Le 28/07/08, 12:27
34.5849528.7749
Nous voilà donc décidés à partir de ce havre de paix qu'est Kum Kum pour retrouver un peu d'animation.
Dixit le Lonely Planet et le mec du resort, il y a un bus qui passe devant à 10h30 pour Dahab, via Nuweiba.
Nous attendons donc... plus d'1h30, un bus qui ne passera jamais.
On a plusieurs fois décliné l'offre d'un mec qui voulait nous amener, on trouvait ça suspect, et il n'avait pas l'air très malin.
Finalement j'essaie de négocier avec le mec du barrage de police à 50m de là qu'il nous arrête un taxi ou une bagnole... mais personne ne veut nous prendre.
Jusqu'à ce qu'on trouve un pick-up qui accepte de nous amener à Nuweiba, où on trouvera plus facilement un taxi.
On s'installe donc à l'arrière de ce pick-up, heureux d'avoir enfin trouvé un moyen de s'enfuir de cet arrêt de bus.
Remarquez les bouteilles d'oxygène sous très haute pression...
Le problème c'est que le chauffeur a une facheuse tendance à se prendre pour un pilote de Formule 1, sauf que son pick up a 30 ans d'âge et plus de plaquettes de frein depuis 1982... et qu'on roule sur des routes égyptiennes où il est difficile de savoir si on roule à gauche ou à droite.
Bref, tellement apeurés, on finit par taper comme des sourds sur la vitre pour qu'il nous arrête, et on se retrouve à devoir faire les 4 derniers km à pied sous une chaleur de plomb.
Finalement on trouvera un taxi près du port qui nous amènera jusqu'à Dahab...
Ville plus touristique et internationale que Nuweiba...
On prend vite fait un hôtel, on mange (très bien, comme souvent dans le Sinaï...)
Et comme la plage présente le même problème qu'à Kum Kum (que des coraux), je repère qu'il y a des hôtels de luxe en sortie de ville avec des plages de sable et de belles eaux !
Nous voilà donc partis pour 4km en plein caniar, à pieds, pour se retrouver à rentrer par effraction (à travers un grillage) sur la plage du Coralia Club.
Sinon pour ceux que ça intéresse, le front de mer est rempli de restos avec terrasses berbères (à même le sol).
Il y a pas mal de bars branchouilles (auxquels j'ai dû rapprendre les règles des happy hours...).
Sinon on a beaucoup aimé les règles de stationnement...
Dixit le Lonely Planet et le mec du resort, il y a un bus qui passe devant à 10h30 pour Dahab, via Nuweiba.
Nous attendons donc... plus d'1h30, un bus qui ne passera jamais.
On a plusieurs fois décliné l'offre d'un mec qui voulait nous amener, on trouvait ça suspect, et il n'avait pas l'air très malin.
Finalement j'essaie de négocier avec le mec du barrage de police à 50m de là qu'il nous arrête un taxi ou une bagnole... mais personne ne veut nous prendre.
Jusqu'à ce qu'on trouve un pick-up qui accepte de nous amener à Nuweiba, où on trouvera plus facilement un taxi.
On s'installe donc à l'arrière de ce pick-up, heureux d'avoir enfin trouvé un moyen de s'enfuir de cet arrêt de bus.
Remarquez les bouteilles d'oxygène sous très haute pression...
Le problème c'est que le chauffeur a une facheuse tendance à se prendre pour un pilote de Formule 1, sauf que son pick up a 30 ans d'âge et plus de plaquettes de frein depuis 1982... et qu'on roule sur des routes égyptiennes où il est difficile de savoir si on roule à gauche ou à droite.
Bref, tellement apeurés, on finit par taper comme des sourds sur la vitre pour qu'il nous arrête, et on se retrouve à devoir faire les 4 derniers km à pied sous une chaleur de plomb.
Finalement on trouvera un taxi près du port qui nous amènera jusqu'à Dahab...
Ville plus touristique et internationale que Nuweiba...
On prend vite fait un hôtel, on mange (très bien, comme souvent dans le Sinaï...)
Et comme la plage présente le même problème qu'à Kum Kum (que des coraux), je repère qu'il y a des hôtels de luxe en sortie de ville avec des plages de sable et de belles eaux !
Nous voilà donc partis pour 4km en plein caniar, à pieds, pour se retrouver à rentrer par effraction (à travers un grillage) sur la plage du Coralia Club.
Sinon pour ceux que ça intéresse, le front de mer est rempli de restos avec terrasses berbères (à même le sol).
Il y a pas mal de bars branchouilles (auxquels j'ai dû rapprendre les règles des happy hours...).
Sinon on a beaucoup aimé les règles de stationnement...
