Le 06/08/18, 14:38
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Après un cafe abatanado (long) en terrasse près du mercado municipal, nous entrons dans le mosteiro de Alcobaça (monastère inscrit au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO) situé en plein centre de cette cité éponyme.
Il est de style entièrement gothique, ce n'est pas ce qu'on préfère mais nous nous étions quand même motivées pour arriver de bonne heure afin de visiter cet édifice au moyen d'audio guides et surtout d'assister à des chants (moment magique d'après le routard) à 10h30 ! Après avoir payé 13€, les hôtesses nous annoncent que les audio guides sont en panne et que les chanteurs sont en vacances !!! Oh zut alors !
Ici, tout est immense : de l'impressionnante église Santa Maria (Ah oui, c'est la plus grande du Portugal !) à la cuisine et sa cheminée carrelée gigantesque en passant par le dortoir.
D'ailleurs on y resterait bien pour la nuit car dehors c'est la grosse canicule et le choc thermique est saisissant. Mais impossible de passer inaperçues dans ce dédale de pièces immenses mais vides. Alors on s'échappe pour nous hydrater d'une bonne bière locale.
Et là, merveille des merveilles, on rencontre sous les arcades de la vieille ville João Paulo Ferreira un charmant contre-ténor brésilien à la voix envoûtante. Cet instant est magique et rattrape les ratés du monastère. Comme hier, nous nous réfugions dans le jardin public de la ville où nous pique-niquons. La ville est déserte tellement il y fait chaud. La piscine municipale étant fermée, nous squattons le parc jusqu'à 19h en petite culotte et t-shirt mouillés dû à l'arrosage intensif que nous pratiquons dans une des fontaines du jardin. La reprise du vélo pour retourner à Nazaré n'est pas une partie de plaisir mais elle est bien récompensée par le coucher du soleil du haut de ses falaises (les plus hautes du Portugal) d'où la vue est simplement majestueuse...
Il est de style entièrement gothique, ce n'est pas ce qu'on préfère mais nous nous étions quand même motivées pour arriver de bonne heure afin de visiter cet édifice au moyen d'audio guides et surtout d'assister à des chants (moment magique d'après le routard) à 10h30 ! Après avoir payé 13€, les hôtesses nous annoncent que les audio guides sont en panne et que les chanteurs sont en vacances !!! Oh zut alors !
Ici, tout est immense : de l'impressionnante église Santa Maria (Ah oui, c'est la plus grande du Portugal !) à la cuisine et sa cheminée carrelée gigantesque en passant par le dortoir.
D'ailleurs on y resterait bien pour la nuit car dehors c'est la grosse canicule et le choc thermique est saisissant. Mais impossible de passer inaperçues dans ce dédale de pièces immenses mais vides. Alors on s'échappe pour nous hydrater d'une bonne bière locale.
Et là, merveille des merveilles, on rencontre sous les arcades de la vieille ville João Paulo Ferreira un charmant contre-ténor brésilien à la voix envoûtante. Cet instant est magique et rattrape les ratés du monastère. Comme hier, nous nous réfugions dans le jardin public de la ville où nous pique-niquons. La ville est déserte tellement il y fait chaud. La piscine municipale étant fermée, nous squattons le parc jusqu'à 19h en petite culotte et t-shirt mouillés dû à l'arrosage intensif que nous pratiquons dans une des fontaines du jardin. La reprise du vélo pour retourner à Nazaré n'est pas une partie de plaisir mais elle est bien récompensée par le coucher du soleil du haut de ses falaises (les plus hautes du Portugal) d'où la vue est simplement majestueuse...