Le 22/03/10, 18:02
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Encore des douanes !!!! Donc ça signifie un réveil plus tôt que de coutume, du pactage de west, des adieux encore à Marco et Ana (qu'on revoit finalement sur leur balcon de maison) puis un grand départ....On fait un bref arrêt au Pali à La Cruz question d'obtenir notre remboursement pour le gros bidon d'eau qu'on avait acheté là il y a quasiment un mois jour pour jour, puis afin d'aller voir le mirador qui offre supposément une superbe vue du Costa au bout de la rue...On est un peu déçu mais c'est quand même pas si mal ! Anyways on peut pas s'attarder, on sait que les douanes au Nicaragua ne sont pas faciles, surtout la partie où il faut trouver un inspecteur et un policier pour réviser le véhicule. Finalement, sortir du Costa Rica n'a pas été trop pire, si ce n'est qu'on a dû attendre un tout petit peu en ligne pour faire étamper nos passeports (cette fois ci on exigeait absolument Louis au comptoir). Aucun transmitador ne nous a achalés, mais des changeurs au noir se sont chicanés devant nous à savoir lequel avait été là en premier pour nous "servir"...La cancellation du permis de véhicule a été facile, le douanier a insisté pour le suspendre, et non canceller, car on avait encore droit à 2 mois de permis. Ensuite, après une petite fumigation, on est entré au Nicaragua. On a rapidement obtenu nos étampes d’entrée qui nous ont couté 7 dollars chaque, et ce, malgré que sur le billet ça dit que ça coûte 5 $...On ne sait pas si on s’est fait avoir de quelques piasses ou si le prix a changé depuis l'impression des billets...Coup donc...
Ensuite la joke a été de trouver notre fameux douanier et notre fameux policier pour réviser le char..Le douanier a été facile: il y en avait un d'assis sur un banc, on lui a demandé s’il pouvait réviser notre véhicule, il a rapidement jeté un coup d’oeil à notre papier de déclaration, il nous a demandé où était le char, on lui a pointé au loin, il s’est à peine retourné pour le voir, a mis sa signatures et puis hop ! Ensuite, la partie plus dure, le policier...Après 5 minutes infructueuses, Louis a décidé de prendre le taureau par les cornes et partir au poste de police qu'il a découvert la dernière fois. C'est à environ 500 mètres de marche, Louis a demandé à un policier s’il pouvait venir vérifier le véhicule: le policier a jeté un coup d oeil aux papiers de déclaration puis a mis sa signature sur notre papier...Et ce, sans même jamais avoir vu le véhicule ou vérifié qui voyageait avec Louis!!! Ensuite on est allé faire faire notre permis, on a acheté une assurance puis on est entré au Nica !!!
Super, quand tout cela est fini, il est midi !! On s'arrête pour dîner dans un petit soda près des douanes, puis on se remet en route pour Isla de Ometepe ! On arrive à San Jorge où j'achete des billets pour le ferry. On rencontre Jacques, un Québécois voyageant en backpack avec sa femme. On jase un peu puis il va rejoindre sa femme.
Ensuite, après se faire demander un frais de passage de 20 ou 30 cordobas au port pour on ne sait quelle raison, et un 94 cordobas de frais portuaires pour le véhicule, on embarque enfin sur le ferry à 14h30. Jacques vient nous parler. Il a rencontré deux Américains qui lui ont dit qu'ils ont entendu parler de Santa Cruz, apparemment le plus beau spot sur l'île. Il nous demande s’ils pourraient embarquer avec nous pour se rendre jusque là. On accepte. On jase tout le long du trajet du ferry, puis on arrive à Isla de Ometepe, une île formée par deux volcans au milieu du plus grand lac du monde, le lac Nicaragua. Au début, la route se fait bien...Mais on arrive ensuite sur une petite route cahoteuse et boueuse et même rockeuse. Elle semble à moitié barrée par des barrages de pierres. Les gens nous informent qu'en fait, il y a une nouvelle route qui mène à Santa Cruz, on retourne encore sur nos pas pour trouver la fameuse "nouvelle" route. En fait, il s’agit d’une autre route avec des pierres, du sable, de la boue sèchée...Le west est vraiment invincible, il survit à toutes ces bosses, ce surplus de poids, etc. La route dure un autre 40 minutes, on pense qu’on n'arrivera jamais !!! Finalement, on trouve l'entrée pour la finca El Porvenir. Il s'agit d'un autre km très périlleux mais on arrive finalement sans crevaison ou bri mécanique ! La finca est vraiment très jolie !!! Il semblerait que c'est d'ici qu'on peut fait un départ pour l'excursion du volcan Maderas, le plus petit des deux., Louis et moi on ne veut pas l'escalader par contre, mais l'endroit nous plaît quand même malgré son éloignitude...Pour ce qui est de camper, malheureusement on doit camper à l,extérieur du site mais à deux pas de la guérite (il n'y a pas de passage pour les voitures) mais de toute façon, on est un km bien enfoncés dans la forêt, il n'y a que des vaches et des cochons et des pintades qui nous dérangeront...Puis ils ne nous ont chargé que 2 dollars pour l'auto.Très bien !
