Le 20/07/12, 22:37
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Nous avons fait plus forts que les cyclistes du tour de France. Nous les avons croisés à Chalamont et nous voilà arrivé à Chartre deux jours avant eux.
Cette 10e étape nous a fait découvrir de nouvelles cultures dans les « champs ». La seule qu'on a pu identifier sans problème fut les « éoliennes» dans les champs. Le temps était un peu couvert, frais, sans pluie mais avec du vent (faute probablement aux éoliennes qui nous faisaient du vent exprès pour nous ralentir). Le ressenti important de ce trajet a été la proximité de Paris avec les lignes de TGV, les grands réseaux d’électricité qui vont vers Paris et un peu de trafic de poids lourds.
A la fin de cette étape, on s’est dit qu’il y a quatre mois, on n’avait même pas des vélos et maintenant nous voilà sur la route de Londres. Tout ça à cause d’une plaisanterie de Nadine. Pour tout vous dire, il y a eu pendant la période de préparation des moments de doute, de découragement de ne pas y arriver. Pour ceux qui sont dans le découragement et les autres (pour vos jours d’éventuel découragement), voilà une réflexion face au découragement.
Pour les plus curieux : Pensée sur le découragement (extrait commentaire sem. du 1 au 7 juil. de ce site :
http://msd-online.ch/index.php?lang=2&idcatside=140&sid=2be1c794caf383da454c9c11876644be)
Cette pensée débute par une fable.
« Un jour, décidant de renouveler son vieux matériel, le diable vendit ses outils aux enchères. Au moment de la vente, c’est tout ce qu’il avait utilisé pendant des années qui était exposé. Il y avait côte à côte la haine, la débauche sexuelle, la jalousie, le mensonge, l’hypocrisie et bien d’autres instruments de destruction dont il aime se servir. Un peu à l’écart se trouvait un outil très petit mais bien aiguisé. Quelqu’un lui demanda : - A quoi sert cet outil ? - C’est le découragement. – Pourquoi l’as-tu mis à un prix aussi élevé ? – Parce que je l’utilise bien plus que les autres ! Muni de cet instrument, je pénètre absolument partout ! C’est le plus usé de tous mes outils.
Cette fable montre comment Satan essaie de nous atteindre. Nous avons parfois tant de stress et de soucis que son arme devient efficace ! L’histoire présente le découragement comme un outil insignifiant, mais redoutable, car il réussit à pénétrer partout ! Il peut nous faire perdre confiance en nous, en notre valeur, en Dieu. La seule arme dans ces moments est de se mettre à l’écoute de Dieu par la prière et la lecture de Sa Parole, la Bible. Il faut savoir s’arrêter et se reposer dans la présence de Dieu. Il nous aide à faire le point, à nous recentrer sur l’essentiel. Il nous fortifie et nous redonne du courage. Jésus a le pouvoir de nous restaurer puisqu’il dit : « ... tout pouvoir m’a été donné dans le ciel et sur la terre... » Mt 28 : 18. Dieu est avec nous. Il peut délivrer du découragement celui qui fait appel à lui. O.P. »
Cette 10e étape nous a fait découvrir de nouvelles cultures dans les « champs ». La seule qu'on a pu identifier sans problème fut les « éoliennes» dans les champs. Le temps était un peu couvert, frais, sans pluie mais avec du vent (faute probablement aux éoliennes qui nous faisaient du vent exprès pour nous ralentir). Le ressenti important de ce trajet a été la proximité de Paris avec les lignes de TGV, les grands réseaux d’électricité qui vont vers Paris et un peu de trafic de poids lourds.
A la fin de cette étape, on s’est dit qu’il y a quatre mois, on n’avait même pas des vélos et maintenant nous voilà sur la route de Londres. Tout ça à cause d’une plaisanterie de Nadine. Pour tout vous dire, il y a eu pendant la période de préparation des moments de doute, de découragement de ne pas y arriver. Pour ceux qui sont dans le découragement et les autres (pour vos jours d’éventuel découragement), voilà une réflexion face au découragement.
Pour les plus curieux : Pensée sur le découragement (extrait commentaire sem. du 1 au 7 juil. de ce site :
http://msd-online.ch/index.php?lang=2&idcatside=140&sid=2be1c794caf383da454c9c11876644be)
Cette pensée débute par une fable.
« Un jour, décidant de renouveler son vieux matériel, le diable vendit ses outils aux enchères. Au moment de la vente, c’est tout ce qu’il avait utilisé pendant des années qui était exposé. Il y avait côte à côte la haine, la débauche sexuelle, la jalousie, le mensonge, l’hypocrisie et bien d’autres instruments de destruction dont il aime se servir. Un peu à l’écart se trouvait un outil très petit mais bien aiguisé. Quelqu’un lui demanda : - A quoi sert cet outil ? - C’est le découragement. – Pourquoi l’as-tu mis à un prix aussi élevé ? – Parce que je l’utilise bien plus que les autres ! Muni de cet instrument, je pénètre absolument partout ! C’est le plus usé de tous mes outils.
Cette fable montre comment Satan essaie de nous atteindre. Nous avons parfois tant de stress et de soucis que son arme devient efficace ! L’histoire présente le découragement comme un outil insignifiant, mais redoutable, car il réussit à pénétrer partout ! Il peut nous faire perdre confiance en nous, en notre valeur, en Dieu. La seule arme dans ces moments est de se mettre à l’écoute de Dieu par la prière et la lecture de Sa Parole, la Bible. Il faut savoir s’arrêter et se reposer dans la présence de Dieu. Il nous aide à faire le point, à nous recentrer sur l’essentiel. Il nous fortifie et nous redonne du courage. Jésus a le pouvoir de nous restaurer puisqu’il dit : « ... tout pouvoir m’a été donné dans le ciel et sur la terre... » Mt 28 : 18. Dieu est avec nous. Il peut délivrer du découragement celui qui fait appel à lui. O.P. »