Le 18/01/10, 19:49
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Ce matin, on s’est levé le coeur un peu en compote car ce sont les grands adieux avec Marie-T et Alain ! Ils repartent effectivement aujourd’hui pour le grand froid de Montréal...On a eu tellement de plaisir et ça a passé si vite...Donc après le déjeuner, ils nous apportent pleins de bonnes provisions d’eau, on jase de nos vacances, on s’embrasse et on se ré-embrasse, puis ils nous laissent plier baggage pour aller finir de plier les leurs.
Alors on est sur la route, sous le soleil, à 9h15. On compte bien se rendre à Mérida aujourd’hui, puisque j’ai dit à Chantal qu’on arriverait chez elle lundi soir ! Elle a d’ailleurs un cours à 5h30 et comme elle doit quitter vers les 15h30, j’espère arriver avant afin de la voir et de pas arriver comme un poil dans la soupe tandis que seul Benoit, son copain qu’on ne connait pas encore, est à l’appart. Alors, comme la route doit prendre en théorie 2h30, on compte un bon 4h00 ce qui est bien en masse selon nous. On décide d’ailleurs de prendre l’autoroute payante, afin d’éviter des topes et faire ça plus vite...Malheureusmeent c’est toujours plus long que prévu...On arrête vers l’heure du midi à une aire de repos pour se faire un dîner....Maudit qu’il fait chaud ! On reprend la route et vers les 3h00, on voit qu’on entre à Mérida ! Yéééééééé ! On devrait pouvoir voir Chantal avant qu’elle quitte pour son cours !
Malheureusement, il y a un contrôle policier juste avant d’entrer à Mérida et naturellement, ils nous demandent d’arrêter, à Louis et à moi ! Ils nous expliquent donc qu’ils font des routines de révision, si on veut bien sortir du véhicule et blablabla...Deux des policiers inspectent rapidement et nous demandent de les suivre vers l’arrière du véhicule alors qu’un autre policier s’avance avec un chien “policier” (entre vous et moi, on aurait dit un de ces milliers de chiens bâtard et sans famille qu’on voit sur la route depuis notre entrée au Mexique mais bon...) Alors tandis que les deux sympathiques policiers nous posent toutes sortes de questions sur le Québec, l’autre policier essaye tant bien que mal de faire sentir tout à son chien. Ce dernier semble plus ou moins intéressé dans nos affaires, il semble toujours ressortir du west, et le policier doit constamment tirer sur la laisse pour le “rappeler à l’ordre”...Le policier insite son chien à embarquer sur notre banquette et fouiner partout dans nos affaires, ils virent toutes nos affaires de tout bord tout côté, j’ai le goût de lui dire “J’espère que tu vas toute replacer après hein”, mais bon, je me retiens...Enfin, après un 15 minutes qui semblent sincèrement éternel, le policier ressort du west et fait signe que c,est “clear”. Ils nous remercient, on ré-embarque dans le west pis j’ai le malheur de demander à un des policiers sympathiques s’il peut nous aider pour l’adresse de Chantal et Benoit. Je lui montre une petite map de Mérida dans mon guide de voyage 2004 puis l’adresse de nos amis puis il part avec le guide, sollicite l’aide de deux trois policiers, le temps s’étire, le policier-au-chien décide de venir “ socialiser”, il demande d’où on est puis d’un air suspicieux regarde en arrière du véhicule, puis en avant, puis revient à ma fenêtre, nous demande si le Québec donne bel et bien qu’une seule plaque d’immatriculation, d’un ton quasiment accusateur..Anyways, le policier sympa arrive finalement avec des indications tout croche puis je regrette d’aovir fait étirer le temps inutilement de même, j’ai juste le goût de m’en aller, l’atmosphère est trop inconfortable.
Enfin, on est libre puis on essaye tant bien que mal de suivre les indications du policier puis on voit bien qu’on est perdu. C’est que des calle 1, calle 2, calle 3, 4, 5, 6 et ainsi de suite, il y en a des tonnes ! On doit donc demander à deux gazolines, à des policiers (qui nous disent d’ailleurs de les suivre, qu’ils vont allumer leur gyrophares quand on sera sur la bonne rue, mais comme on croise un autre barrage de police, ils n’ont pas pensé à nous attendre puis le barrage nous a arrêté 5 secondes et par le temps qu’on puisse repartir, les policiers qu’on devait suivre nous ont laissés tomber ! Shouuuuuuuuuu !), à trois personnes dans la rue, tout ce beau monde nous ayant plutôt mélangé qu’autre chose...Enfin, on a finalement compris que ça marchait par “colonie”, Mérida, puis que chaque colonie avait ses calles 1, 2 , 3, etc...On trouve finalement l’adresse puis je dois courir appeler Benoit (car il est clairement dépassé 3h30 avec tout ça) à un Pemex car le téléphone au coin de la rue a décidé de gober nos sous, puis l’adresse où nous sommes ne semble pas avoir de porte d’entrée.,..Benoit m’explique comment se rendre -on n’était même pas au bon building- puis on peut enfin relaxer. On socialise avec Benoit qui a beaucoup d’entregens, tellement qu’on en oublie l’heure du souper et Chantal arrive nous rappellant qu’il est déjà 9h00 passé. On mange bien et on prend un verre en nous échangeant nos impressions du Mexique jusqu’à maintenant. On se couche relativement tard mais tous contents je crois de se retrouver ou se rencontrer !
