Il est loisible à tout un chacun de s’offrir un séjour dans un pays de son choix. À cet effet, des personnes manifestent l’envie de découvrir les merveilles du Myanmar. Mais ils ignorent bien les démarches administratives à suivre pour préparer leur voyage. Le présent article leur propose un guide procédurier.
Le visa
Pour fouler le sol du Myanmar, il est obligatoire de détenir un passeport valide. La validité de cette pièce doit s’étendre sur 6 mois après l’arrivée du voyageur à Myanmar. À la suite du passeport, place est faite au protocole d’obtention du visa. En ce qui le concerne, une demande formulée par le voyageur lui-même est envoyée à l’ambassade de l’actuelle Birmanie. La représentation diplomatique birmane implantée à Paris dispose du plein pouvoir pour délivrer le visa à qui de droit. Ce visa ainsi délivré se prescrit dans un délai de 28 jours à compter de la date de sa délivrance.
Le pass vaccinal
Dans l’ordre de priorité, il succède au visa. En effet, avant de partir en Birmanie, le potentiel voyageur est tenu d’actualiser son carnet de vaccination. Ceci fait suite aux différents renseignements reçus sur le chronogramme de vaccination de la Birmanie. Dans ce pays, les vaccins contre la diphtérie, la poliomyélite et le tétanos sont exigés pour les adultes. Chez les âmes innocentes par contre, elles doivent être vaccinées contre la rubéole, la rougeole et les oreillons. Pour cause de protection immunitaire, les vaccins contre la fièvre typhoïde, l’encéphalite japonaise de même que les hépatites A et B doivent compléter la liste de ceux sus-évoqués.
L’assurance
L’ex Myanmar fait injonction aux voyageurs de souscrire à des maisons d’assurance fiable. C’est d’ailleurs également valable pour les autres pays. 3 trois types d’assurances sont prioritaires aux autorités du pays de l’Asie du Sud-Est à savoir :
- L’assurance risque d’accident ;
- L’assurance-maladie ;
- Et l’assurance rapatriement d’urgence.
La première couvre les soins et s’occupe du rapatriement du voyageur accidenté. Les frais de ce second volet n’étant pas à la charge de l’ambassade de la République de France. Quant à la deuxième, elle exonère le voyageur indisposé des frais d’interventions médicales. La dernière s’assure du retour effectif au pays de provenance du voyageur en situation.