Le 04/01/13, 3:06
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Le début de la fin !
Après ce morceau de paradis, quelques jours assez rudes...
Tout d'abord, Nuit de bus pour palenque avec changements en pleine nuit : "Séquence réalisée par des voyageurs un peu trop sur d'eux, ne pas reproduire chez soi."
C'est donc completement explosés que nous arrivons dans la jungle.
Tous les hostels sont reunis au même endroit, créant un amas de cabañas et petites habitations, avec beaucoup de touristes, tout ça en pleine jungle assez dense. Drôle d'ambiance.
Petite précision sur les touristes : le Mexique semble être un repère de hippies et/ou de drogués complètement perchés.
comme un lieu de pèlerinage.
Ca va du simple style babos au mec presque à poil qui pue la mort, dont je plains le chien.
Que ce soit sur la plage, en ville, dans la jungle ou en plein milieu des ruines,
On bouge pour les fuir, et en voilà d'autres.
Forcement, c'est assez touristique en ce moment, et comme on vise le moins cher et le plus routard...
Je pourrai aussi vous parler de notre agacement concernant le fonctionnement de certains mexicains qui bossent dans le tourisme, mais je risque d'être grossier.
Encore une bonne raison de vouloir fuir le réseau touristique.
Là bas, on trouve des chambre très sympas (avec de l'eau chaude!) pour peu cher, le Chiapas étant l'état le plus pauvre du Mexique.
Nous avons visité le magnifique site archéologique de Palenque, ainsi que 2 cascades assez impressionnantes.
Tout ça au milieu d'une vraie jungle, avec en fond sonore le cri étrange et un peu flippant des singes (semblables à ceux d'un fauve), c'était très dépaysant.
Le 31, juste avant de rentrer au campement, on décide de manger des casse croutes locaux, les "antojitos".
GRAVE ERREUR !!!
Après un mois de hauts et de bas, c'était l'expérience culinaire de trop.
A peine rentrés, on se sent vraiment très mal, et le cauchemar commence.
C'est donc entre la chambre et la salle de bain que j'ai passé la nouvelle année, malade comme un chien, à entendre les autres faire la fête au resto...
Bonne année !!
Avec suffisamment de forces pour tenter le voyage, on décide de s'enfuir de la jungle, où l'humidité nous donne la nausée, pour filer vers San Cristobal de las casas.
En chemin, on s'arrête voir les ruines de Tonina, aussi très impressionnantes.
On a beau être malade, on n'est pas tous les jours au Mexique !
C'est l'occasion de vous parler d'un autre mode de transport, le "collectivo".
C'est moins cher, plus rapide et plus régulier que les grosses lignes de bus.
Par contre, c'est bcp plus à l'arrache, et il faut en changer à chaque ville.
Il s'agit d'un combi qui put l'essence, blindé au maximum, et conduit par un chauffeur ancien pilote de F1, très pressé.
Un peu dans le même style que les bus de ville, en beaucoup plus étroit.
Bonne alternative pour routard, mais vraiment pas l'idéal dans notre état, mais plus de bus donc pas le choix...
Gros soulagement donc, quand enfin arrivés à san cristobal de las casas, on trouve l'hostel de nos rêves.
Rapport qualité/prix imbattable jusqu'à présent.
La ville est très jolie, elle porte son nom en hommage à Bartolomé de las casas, grand défenseur des droits des indigènes.
Située à 2200m, il fait un peu plus froid, mais pas moins de 15degrés.
Supportable pour un hiver
On décide de s'y reposer pour récupérer de nos aventures.
En effet, 3 jours plus tard nos estomacs ne s'en remettent toujours pas, et surtout on ne peut plus rien avaler de mexicain.
Je rêve d'un sandwich Jambon beurre et d'une bavette à l'échalote...
Il est donc temps de faire une pause
Je pense fort à vous, je vous souhaite une très bonne année, et surtout une bonne santé !
