Le 05/03/15, 20:12
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C'est repaaaaaaaarti. On aime la nature et on se bouge pour aller la contempler!
On prévoit de se faire le Cotopaxi volcan +/- pas éteint du tout (dernière éruption en 1940). Il paraît que c'est magnifique et pas facile à faire doooonc on commence par un peu d'acclimatation à l'altitude avec La lagune de Quilotoa.(3920m)
300m de dénivelé soit une course de 15 min pour descendre et un peu de Kayak pour se faire un peu les bras avec Ysolde.
Allez ramez les filles !!!
Allez, on va se coucher après une grosse assiette de pâtes et on se présente le lendemain à l'agence pour choper l'équipement.
2h de voiture et on arrive au cotopaxi.
Il a pas l'air si difficile ce volcan.
Combien? 5897m en haut !? Ah! Biiin, ouais on y va !
Petite montée de 45 min avec will et nono
puis repas, 3h de sommeil et départ minuit (enfin moi je dors comme un loir et nono comate avec un léger mal de crâne (mal d'altitude) On est déjà à 4800m dans le refuge.
Réveil, on s'équipe et là on se sent déjà alpiniste !
On se met à monter, vous nous voyez la? sisi on grimpe
Cela fait déjà 3h que l'on grimpe à plus de 5000m et niveau souffle c'est chaud. Un ou deux pas, une inspiration; ça grimpe sec sur du glacier, les murs sont tellement pentus que tu peux à peine les prendre de face même avec les crampons à glace et piolet.
Au bout de 3h30 et arrivé à 5300m, Nono arrête avec un mal de tête énorme et difficultés a respirer (mal d'altitude)
Moi niveau tête, tout va bien (je suis un nain rappelons le. Les nains vivent sous la montagne et leur constitution trappue les rend insensible à l'altitude). Du coup, je grimpe et je grimpe sous un ciel étoilé magnifique.
Au bout de 6h de montée, je regrette d'avoir couru la veille (courrir en descente, ça tape dans les cuisses). Cela fait déjà 1h que j'ai vraiment mal aux cuisses, je monte une jambe puis l'autre quand elles me font pas le plaisir de pas se dérober sous moi (merci l'encordée de m'aider à pas dévaler la pente; faut bien avouer que Will et Marco le guide m'ont bien aidé). J'ai bien envie d'arrêter mais bordel on va pas se laisser faire par un volcan!
Les murs s'enchaînent, plus verticaux les un que les autres avec quelques crevasses et enfin arrivé au sommet. 7h de montée sur un glaçon.
La faut bien avouer qu'il fait froid, l'eau a gelé dans les bouteilles.
On redescend, il fait enfin jour et c'est reparti pour 3h de douleur, mais c'est magnifique et ça aide.
Ouais c'est haut !
Si tu tombes, tu tombes...
Arrivé en bas on retrouve nono, je suis un papi vidé de son énergie qui n'a jamais fait un truc aussi dur de toute sa vie (et n'aurait pas imaginé le faire)
Heureusement nono me réconforte.
On prévoit de se faire le Cotopaxi volcan +/- pas éteint du tout (dernière éruption en 1940). Il paraît que c'est magnifique et pas facile à faire doooonc on commence par un peu d'acclimatation à l'altitude avec La lagune de Quilotoa.(3920m)
300m de dénivelé soit une course de 15 min pour descendre et un peu de Kayak pour se faire un peu les bras avec Ysolde.
Allez ramez les filles !!!
Allez, on va se coucher après une grosse assiette de pâtes et on se présente le lendemain à l'agence pour choper l'équipement.
2h de voiture et on arrive au cotopaxi.
Il a pas l'air si difficile ce volcan.
Combien? 5897m en haut !? Ah! Biiin, ouais on y va !
Petite montée de 45 min avec will et nono
puis repas, 3h de sommeil et départ minuit (enfin moi je dors comme un loir et nono comate avec un léger mal de crâne (mal d'altitude) On est déjà à 4800m dans le refuge.
Réveil, on s'équipe et là on se sent déjà alpiniste !
On se met à monter, vous nous voyez la? sisi on grimpe
Cela fait déjà 3h que l'on grimpe à plus de 5000m et niveau souffle c'est chaud. Un ou deux pas, une inspiration; ça grimpe sec sur du glacier, les murs sont tellement pentus que tu peux à peine les prendre de face même avec les crampons à glace et piolet.
Au bout de 3h30 et arrivé à 5300m, Nono arrête avec un mal de tête énorme et difficultés a respirer (mal d'altitude)
Moi niveau tête, tout va bien (je suis un nain rappelons le. Les nains vivent sous la montagne et leur constitution trappue les rend insensible à l'altitude). Du coup, je grimpe et je grimpe sous un ciel étoilé magnifique.
Au bout de 6h de montée, je regrette d'avoir couru la veille (courrir en descente, ça tape dans les cuisses). Cela fait déjà 1h que j'ai vraiment mal aux cuisses, je monte une jambe puis l'autre quand elles me font pas le plaisir de pas se dérober sous moi (merci l'encordée de m'aider à pas dévaler la pente; faut bien avouer que Will et Marco le guide m'ont bien aidé). J'ai bien envie d'arrêter mais bordel on va pas se laisser faire par un volcan!
Les murs s'enchaînent, plus verticaux les un que les autres avec quelques crevasses et enfin arrivé au sommet. 7h de montée sur un glaçon.
La faut bien avouer qu'il fait froid, l'eau a gelé dans les bouteilles.
On redescend, il fait enfin jour et c'est reparti pour 3h de douleur, mais c'est magnifique et ça aide.
Ouais c'est haut !
Si tu tombes, tu tombes...
Arrivé en bas on retrouve nono, je suis un papi vidé de son énergie qui n'a jamais fait un truc aussi dur de toute sa vie (et n'aurait pas imaginé le faire)
Heureusement nono me réconforte.
