Le 19/04/14, 15:58
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Et c'est partit pour un week end à Java à l'assault du Volcan Kawah Ijen ! C'est donc après plusieurs heures de voiture et une traversée en bateau que nous sommes arrivées à destination
Une grande première de se coucher à 20 heures pour se lever 3 heures 30 plus tard afin d'être prête à partir à minuit pour grimper les flancs du volcan ...
Après une bonne heure et demie de Jeep nous voilà enfin au pied du volcan ! à nous la rando sous les étoiles et la lumière de la lune ... Il fait un froid plutôt saisissant malgré nos pulls... mais après 2 heures de marche dans le noir nous voila enfin en haut du cratère et réchauffées ! C'est donc de nuit que nous croisons les premiers mineurs qui se mettent en route pour aller extraire le souffre quand d'autres dorment encore sous des tentes ou bien des petits abris de fortune à même le sol ... certains montent en tongs ou bien pieds nus malgré le dénivelé ...
Une fois en haut nous partons lampe à la main au fond du cratère afin d'apercevoir " the blue fire" des flammes bleus dansant sur le souffre : un spectacle juste à couper le souffle !
Les mineurs étant déjà à l'oeuvre pour extraire le précieux minerais à coup de barre de mine au milieu de nuages de fumée pour le moins toxique irritant la gorge, les yeux et les voix respiratoires ...
L'odeur du souffre non loin de celle de l'oeuf pourri ne viens pas adoucir la pénibilité de ce travail... Ces hommes sont juste des SUR-HOMMES !!! car ils montent et descendent dans le cratère jusqu'a 3 fois par jour pour porter sur leurs épaules jusqu'à 90 kg de souffre pour gagner à peine quelques centimes par kilo ...
C'est donc une fois avoir vu l'extraction du souffre et le contraste en le jaune du minerai et le bleu des flammes que nous sommes remontées à la surface pour voir le jour se lever sur le volcan et voir disparaitre toutes les petites lumières des mineurs et randonneurs ...
Le spectacle est juste magnifique depuis le toit du monde entre le vert des montagne, la terre d'ocre, le jaune du souffre, le bleu turquoise du lac acide et le levée de soleil...
La descente n'en fut pas moins pénible que la montée mais la vue en valait la peine
Une grande première de se coucher à 20 heures pour se lever 3 heures 30 plus tard afin d'être prête à partir à minuit pour grimper les flancs du volcan ...
Après une bonne heure et demie de Jeep nous voilà enfin au pied du volcan ! à nous la rando sous les étoiles et la lumière de la lune ... Il fait un froid plutôt saisissant malgré nos pulls... mais après 2 heures de marche dans le noir nous voila enfin en haut du cratère et réchauffées ! C'est donc de nuit que nous croisons les premiers mineurs qui se mettent en route pour aller extraire le souffre quand d'autres dorment encore sous des tentes ou bien des petits abris de fortune à même le sol ... certains montent en tongs ou bien pieds nus malgré le dénivelé ...
Une fois en haut nous partons lampe à la main au fond du cratère afin d'apercevoir " the blue fire" des flammes bleus dansant sur le souffre : un spectacle juste à couper le souffle !
Les mineurs étant déjà à l'oeuvre pour extraire le précieux minerais à coup de barre de mine au milieu de nuages de fumée pour le moins toxique irritant la gorge, les yeux et les voix respiratoires ...
L'odeur du souffre non loin de celle de l'oeuf pourri ne viens pas adoucir la pénibilité de ce travail... Ces hommes sont juste des SUR-HOMMES !!! car ils montent et descendent dans le cratère jusqu'a 3 fois par jour pour porter sur leurs épaules jusqu'à 90 kg de souffre pour gagner à peine quelques centimes par kilo ...
C'est donc une fois avoir vu l'extraction du souffre et le contraste en le jaune du minerai et le bleu des flammes que nous sommes remontées à la surface pour voir le jour se lever sur le volcan et voir disparaitre toutes les petites lumières des mineurs et randonneurs ...
Le spectacle est juste magnifique depuis le toit du monde entre le vert des montagne, la terre d'ocre, le jaune du souffre, le bleu turquoise du lac acide et le levée de soleil...
La descente n'en fut pas moins pénible que la montée mais la vue en valait la peine