On soupe au resto de l'auberge avec Jacques et Jocelyne. Ils nous racontent à quel point ils ont voyagé, il ont été deux fois en Asie un an, en plus de plusieurs autres voyages. C.est vraiment intéressant tout ce qu'ils nous disent. On passe un bon deux heures à la table ensembles. Ensuite on se couche car demain, Louis et moi on se lèvera tôt, pour aller "aux vaches". En effet, on a fait la rencontre de José, un homme travaillant sur la ferme qui dit s occuper des vaches le matin (il y a 50 vaches dont 14 qui donnent du lait. Louis lui a demandé si demain on pourrait l'assister, il a accepté sans problème.
Ensuite la joke a été de trouver notre fameux douanier et notre fameux policier pour réviser le char..Le douanier a été facile: il y en avait un d'assis sur un banc, on lui a demandé s’il pouvait réviser notre véhicule, il a rapidement jeté un coup d’oeil à notre papier de déclaration, il nous a demandé où était le char, on lui a pointé au loin, il s’est à peine retourné pour le voir, a mis sa signatures et puis hop ! Ensuite, la partie plus dure, le policier...Après 5 minutes infructueuses, Louis a décidé de prendre le taureau par les cornes et partir au poste de police qu'il a découvert la dernière fois. C'est à environ 500 mètres de marche, Louis a demandé à un policier s’il pouvait venir vérifier le véhicule: le policier a jeté un coup d oeil aux papiers de déclaration puis a mis sa signature sur notre papier...Et ce, sans même jamais avoir vu le véhicule ou vérifié qui voyageait avec Louis!!! Ensuite on est allé faire faire notre permis, on a acheté une assurance puis on est entré au Nica !!!
Super, quand tout cela est fini, il est midi !! On s'arrête pour dîner dans un petit soda près des douanes, puis on se remet en route pour Isla de Ometepe ! On arrive à San Jorge où j'achete des billets pour le ferry. On rencontre Jacques, un Québécois voyageant en backpack avec sa femme. On jase un peu puis il va rejoindre sa femme.
Ensuite, après se faire demander un frais de passage de 20 ou 30 cordobas au port pour on ne sait quelle raison, et un 94 cordobas de frais portuaires pour le véhicule, on embarque enfin sur le ferry à 14h30. Jacques vient nous parler. Il a rencontré deux Américains qui lui ont dit qu'ils ont entendu parler de Santa Cruz, apparemment le plus beau spot sur l'île. Il nous demande s’ils pourraient embarquer avec nous pour se rendre jusque là. On accepte. On jase tout le long du trajet du ferry, puis on arrive à Isla de Ometepe, une île formée par deux volcans au milieu du plus grand lac du monde, le lac Nicaragua. Au début, la route se fait bien...Mais on arrive ensuite sur une petite route cahoteuse et boueuse et même rockeuse. Elle semble à moitié barrée par des barrages de pierres. Les gens nous informent qu'en fait, il y a une nouvelle route qui mène à Santa Cruz, on retourne encore sur nos pas pour trouver la fameuse "nouvelle" route. En fait, il s’agit d’une autre route avec des pierres, du sable, de la boue sèchée...Le west est vraiment invincible, il survit à toutes ces bosses, ce surplus de poids, etc. La route dure un autre 40 minutes, on pense qu’on n'arrivera jamais !!! Finalement, on trouve l'entrée pour la finca El Porvenir. Il s'agit d'un autre km très périlleux mais on arrive finalement sans crevaison ou bri mécanique ! La finca est vraiment très jolie !!! Il semblerait que c'est d'ici qu'on peut fait un départ pour l'excursion du volcan Maderas, le plus petit des deux., Louis et moi on ne veut pas l'escalader par contre, mais l'endroit nous plaît quand même malgré son éloignitude...Pour ce qui est de camper, malheureusement on doit camper à l,extérieur du site mais à deux pas de la guérite (il n'y a pas de passage pour les voitures) mais de toute façon, on est un km bien enfoncés dans la forêt, il n'y a que des vaches et des cochons et des pintades qui nous dérangeront...Puis ils ne nous ont chargé que 2 dollars pour l'auto.Très bien !
On soupe au resto de l'auberge avec Jacques et Jocelyne. Ils nous racontent à quel point ils ont voyagé, il ont été deux fois en Asie un an, en plus de plusieurs autres voyages. C.est vraiment intéressant tout ce qu'ils nous disent. On passe un bon deux heures à la table ensembles. Ensuite on se couche car demain, Louis et moi on se lèvera tôt, pour aller "aux vaches". En effet, on a fait la rencontre de José, un homme travaillant sur la ferme qui dit s occuper des vaches le matin (il y a 50 vaches dont 14 qui donnent du lait. Louis lui a demandé si demain on pourrait l'assister, il a accepté sans problème.