Le 15/05/15, 1:51
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Petit tour par Sucre avant de se lancer vers les mines de Potosi à la rencontre des mineurs de l'ancienne plus grande mine d'argent.
On commence par s'approvisionner au mercado des mineurs.
Dans l'ordre, alcool potable à 96°,sulfate de machin chose, détonateurs, et dynamite. Mais notre guide qui était un ancien mineur nous fait savoir que les cadeaux les plus appréciés par les mineurs sont les sachets de feuille de coca et de la boisson fraiche. (fait chaud dans la mine)
Le petit sac de coca est tiré du gros. Le truc blanc ouioui.
On visite d'abord la rafinerie.
On dirait de l'or mais c'est juste un effet de l'appareil mais bon c plutôt réussit comme ratage.
Direction la mine stuffé.
Quand le wagon arrive, tu t'écartes et vite. Il y a 14 morts par mois dans le mine. 4 par accident (dynamite, éboulement, wagon...) 10 par maladies pulmonaires à force de respirer du minerai.
Le mec ride son wagon. Reste pas devant je te dis!
On descend, on descend
Et ma Nono est trop forte, elle arrive à vaincre sa claustrophobie.
Allez au charbon !
Ils travaillent dur les mineurs, il fait chaud, le taff est difficile et ça leur ruine les poumons. Ils ont tous de la feuille de coca en permanence dans la bouche pour être stimulé(matez leurs joues, il y a une boule), éviter d'avoir la bouche sèche et pour ne pas avoir besoin de manger (ils aiment pas manger dans la mine, tout à un goût de roche).
Après une longue discussion avec notre ancien mineur, on voit l'autre aspect de la mine.
Les mineurs choisissent de bosser dans la mine, ils sont leurs propres patrons, bossent souvent en famille, gagnent 2x plus que la moyenne et ils sont dans l'ensemble heureux d'y être. On a même rencontrer un français qui bosse dans la mine depuis 1 mois. Evidemment, c'est pas rose et c'est dangereux pour la santé mais globalement, ça rigole bien dans la mine.
Et ils aiment bien les touristes, surtout les gringitas
Avec Tio le dieu de la mine.
Un dieu macho, il boit, il fume, il à un gros ... et il aime jurer comme un charretier ou un wagonnnier.
En revenant déjeuner, on croise des défilés des écoles tout aussi joyeux.
Les petits basques
Ils sont partouuuuuuuuuuut
On commence par s'approvisionner au mercado des mineurs.
Dans l'ordre, alcool potable à 96°,sulfate de machin chose, détonateurs, et dynamite. Mais notre guide qui était un ancien mineur nous fait savoir que les cadeaux les plus appréciés par les mineurs sont les sachets de feuille de coca et de la boisson fraiche. (fait chaud dans la mine)
Le petit sac de coca est tiré du gros. Le truc blanc ouioui.
On visite d'abord la rafinerie.
On dirait de l'or mais c'est juste un effet de l'appareil mais bon c plutôt réussit comme ratage.
Direction la mine stuffé.
Quand le wagon arrive, tu t'écartes et vite. Il y a 14 morts par mois dans le mine. 4 par accident (dynamite, éboulement, wagon...) 10 par maladies pulmonaires à force de respirer du minerai.
Le mec ride son wagon. Reste pas devant je te dis!
On descend, on descend
Et ma Nono est trop forte, elle arrive à vaincre sa claustrophobie.
Allez au charbon !
Ils travaillent dur les mineurs, il fait chaud, le taff est difficile et ça leur ruine les poumons. Ils ont tous de la feuille de coca en permanence dans la bouche pour être stimulé(matez leurs joues, il y a une boule), éviter d'avoir la bouche sèche et pour ne pas avoir besoin de manger (ils aiment pas manger dans la mine, tout à un goût de roche).
Après une longue discussion avec notre ancien mineur, on voit l'autre aspect de la mine.
Les mineurs choisissent de bosser dans la mine, ils sont leurs propres patrons, bossent souvent en famille, gagnent 2x plus que la moyenne et ils sont dans l'ensemble heureux d'y être. On a même rencontrer un français qui bosse dans la mine depuis 1 mois. Evidemment, c'est pas rose et c'est dangereux pour la santé mais globalement, ça rigole bien dans la mine.
Et ils aiment bien les touristes, surtout les gringitas
Avec Tio le dieu de la mine.
Un dieu macho, il boit, il fume, il à un gros ... et il aime jurer comme un charretier ou un wagonnnier.
En revenant déjeuner, on croise des défilés des écoles tout aussi joyeux.
Les petits basques
Ils sont partouuuuuuuuuuut