Le 21/09/14, 17:34
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Après une bonne nuit de sommeil, nous voilà repartis pour une nouvelle journée de découvertes et surtout impatients d'aller découvrir cet ancien temple bouddhiste dont on nous en a tant parlé.
Nous avons donc décidé d'y être pour l'ouverture des portes à 6h, ce qui veut dire levé à 4h30 (l’appel à la prière de 4h m’a servi de réveil mais pas pour Valentine... Elle était tellement fatiguée qu’elle n’a rien entendu...).
Nous avons emmené le petit déjeuner avec nous et pris la route vers 5h. Le point positif est qu'à cette heure-là, le trafic est beaucoup moins important et qu'il fait surtout moins chaud.
Lors d'un arrêt au feu rouge, nous croisons un javanais qui parle avec nous et qui nous a pris pour des fous lorsqu'on lui a dit qu'on allait à Borobudur en scooter. Il y a en effet 40km de route mais ça ne nous effraie pas ! Ce n'est pas ça qui arrêtera des bikers tels que nous
45 minutes plus tard nous voilà arrivés au Borobudur Candi (temple). Juste le temps d'avaler notre petit déjeuner avant l'ouverture des portes. Et nous voilà face à cet immense et magnifique temple qui a survécu aux éruptions volcaniques, aux bombes des terroristes et au séisme de 2006. Enfin, il a toutefois dû subir quelques restaurations avant d'être à nouveau si majestueux car pendant de nombreuses années, il fut abandonné (suite au déclin du bouddhisme) et ensevelit sous une couche de cendres volcaniques.
Ce n'est qu'au 19ème siècle que le site fut déblayé et au 20ème siècle qu'il fût restauré par les néerlandais. Comme le temple s'affaissait, ils ont dû enlever une grande partie des pierres pour ensuite refaire les fondations avant de reconstruire l’édifice.
On nous avait prévenus qu'à partir de 7h le temple commençait à être pris d'assaut par de nombreux touristes et cela s'est confirmé! Ça valait donc la peine de se lever si tôt car nous avons eu la chance d'avoir ce lieu magique pour nous et quelques autres touristes pendant 1h. Cela nous a permis de faire de nombreuses photos sans avoir dix autres personnes sur les clichés.
On nous avait également prévenus que nous allions être très sollicités pour poser sur des photos avec des visiteurs venus de régions excentrées de Java, qui n'ont jamais vu d'étrangers en chair et en os.
Ce fut marrant de prendre la pose avec des inconnus qui étaient tous fous de se photographier avec nous. Nous étions de vraies stars Vers 9h, nous avons repris la route pour visiter un autre temple et un monastère juste à côté de Borobudur. Ce monastère est un petit havre de paix où nous avons pu nous balader tranquillement sans l'agitation de centaines d'autres touristes autour de nous.
Sur la route du retour, nous nous sommes d'abord arrêtés dans un petit resto où nous avons mangé le fameux nasi goreng (riz sauté) entourés d'autres indonésiens qui prenaient leur repas de midi. On s’est régalé mais quelle ne fut pas notre surprise en recevant l’addition... 18000roupies à deux avec 2 boissons...soit 1,2€
Nous sommes ensuite retournés à la guesthouse afin de faire une petite sieste, car les kilomètres en scooter nous ont quand même bien fatigués. Nous avons parcouru pas moins de 250km en 2 jours
En fin d'après-midi, nous avons repris la route pour le centre de Yogyakarta afin de réserver notre billet de train pour demain et pour manger un petit morceau. Notre choix s'est porté sur un petit resto conseillé dans le lonely planet.
Finalement, nous sommes rentrés afin de boucler les valises et de se reposer au maximum avant notre longue journée de transport vers le mont Bromo.
Ce qui nous a marqué le plus de ces trois jours à Yogyakarta, ce sont les restos de rue que nous trouvons partout sur les trottoirs de la ville. Des restaurants s'improvisent partout sous des tentes de fortune ou juste avec des paillasses jetées au sol et même le long des boulevards à 6 voies.
Une deuxième chose qui nous a frappés dès notre arrivée est le trafic important et le nombre de deux roues. Apres ces quelques jours, nous comprenons mieux pourquoi ils sont si nombreux. Si vous n'avez pas de deux roues, vous perdez énormément de temps dans les embouteillages.
Le trafic est tellement important que certains magasins paient même quelqu'un pour stopper la circulation afin que les clients puissent se garer ou repartir.
