Le 06/12/12, 3:22
-57.916268-33.033347333333
Après la visite des missions jésuites de Trinidad (Paraguay), nous avons retraversé la frontière paraguyo-argentine pour revenir sur nos pas, à Posadas.
De là, bus de nuit pour Curuzu Machin, et arrivée prévue vers 5h du matin. Avec un peu de chance, le bus aura du retard et nous arriverons à une heure décente. Que nenni!! Les bus argentins sont bien à l'heure.
Petite precision qui a son importance : Vanessa s'est profondément endormie pendant les 6h de trajet et Titi n'a pa fermé l'oeil de la nuit, surveillant les sacs.
L'objectif était de trouver une ville sans touristes au milieu de cette région argentine. Mission accomplie, nous arrivons dans une ville si peu touristique qu'il n'y a même pas d'hébergement.
Et ce n'est pas à défaut d'avoir cherché... Il y a bien un hôtel, une pension de famille et un camping, mais l'hôtel est hors de prix pour des backpackers, la pension de famille accueille des travailleurs et est complète et le camping n'a ni douche ni casiers pour laisser les sacs en sécurité. Et je vous assure qu'avec cette chaleur, la douche est indispensable, surtout que nous ne pensons pas y passer une nuit mais plusieurs...
Nous voilà donc largués dans cette ville où les gens sont supers accueillants et où nous aimerions rester quelques jours. Titi tombe de sommeil, Vanessa est en forme mais ce soleil écrasant limite nos déplacements. Il faut savoir qu'à 9h du matin, il fait déja un petit 30 degrés et que l'ombre se fait rare.
Bref, après quelques emplettes et quelques bons fou-rires, nous décidons de prendre un bus pour Concordia, ville frontalière avec l'Uruguay. Titi est content, il va pouvoir dormir dans le bus...enfin!!
5h plus tard, nous y voilà. Et evidemment, pas d'auberge, mais un camping! Malheureusement pour nous, il pleut et nous voilà contraints d'aller dans un hôtel...
Le lendemain, nous passons la frontière en bateau, direction Salto, Uruguay.
Cette fois, ne voulant plus être pigeonnés, nous avons préparé notre arrivée et nous débarquons avec une adresse en poche : celle de l'auberge, membre de Hostelling International, "SALTO HOSTEL". Chers voyageurs qui lisez ce blog, un conseil, n'y allez pas !
En effet, lorsque nous arrivons sur place, l'hostel est fermé! Sur leur site internet, ils ont oublié de préciser que l'hostel est fermé de décembre à mars (la haute saison) : un comble!
C'est finalement un mal pour un bien puisque nous sommes maintenant à l'HOSTEL DEL JARDIN, un peu plus cher certes, mais vraiment très accueillant!!
Ce soir, nous venons d'engloutir un ASADO (un BBQ local), soit 1, 100Kg de viande rien que pour nous, acheté à la boucherie d'à côté et dégusté dans le sympathique jardin de l'hôtel, accompagné d'un bon verre de vin Uruguayen. Qui a dit que seuls les Argentins savaient faire du vin en Amérique Latine ?
Nous sommes en plus ravis du sourire Uruguayen qui nous a manqué en Argentine...
Nous avons en plus découvert une autre façon de découper la viande, qui n'existe pas chez nous!
Bon appétit à tous!!
De là, bus de nuit pour Curuzu Machin, et arrivée prévue vers 5h du matin. Avec un peu de chance, le bus aura du retard et nous arriverons à une heure décente. Que nenni!! Les bus argentins sont bien à l'heure.
Petite precision qui a son importance : Vanessa s'est profondément endormie pendant les 6h de trajet et Titi n'a pa fermé l'oeil de la nuit, surveillant les sacs.
L'objectif était de trouver une ville sans touristes au milieu de cette région argentine. Mission accomplie, nous arrivons dans une ville si peu touristique qu'il n'y a même pas d'hébergement.
Et ce n'est pas à défaut d'avoir cherché... Il y a bien un hôtel, une pension de famille et un camping, mais l'hôtel est hors de prix pour des backpackers, la pension de famille accueille des travailleurs et est complète et le camping n'a ni douche ni casiers pour laisser les sacs en sécurité. Et je vous assure qu'avec cette chaleur, la douche est indispensable, surtout que nous ne pensons pas y passer une nuit mais plusieurs...
Nous voilà donc largués dans cette ville où les gens sont supers accueillants et où nous aimerions rester quelques jours. Titi tombe de sommeil, Vanessa est en forme mais ce soleil écrasant limite nos déplacements. Il faut savoir qu'à 9h du matin, il fait déja un petit 30 degrés et que l'ombre se fait rare.
Bref, après quelques emplettes et quelques bons fou-rires, nous décidons de prendre un bus pour Concordia, ville frontalière avec l'Uruguay. Titi est content, il va pouvoir dormir dans le bus...enfin!!
5h plus tard, nous y voilà. Et evidemment, pas d'auberge, mais un camping! Malheureusement pour nous, il pleut et nous voilà contraints d'aller dans un hôtel...
Le lendemain, nous passons la frontière en bateau, direction Salto, Uruguay.
Cette fois, ne voulant plus être pigeonnés, nous avons préparé notre arrivée et nous débarquons avec une adresse en poche : celle de l'auberge, membre de Hostelling International, "SALTO HOSTEL". Chers voyageurs qui lisez ce blog, un conseil, n'y allez pas !
En effet, lorsque nous arrivons sur place, l'hostel est fermé! Sur leur site internet, ils ont oublié de préciser que l'hostel est fermé de décembre à mars (la haute saison) : un comble!
C'est finalement un mal pour un bien puisque nous sommes maintenant à l'HOSTEL DEL JARDIN, un peu plus cher certes, mais vraiment très accueillant!!
Ce soir, nous venons d'engloutir un ASADO (un BBQ local), soit 1, 100Kg de viande rien que pour nous, acheté à la boucherie d'à côté et dégusté dans le sympathique jardin de l'hôtel, accompagné d'un bon verre de vin Uruguayen. Qui a dit que seuls les Argentins savaient faire du vin en Amérique Latine ?
Nous sommes en plus ravis du sourire Uruguayen qui nous a manqué en Argentine...
Nous avons en plus découvert une autre façon de découper la viande, qui n'existe pas chez nous!
Bon appétit à tous!!