Le 20/01/11, 15:59
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16/01/11Sommes arrivés à Bangkok après une escale au Caire. Plusieurs heures de voyages, indéfinissablement long et si rapide en même temps. L’avion permet une chose si simple et à la fois si improbable : se retrouver de l’autre côté de la planète en un petit instant, dépayser totalement, subtilement, un instant d’irréalité comme si nous n’étions qu’une minuscule partie de ce monde si vaste et si petit. Nous avons le sentiment de se retrouver dans un reportage de la chaine escale sur la Thaïlande, tant regardé ces derniers temps... et que nous même faisions partie intégrante du film...
Ce quartier ou nous avons atterri, ultra touristique, rencontres de suisse et français, mélange de langues...Internationale Thaïlande, sur un micro trottoir qui est ce quartier bien foulé des touristes en tous genres. Des vieux aux très jeunes, de blonds aux noire aux, des riches aux pauvres, des intéressé ou non, des en partance, en arrivance, des paumés et ultra concernés, et des thaïlandais, toujours si souriants, si avenants, qui font leur travail comme si peu de gens le font avec le « kha san » une perpétuelle bonne humeur à faire ce qu’ils font parce que la vie est un peu plus facile comme cela, parce que la moiteur de la ville parait moins moite.
Une bonne nuit de sommeil bien méritée , un apaisement de l’esprit et du corps qui parait bien futile dans ce tumulte de la ville, oublier un peu cet instant et se retrouver peut-être enfin seul dans un apaisement total.
19/01/11 Voilà 4 jours que nous arpentons les rue de cette ville, marcher dans des quartiers si spécifiés les uns des autres, passons d’un quartier ou s’étale les motos et ses vendeurs, pièces de rechanges et boulons en tout genre ,coq de combat livré à lui-même en pleine rue à côté de son « coach », Chinatown ou arborent des pancartes en chinois, des lampions bien topiques ainsi que des canards laqués arrosés d’un liquide oranges fluos dont nous ne connaitrons jamais la teneur. Quartier le long du fleuve ou se réparent moteurs de péniches et ou se mêle senteur de cambouis, métal brûlé et brochettes de saucisses dont certaines ressemble a des bonbons ou à des condoms, morceaux de poulet et de plats aux noms imprononçables... Mais surtout, habitations au bord des canaux affluant du « mae nam chaophraya » fleuve de la ville, voyez par vous-même ... cf. photo.