Alors on est sur la route, sous le soleil, à 9h15. On compte bien se rendre à Mérida aujourd’hui, puisque j’ai dit à Chantal qu’on arriverait chez elle lundi soir ! Elle a d’ailleurs un cours à 5h30 et comme elle doit quitter vers les 15h30, j’espère arriver avant afin de la voir et de pas arriver comme un poil dans la soupe tandis que seul Benoit, son copain qu’on ne connait pas encore, est à l’appart. Alors, comme la route doit prendre en théorie 2h30, on compte un bon 4h00 ce qui est bien en masse selon nous. On décide d’ailleurs de prendre l’autoroute payante, afin d’éviter des topes et faire ça plus vite...Malheureusmeent c’est toujours plus long que prévu...On arrête vers l’heure du midi à une aire de repos pour se faire un dîner....Maudit qu’il fait chaud ! On reprend la route et vers les 3h00, on voit qu’on entre à Mérida ! Yéééééééé ! On devrait pouvoir voir Chantal avant qu’elle quitte pour son cours !
Malheureusement, il y a un contrôle policier juste avant d’entrer à Mérida et naturellement, ils nous demandent d’arrêter, à Louis et à moi ! Ils nous expliquent donc qu’ils font des routines de révision, si on veut bien sortir du véhicule et blablabla...Deux des policiers inspectent rapidement et nous demandent de les suivre vers l’arrière du véhicule alors qu’un autre policier s’avance avec un chien “policier” (entre vous et moi, on aurait dit un de ces milliers de chiens bâtard et sans famille qu’on voit sur la route depuis notre entrée au Mexique mais bon...) Alors tandis que les deux sympathiques policiers nous posent toutes sortes de questions sur le Québec, l’autre policier essaye tant bien que mal de faire sentir tout à son chien. Ce dernier semble plus ou moins intéressé dans nos affaires, il semble toujours ressortir du west, et le policier doit constamment tirer sur la laisse pour le “rappeler à l’ordre”...Le policier insite son chien à embarquer sur notre banquette et fouiner partout dans nos affaires, ils virent toutes nos affaires de tout bord tout côté, j’ai le goût de lui dire “J’espère que tu vas toute replacer après hein”, mais bon, je me retiens...Enfin, après un 15 minutes qui semblent sincèrement éternel, le policier ressort du west et fait signe que c,est “clear”. Ils nous remercient, on ré-embarque dans le west pis j’ai le malheur de demander à un des policiers sympathiques s’il peut nous aider pour l’adresse de Chantal et Benoit. Je lui montre une petite map de Mérida dans mon guide de voyage 2004 puis l’adresse de nos amis puis il part avec le guide, sollicite l’aide de deux trois policiers, le temps s’étire, le policier-au-chien décide de venir “ socialiser”, il demande d’où on est puis d’un air suspicieux regarde en arrière du véhicule, puis en avant, puis revient à ma fenêtre, nous demande si le Québec donne bel et bien qu’une seule plaque d’immatriculation, d’un ton quasiment accusateur..Anyways, le policier sympa arrive finalement avec des indications tout croche puis je regrette d’aovir fait étirer le temps inutilement de même, j’ai juste le goût de m’en aller, l’atmosphère est trop inconfortable.
Enfin, on est libre puis on essaye tant bien que mal de suivre les indications du policier puis on voit bien qu’on est perdu. C’est que des calle 1, calle 2, calle 3, 4, 5, 6 et ainsi de suite, il y en a des tonnes ! On doit donc demander à deux gazolines, à des policiers (qui nous disent d’ailleurs de les suivre, qu’ils vont allumer leur gyrophares quand on sera sur la bonne rue, mais comme on croise un autre barrage de police, ils n’ont pas pensé à nous attendre puis le barrage nous a arrêté 5 secondes et par le temps qu’on puisse repartir, les policiers qu’on devait suivre nous ont laissés tomber ! Shouuuuuuuuuu !), à trois personnes dans la rue, tout ce beau monde nous ayant plutôt mélangé qu’autre chose...Enfin, on a finalement compris que ça marchait par “colonie”, Mérida, puis que chaque colonie avait ses calles 1, 2 , 3, etc...On trouve finalement l’adresse puis je dois courir appeler Benoit (car il est clairement dépassé 3h30 avec tout ça) à un Pemex car le téléphone au coin de la rue a décidé de gober nos sous, puis l’adresse où nous sommes ne semble pas avoir de porte d’entrée.,..Benoit m’explique comment se rendre -on n’était même pas au bon building- puis on peut enfin relaxer. On socialise avec Benoit qui a beaucoup d’entregens, tellement qu’on en oublie l’heure du souper et Chantal arrive nous rappellant qu’il est déjà 9h00 passé. On mange bien et on prend un verre en nous échangeant nos impressions du Mexique jusqu’à maintenant. On se couche relativement tard mais tous contents je crois de se retrouver ou se rencontrer !
