h30 à Madrid, nous montons à nouveau à bord d’un avion d’Iberia, cette fois-ci à destination de Caracas au Venezuela, notre première destination de ce périple latino-américain.
Il est 16h35 heure locale (22h05 à Paris) quand notre avion se pose à Caracas, dans le pays de Bolivar et Chavez.
Après les formalités d’usage, nous nous retrouvons dans le hall de l’aéroport livrés aux rabatteurs de taxis clandestins et à ceux proposant de faire du change au noir.
Selon le site français du Ministère des Affaires Etrangères et les témoignages de nos proches, nous aurions dû à ce moment là nous faire agresser ou enlever.
La réalité est bien sûr différente et, après avoir fait du change au noir auprès d’une personne en uniforme !!! et esquivés les rabatteurs, nous nous retrouvons dans un vrai taxi pour nous rendre chez Jose Miguel, la personne qui nous héberge.
Merci à Charles, un ami vénézuélien de Meriem rencontré à Paris par Amine lors d’un rassemblement près de la Statut de Bolivar pour rendre hommage à Chavez au lendemain de sa mort, qui nous a trouvé cette chambre chez un « camarade », ami chaviste.
Notre chambre à Caracas se situera donc à El Valle (metro La Bandera), quartier populaire au pied d’une favela (ou barrios comme on dit ici).
A première vue, cela ne semble pas idéal et fait un peu peur mais tant pis nous sommes là pour découvrir le vrai visage de Caracas et de ses habitants et les barrios en font partie.
Fatigués par ce long voyage (=13 heures) et le décalage horaire (=5h30), nous n’en découvrirons pas plus ce soir et nous nous écroulons à 20h.