Le 22/09/14, 3:16
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Réveil à 4h45 pour prendre le train à 6h50 vers Surabaya.
Le train nous a permis de passer à travers la campagne et d'observer les nombreux agriculteurs occupés de travailler dans les champs. Ici pas de tracteur, ni aucune autre machine moderne, tout se fait à la main. Ce spectacle m'a fait repenser à cette vieille dame que nous observions depuis notre guesthouse à Yogykarta qui passait sa journée dans sa rizière avec quelques autres agriculteurs à agiter un bâton, tirer sur des cordes où pendait des conserves et à crier afin de faire fuir les oiseaux de son champ.
Dans le train, nous avons retrouvé cette organisation propre aux pays d'Asie. Comme dans les pays que nous avons déjà visités, les moyens de transport offrent de nombreux emplois car dans les trains, vous avez un contrôleur, une personne qui l'accompagne afin de cocher le nom des passagers et tenir les documents, deux agents de sécurité et enfin de nombreux vendeurs de la compagnie qui arpentent le train.
Dans les bus, c’est la même chose, il y a les rabatteurs, le chauffeur, celui qui est chargé de placer et faire payer les passagers ainsi que les très nombreux vendeurs à la sauvette qui sautent dans le bus sur la route et même des chanteurs ou musiciens le temps d’une chanson avant de redescendre en ayant récoltant quelques pièces ou cigarettes...
Cinq heures plus tard, nous voilà arrivés à Surabaya où nous avons rejoint le terminal de bus où comme à chaque fois des rabatteurs nous alpaguent afin de prendre leur bus plutôt qu'un autre. C’est toujours un parcours du combattant pour ne pas se faire avoir... Ils essayent soit de nous faire monter dans un bus qui part bien plus tard, ou dans le bus le plus long qui s’arrête partout alors qu’il y a un direct, de nous arnaquer sur le prix, de nous dire que le bus part dans 15’ alors qu’il part 2h plus tard ou seulement une fois qu’il est complet... Bref, il faut ruser comme eux pour ne pas tomber dans leurs pièges
A côté de cela, c’est une ambiance agréable car il y a énormément de monde et beaucoup d’animation. On se sent parfois un peu seuls car nous sommes les seuls touristes mais les indonésiens sont super agréables et souriants. Même si parfois ils ne parlent que quelques mots d’anglais, nous arrivons à nous comprendre et à rigoler ensemble.
Après trois heures de bus (sans clim cette fois), nous sommes arrivés au terminal de Probbolingo vers 15h30. Il nous fallait encore ralier le village de Cemoro Lawang. Aucun bus public, seuls des vans privés montent dans la montagne...une fois remplis...
Nous avons pris notre mal en patience en prenant un thé pour attendre d’autres personnes. Finalement, d’autres touristes sont arrivés plus tard, nous étions 8 donc nous pensions donc que nous pourrions nous mettre en route.
Mais le chauffeur refusait toujours car il voulait rentabiliser son Van au maximum et vu qu’il savait que c’était notre seule solution pour monter au village, il nous a proposé de payer le prix global...
Finalement, il était déjà 18h, il faisait nuit... nous n’avions pas vraiment d’autres choix que de payer son prix....
Nous en avons profité pour faire la connaissance d’un couple belge de Louvain, un couple de Franco-mexicain qui vit en nouvelle Zélande ainsi qu’un allemand et un indonésien.
Une fois arrivés en haut, la température avait considérablement chuté et nous avons trouvé pour la nuit une chambre des plus sommaires avec 2 petits lits simples et des matelas de 5cm d’épaisseur... Le luxe
Ensuite, nous nous sommes retrouvés pour manger tous ensemble et organiser notre journée du lendemain jusqu’au mont Bromo.
Le train nous a permis de passer à travers la campagne et d'observer les nombreux agriculteurs occupés de travailler dans les champs. Ici pas de tracteur, ni aucune autre machine moderne, tout se fait à la main. Ce spectacle m'a fait repenser à cette vieille dame que nous observions depuis notre guesthouse à Yogykarta qui passait sa journée dans sa rizière avec quelques autres agriculteurs à agiter un bâton, tirer sur des cordes où pendait des conserves et à crier afin de faire fuir les oiseaux de son champ.
Dans le train, nous avons retrouvé cette organisation propre aux pays d'Asie. Comme dans les pays que nous avons déjà visités, les moyens de transport offrent de nombreux emplois car dans les trains, vous avez un contrôleur, une personne qui l'accompagne afin de cocher le nom des passagers et tenir les documents, deux agents de sécurité et enfin de nombreux vendeurs de la compagnie qui arpentent le train.
Dans les bus, c’est la même chose, il y a les rabatteurs, le chauffeur, celui qui est chargé de placer et faire payer les passagers ainsi que les très nombreux vendeurs à la sauvette qui sautent dans le bus sur la route et même des chanteurs ou musiciens le temps d’une chanson avant de redescendre en ayant récoltant quelques pièces ou cigarettes...
Cinq heures plus tard, nous voilà arrivés à Surabaya où nous avons rejoint le terminal de bus où comme à chaque fois des rabatteurs nous alpaguent afin de prendre leur bus plutôt qu'un autre. C’est toujours un parcours du combattant pour ne pas se faire avoir... Ils essayent soit de nous faire monter dans un bus qui part bien plus tard, ou dans le bus le plus long qui s’arrête partout alors qu’il y a un direct, de nous arnaquer sur le prix, de nous dire que le bus part dans 15’ alors qu’il part 2h plus tard ou seulement une fois qu’il est complet... Bref, il faut ruser comme eux pour ne pas tomber dans leurs pièges
A côté de cela, c’est une ambiance agréable car il y a énormément de monde et beaucoup d’animation. On se sent parfois un peu seuls car nous sommes les seuls touristes mais les indonésiens sont super agréables et souriants. Même si parfois ils ne parlent que quelques mots d’anglais, nous arrivons à nous comprendre et à rigoler ensemble.
Après trois heures de bus (sans clim cette fois), nous sommes arrivés au terminal de Probbolingo vers 15h30. Il nous fallait encore ralier le village de Cemoro Lawang. Aucun bus public, seuls des vans privés montent dans la montagne...une fois remplis...
Nous avons pris notre mal en patience en prenant un thé pour attendre d’autres personnes. Finalement, d’autres touristes sont arrivés plus tard, nous étions 8 donc nous pensions donc que nous pourrions nous mettre en route.
Mais le chauffeur refusait toujours car il voulait rentabiliser son Van au maximum et vu qu’il savait que c’était notre seule solution pour monter au village, il nous a proposé de payer le prix global...
Finalement, il était déjà 18h, il faisait nuit... nous n’avions pas vraiment d’autres choix que de payer son prix....
Nous en avons profité pour faire la connaissance d’un couple belge de Louvain, un couple de Franco-mexicain qui vit en nouvelle Zélande ainsi qu’un allemand et un indonésien.
Une fois arrivés en haut, la température avait considérablement chuté et nous avons trouvé pour la nuit une chambre des plus sommaires avec 2 petits lits simples et des matelas de 5cm d’épaisseur... Le luxe
Ensuite, nous nous sommes retrouvés pour manger tous ensemble et organiser notre journée du lendemain jusqu’au mont Bromo.