Gros bisous !
Après ce morceau de paradis, quelques jours assez rudes...
Tout d'abord, Nuit de bus pour palenque avec changements en pleine nuit : "Séquence réalisée par des voyageurs un peu trop sur d'eux, ne pas reproduire chez soi."
C'est donc completement explosés que nous arrivons dans la jungle.
Tous les hostels sont reunis au même endroit, créant un amas de cabañas et petites habitations, avec beaucoup de touristes, tout ça en pleine jungle assez dense. Drôle d'ambiance.
Petite précision sur les touristes : le Mexique semble être un repère de hippies et/ou de drogués complètement perchés.
comme un lieu de pèlerinage.
Ca va du simple style babos au mec presque à poil qui pue la mort, dont je plains le chien.
Que ce soit sur la plage, en ville, dans la jungle ou en plein milieu des ruines,
On bouge pour les fuir, et en voilà d'autres.
Forcement, c'est assez touristique en ce moment, et comme on vise le moins cher et le plus routard...
Je pourrai aussi vous parler de notre agacement concernant le fonctionnement de certains mexicains qui bossent dans le tourisme, mais je risque d'être grossier.
Encore une bonne raison de vouloir fuir le réseau touristique.
Là bas, on trouve des chambre très sympas (avec de l'eau chaude!) pour peu cher, le Chiapas étant l'état le plus pauvre du Mexique.
Nous avons visité le magnifique site archéologique de Palenque, ainsi que 2 cascades assez impressionnantes.
Tout ça au milieu d'une vraie jungle, avec en fond sonore le cri étrange et un peu flippant des singes (semblables à ceux d'un fauve), c'était très dépaysant.
Le 31, juste avant de rentrer au campement, on décide de manger des casse croutes locaux, les "antojitos".
GRAVE ERREUR !!!
Après un mois de hauts et de bas, c'était l'expérience culinaire de trop.
A peine rentrés, on se sent vraiment très mal, et le cauchemar commence.
C'est donc entre la chambre et la salle de bain que j'ai passé la nouvelle année, malade comme un chien, à entendre les autres faire la fête au resto...
Bonne année !!
Avec suffisamment de forces pour tenter le voyage, on décide de s'enfuir de la jungle, où l'humidité nous donne la nausée, pour filer vers San Cristobal de las casas.
En chemin, on s'arrête voir les ruines de Tonina, aussi très impressionnantes.
On a beau être malade, on n'est pas tous les jours au Mexique !
C'est l'occasion de vous parler d'un autre mode de transport, le "collectivo".
C'est moins cher, plus rapide et plus régulier que les grosses lignes de bus.
Par contre, c'est bcp plus à l'arrache, et il faut en changer à chaque ville.
Il s'agit d'un combi qui put l'essence, blindé au maximum, et conduit par un chauffeur ancien pilote de F1, très pressé.
Un peu dans le même style que les bus de ville, en beaucoup plus étroit.
Bonne alternative pour routard, mais vraiment pas l'idéal dans notre état, mais plus de bus donc pas le choix...
Gros soulagement donc, quand enfin arrivés à san cristobal de las casas, on trouve l'hostel de nos rêves.
Rapport qualité/prix imbattable jusqu'à présent.
La ville est très jolie, elle porte son nom en hommage à Bartolomé de las casas, grand défenseur des droits des indigènes.
Située à 2200m, il fait un peu plus froid, mais pas moins de 15degrés.
Supportable pour un hiver
On décide de s'y reposer pour récupérer de nos aventures.
En effet, 3 jours plus tard nos estomacs ne s'en remettent toujours pas, et surtout on ne peut plus rien avaler de mexicain.
Je rêve d'un sandwich Jambon beurre et d'une bavette à l'échalote...
Il est donc temps de faire une pause
Je pense fort à vous, je vous souhaite une très bonne année, et surtout une bonne santé !
Gros bisous !
