Le 12/07/12, 20:24
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Et oui, nous ne pouvions pas y couper: THE spot à touristes.La luxuriante île de Lantau, accessible par le Ferry en une grosse demi-heure, ou siège un colossal Buddha en lotus (non, non, pas la voiture...), le plus gros du monde, ornant le monastère de Po Lin.Situé à 750 mètre d'altitude, le sommet de sa tête flirte avec les nuages.Il mesure 34 mètres, et est composé de 520 tonnes d'acier et de bronze, ainsi que 1,6 tonnes d'or.J'ai tout piqué sur le blog d'un type qui a trouvé ça génial.
Nous aussi, on a trouvé ça splendide.Le trajet en taxi pour l'atteindre était fabuleux, quoique riche en émotions, surtout pour Laetitia.Une fois sur place, c'est Lunaparc, sans la techno pourrie.S'en suis la grimpette des escaliers, dont une partie avec Léo sur mon dos, l'autre partie à me remettre les lombaires en place.Photos de circonstance, zig-zag entre les touristes, et vas-y que "vous pouvez me prendre en photo svp?".
Une fois en haut, et bien...c'est un huit-à-huit bouddhiste, ou le recueillement n'a pas plus sa place que les barres chocolatées, les canettes de coca et les babioles à accrocher à son rétroviseur.Certaines semblent vraiment authentiques, et lorsque l'on manifeste l'envie d'en acquérir une, la caissière vous sort sa copie sous plastic et le code-barre fait "bip"...et pis c'est tout.Bref, un chouette moment quand même, méritant bien un post à part, mais aussi l'avant-goût de ce qui allait être confirmé tout au long de notre séjour: la chine ne gardera de son passé et de sa tradition que ce qu'elle pourra vendre.
Enfin dans son élément
Dans le ferry
Depuis le ferry
Une coupe de cheveux à la hauteur de l'évènement
L'embarcadère et le trajet
Le Bouddha himself
Nous aussi, on a trouvé ça splendide.Le trajet en taxi pour l'atteindre était fabuleux, quoique riche en émotions, surtout pour Laetitia.Une fois sur place, c'est Lunaparc, sans la techno pourrie.S'en suis la grimpette des escaliers, dont une partie avec Léo sur mon dos, l'autre partie à me remettre les lombaires en place.Photos de circonstance, zig-zag entre les touristes, et vas-y que "vous pouvez me prendre en photo svp?".
Une fois en haut, et bien...c'est un huit-à-huit bouddhiste, ou le recueillement n'a pas plus sa place que les barres chocolatées, les canettes de coca et les babioles à accrocher à son rétroviseur.Certaines semblent vraiment authentiques, et lorsque l'on manifeste l'envie d'en acquérir une, la caissière vous sort sa copie sous plastic et le code-barre fait "bip"...et pis c'est tout.Bref, un chouette moment quand même, méritant bien un post à part, mais aussi l'avant-goût de ce qui allait être confirmé tout au long de notre séjour: la chine ne gardera de son passé et de sa tradition que ce qu'elle pourra vendre.
Enfin dans son élément
Dans le ferry
Depuis le ferry
Une coupe de cheveux à la hauteur de l'évènement
L'embarcadère et le trajet
Le Bouddha himself