Le 25/03/13, 5:02
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Lundi 25 mars 2013. Grand beau soleil, air bien froid le matin.
Debout à 7h. Xiang Qun m'explique que WANG Ke arrive. Il vient installer un four dans la cuisine. Nous allons faire demain des gâteaux avec les petits moules que j'ai apportés.
Pour aujourd'hui, c'est LA GRANDE SORTIE car WANG Ke nous dépose en ville, dès 8h45, à côté de son travail, dans une rue de marchands de tissus : GU YI
Xiang Qun se laisse tenter pour 1,20 euros ( 10 yuans) par une belle écharpe dans les tons jaune d'or et brun.
J'écris yuan avec "s" pour le pluriel mais c'est peut-être invariable.
Si quelqu'un peut m'éclairer ?
Il y a très peu de pièces de monnaie : des "jiao", "mao" à l'oral, nos centimes et des pièces de 1 "yuan", kuai à l'oral, 1 yuan = env. 0,12 euro. Quels sont les billets en usage ? Vous les trouvez sur cette photo avec en plus le billet de 20 yuans, dont je manque aujourd'hui. Pour chaque billet, Mao est en effigie de l'autre côté.
Le porte-feuille ou le portemonnaie sont donc bien remplis
et l'on a l'impression d'être riche !
Et pour quelques billets, on peut acheter beaucoup de choses :
Pour une belle robe traditionnelle chinoise, une rouge comme le bonheur ou une brodée en velours noir, il faut dépenser davantage ( ? ) et il n'est pas autorisé de les photographier. Celles que vous voyez ont été prises "avant" l'interdiction, tout comme les robes de mariée, somptueuses !
La pièce du magasin est très bien chauffée et les essayages se font sur un podium recouvert de miroirs. Miroirs aussi derrière derrière lui, en éventail.
Nous changeons de rue. Précisons que le piéton ne compte pas, qu'une voiture klaxonne pour le pousser mais ne le laissera jamais passer, même s'il est engagé sur le passage à rayures.
Cette fois, nous nous trouvons au royaume des bricoles, très peu chères
Xiang Qun me précise que ces "parfums" coûtent 10 yuans pièce !
Tout au long de la promenade des scènes sculptées réalistes nous accompagnent. Elles illustrent les métiers et activités de cette rue ancienne, toujours vivante :
La dernière justement est devant un grand restaurant. Il est midi, nous déambulons depuis 9h. Avec mes piètres moyens linguistiques, je demande à Xiang Qun si nous rentrons à la maison ou si nous déjeunons sur place,
selon l'une ou l'autre des propositions que j'ai remarquées, par exemple :
Ce n'est pas encore l'heure.
Nous passons au domaine des Arts, près de la Tour du Tambour, qui est yang,
chargé de réveiller la population et à l'Est. Tandis que la tour de la cloche ( que nous ne voyons pas ) est à l'Ouest, yin, et annonce le soir le repos.
Présentoir et 7 théières décoratives ( le tout demandé à 1300 yuans), livres, boutique du calligraphe et du peintre...même une rue du thé avec une maison de thé, dans laquelle nous entrons furtivement et dont nous ressortons aussitôt car il y a conférence pour une assemblée nombreuse.
Xiang Qun achète des éventails à peindre chez elle.
Dans la galerie du premier étage de cette rue des Arts,
Xiang Qun me présente son ami, peintre sur éventails.
Quelle délicatesse ! Quelle finesse !
Un peu plus loin, c'est la boutique d'un maître en cerfs-volants
Nous marchons, nous marchons, nous marchons.
13h45 : un plat de raviolis dans un petit restaurant nous redonne quelques forces, avant le retour en bus.
(à suivre)
Debout à 7h. Xiang Qun m'explique que WANG Ke arrive. Il vient installer un four dans la cuisine. Nous allons faire demain des gâteaux avec les petits moules que j'ai apportés.
Pour aujourd'hui, c'est LA GRANDE SORTIE car WANG Ke nous dépose en ville, dès 8h45, à côté de son travail, dans une rue de marchands de tissus : GU YI
Xiang Qun se laisse tenter pour 1,20 euros ( 10 yuans) par une belle écharpe dans les tons jaune d'or et brun.
J'écris yuan avec "s" pour le pluriel mais c'est peut-être invariable.
Si quelqu'un peut m'éclairer ?
Il y a très peu de pièces de monnaie : des "jiao", "mao" à l'oral, nos centimes et des pièces de 1 "yuan", kuai à l'oral, 1 yuan = env. 0,12 euro. Quels sont les billets en usage ? Vous les trouvez sur cette photo avec en plus le billet de 20 yuans, dont je manque aujourd'hui. Pour chaque billet, Mao est en effigie de l'autre côté.
Le porte-feuille ou le portemonnaie sont donc bien remplis
et l'on a l'impression d'être riche !
Et pour quelques billets, on peut acheter beaucoup de choses :
Pour une belle robe traditionnelle chinoise, une rouge comme le bonheur ou une brodée en velours noir, il faut dépenser davantage ( ? ) et il n'est pas autorisé de les photographier. Celles que vous voyez ont été prises "avant" l'interdiction, tout comme les robes de mariée, somptueuses !
La pièce du magasin est très bien chauffée et les essayages se font sur un podium recouvert de miroirs. Miroirs aussi derrière derrière lui, en éventail.
Nous changeons de rue. Précisons que le piéton ne compte pas, qu'une voiture klaxonne pour le pousser mais ne le laissera jamais passer, même s'il est engagé sur le passage à rayures.
Cette fois, nous nous trouvons au royaume des bricoles, très peu chères
Xiang Qun me précise que ces "parfums" coûtent 10 yuans pièce !
Tout au long de la promenade des scènes sculptées réalistes nous accompagnent. Elles illustrent les métiers et activités de cette rue ancienne, toujours vivante :
La dernière justement est devant un grand restaurant. Il est midi, nous déambulons depuis 9h. Avec mes piètres moyens linguistiques, je demande à Xiang Qun si nous rentrons à la maison ou si nous déjeunons sur place,
selon l'une ou l'autre des propositions que j'ai remarquées, par exemple :
Ce n'est pas encore l'heure.
Nous passons au domaine des Arts, près de la Tour du Tambour, qui est yang,
chargé de réveiller la population et à l'Est. Tandis que la tour de la cloche ( que nous ne voyons pas ) est à l'Ouest, yin, et annonce le soir le repos.
Présentoir et 7 théières décoratives ( le tout demandé à 1300 yuans), livres, boutique du calligraphe et du peintre...même une rue du thé avec une maison de thé, dans laquelle nous entrons furtivement et dont nous ressortons aussitôt car il y a conférence pour une assemblée nombreuse.
Xiang Qun achète des éventails à peindre chez elle.
Dans la galerie du premier étage de cette rue des Arts,
Xiang Qun me présente son ami, peintre sur éventails.
Quelle délicatesse ! Quelle finesse !
Un peu plus loin, c'est la boutique d'un maître en cerfs-volants
Nous marchons, nous marchons, nous marchons.
13h45 : un plat de raviolis dans un petit restaurant nous redonne quelques forces, avant le retour en bus.
(à suivre)