Enfin, notre guesthouse... Un petit coin de calme et de paradis à l’écart de la ville et de toute cette effervescence. Le personnel y est très sympa et donne de bons conseils.
Nous avons donc décidé d'y être pour l'ouverture des portes à 6h, ce qui veut dire levé à 4h30 (l’appel à la prière de 4h m’a servi de réveil mais pas pour Valentine... Elle était tellement fatiguée qu’elle n’a rien entendu...).
Nous avons emmené le petit déjeuner avec nous et pris la route vers 5h. Le point positif est qu'à cette heure-là, le trafic est beaucoup moins important et qu'il fait surtout moins chaud.
Lors d'un arrêt au feu rouge, nous croisons un javanais qui parle avec nous et qui nous a pris pour des fous lorsqu'on lui a dit qu'on allait à Borobudur en scooter. Il y a en effet 40km de route mais ça ne nous effraie pas ! Ce n'est pas ça qui arrêtera des bikers tels que nous
45 minutes plus tard nous voilà arrivés au Borobudur Candi (temple). Juste le temps d'avaler notre petit déjeuner avant l'ouverture des portes. Et nous voilà face à cet immense et magnifique temple qui a survécu aux éruptions volcaniques, aux bombes des terroristes et au séisme de 2006. Enfin, il a toutefois dû subir quelques restaurations avant d'être à nouveau si majestueux car pendant de nombreuses années, il fut abandonné (suite au déclin du bouddhisme) et ensevelit sous une couche de cendres volcaniques.
Ce n'est qu'au 19ème siècle que le site fut déblayé et au 20ème siècle qu'il fût restauré par les néerlandais. Comme le temple s'affaissait, ils ont dû enlever une grande partie des pierres pour ensuite refaire les fondations avant de reconstruire l’édifice.
On nous avait prévenus qu'à partir de 7h le temple commençait à être pris d'assaut par de nombreux touristes et cela s'est confirmé! Ça valait donc la peine de se lever si tôt car nous avons eu la chance d'avoir ce lieu magique pour nous et quelques autres touristes pendant 1h. Cela nous a permis de faire de nombreuses photos sans avoir dix autres personnes sur les clichés.
On nous avait également prévenus que nous allions être très sollicités pour poser sur des photos avec des visiteurs venus de régions excentrées de Java, qui n'ont jamais vu d'étrangers en chair et en os.
Ce fut marrant de prendre la pose avec des inconnus qui étaient tous fous de se photographier avec nous. Nous étions de vraies stars Vers 9h, nous avons repris la route pour visiter un autre temple et un monastère juste à côté de Borobudur. Ce monastère est un petit havre de paix où nous avons pu nous balader tranquillement sans l'agitation de centaines d'autres touristes autour de nous.
Sur la route du retour, nous nous sommes d'abord arrêtés dans un petit resto où nous avons mangé le fameux nasi goreng (riz sauté) entourés d'autres indonésiens qui prenaient leur repas de midi. On s’est régalé mais quelle ne fut pas notre surprise en recevant l’addition... 18000roupies à deux avec 2 boissons...soit 1,2€
Nous sommes ensuite retournés à la guesthouse afin de faire une petite sieste, car les kilomètres en scooter nous ont quand même bien fatigués. Nous avons parcouru pas moins de 250km en 2 jours
En fin d'après-midi, nous avons repris la route pour le centre de Yogyakarta afin de réserver notre billet de train pour demain et pour manger un petit morceau. Notre choix s'est porté sur un petit resto conseillé dans le lonely planet.
Finalement, nous sommes rentrés afin de boucler les valises et de se reposer au maximum avant notre longue journée de transport vers le mont Bromo.
Ce qui nous a marqué le plus de ces trois jours à Yogyakarta, ce sont les restos de rue que nous trouvons partout sur les trottoirs de la ville. Des restaurants s'improvisent partout sous des tentes de fortune ou juste avec des paillasses jetées au sol et même le long des boulevards à 6 voies.
Une deuxième chose qui nous a frappés dès notre arrivée est le trafic important et le nombre de deux roues. Apres ces quelques jours, nous comprenons mieux pourquoi ils sont si nombreux. Si vous n'avez pas de deux roues, vous perdez énormément de temps dans les embouteillages.
Le trafic est tellement important que certains magasins paient même quelqu'un pour stopper la circulation afin que les clients puissent se garer ou repartir.
Enfin, notre guesthouse... Un petit coin de calme et de paradis à l’écart de la ville et de toute cette effervescence. Le personnel y est très sympa et donne de bons conseils.